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31 juillet 2012

N inversé, carré Sator et N inversé, Aleph, Tau ou Taw

Le N inversé... ou non

http://www.portail-rennes-le-chateau.com/saint_roch.htm

La première idée viendrait d'un jeu de mots « trame de laine (l'N) » c'est-à-dire la trame de l'énigme. La seconde aurait pour origine le mot « haine » qui est le contraire du mot « amour », Jésus étant mort crucifié par amour pour nous.
Cependant, une autre solution qui semble être celle qui fut retenue par les hermétistes est la suivante. La lettre N serait, en fait, la subjection d'un vieux mot français « ENNE » qui veut dire « tréfonds », ce qu'il a de plus secret. Ainsi, de toutes les lettres de l'alphabet, la lettre N est celle qui correspond le mieux pour marquer une ouvre ou un lieu détenant un secret.
Le chemin de croix étant un chemin de prières, il est comparable, lorsqu'il est crypté, à un jeu d'oie ou un jeu de piste qui nous mène au secret qu'il détient.

Image 1

 

http://artgauth.regnabit.com/
Le N inversé
l'être humain, nous dit la Bible, est composé d'un corps, d'une âme, et d'esprit. L'alchimie dit la même chose pour toute la matière de l'univers.
Le corps est la manifestation matérielle de notre esprit.
L'âme est le centre de nos émotions: l'amour, la haine, l'envie, la joie, la tristesse, etc... Ces émotions, nous les visualisons et ressentons communément dans notre coeur. Ce qui a amené d'ailleurs l'antiquité a déclarer que l'âme, se trouvait logé dans le coeur. Enfin l'esprit est le moteur de notre âme. C'est l'étincelle de Dieu en nous. Et elle se trouve localisée au sein de l'âme, derrière la couche bien humaine des sentiments. Ressentir son esprit serait ainsi découvrir la Grâce, l'Amour de Dieu.
"Connais-toi toi-même"
Si vous avez bien suivi tout le symbolisme décrit sur ce site, vous avez certainement deviné où nous voulons en venir: atteindre son esprit, qui se trouve cachée derrière les sentiments de l'âme, c'est atteindre le Centre du Monde, canal direct avec Dieu.
Or cet esprit se trouve en nous derrière les sentiments corporels de notre coeur.
L'Esprit se trouve donc réllement au Centre de notre Coeur.
D'où la différence entre l'amour (âme) et l'Amour (esprit). L'un est sentiment humain, l'autre est état surhumain.
L'Amour est le moteur du monde et chacun d'entre nous en a une étincelle (Sel d'Etain?) dans son coeur. L'atteindre, la Bible et les philosophes alchimistes le disent, est un jeu d'enfant. Mais c'est aussi de façon contradictoire le jeu le plus difficile, car il faut apprendre à dissocier ses sentiments humains de l'Amour véritable...
D'où aussi la nécessité des chevaliers de nos légendes d'avoir un coeur pur pour aboutir à leurs quêtes spirituelles, car toute pollution du coeur par l'âme (l'envie, l'amour pour une femme, la haine) ferme le canal vers l'esprit au centre du coeur. Ainsi des échecs de Perceval, coupable de la mort de sa mère, de Lancelot, coupable d'un amour interdit envers Guenièvre, etc... Seul Galaad, nouvel archétype du Christ, sans la moindre attache sur terre, parvient au but ultime.
Pour revenir à l'état de Grâce, le canal avec l'esprit ainsi créé lors de l'atteinte du Centre du Coeur permet les intuitions illuminatrices, les révélations, les coïncidences inexplicables... Nombre de gens expérimentent ces illuminations lors de leur quête spirituelle (les synchronicités par exemple). L'atteinte du Centre du Monde permettrait de reproduire cet état "surhumain" à volonté. Et le travail de l'alchimiste, à notre avis, revient à créer les conditions qui permettent d'atteindre cet état, voire même ultimement de s'y fondre et disparaitre (c'est ce que dit la légende, voir en particulier la disparition mystérieuse de Fulcanelli).
Aussi nous devinons la signification du N renversé sur les tombes: le mort déclare ainsi avoir atteint la Grâce et dépassé l'état de mortel... Et Jésus en tant qu'émanation de Dieu sur Terre justifie bien l'emploi du N renversé dans le terme INRI.
Le symbolisme du retournement
En annexe, nous voudrions rappeler que le Christ s'est retourné plusieurs fois dans le Nouveau Testament. Nous citerons deux cas:
    •    Une première fois dans le désert, lors de son combat avec Satan. Il résista à la tentation et se retourna pour ne plus voir l'Ange déchu.
Cela s'interprète comme le fait que, par la tentation, Satan a commencé à "terrasser" le Christ (à le fixer sur terre, donc à le rendre plus humain, avec des sentiments de désirs). Or ce dernier, en résistant et en se retournant, retourne à son état divin.
    •    Jésus se retourna, enfin, lors de sa montée en croix, du moins sur certaines peintures religieuses. La légende dit en effet que le Christ grimpa sur une échelle afin d'atteindre sa position au centre de la croix. Il lui fait donc face (ainsi qu'à la ville de Jérusalem d'ailleurs). Puis, pour prendre position pour la crucifixion, il se retourna.
L'interprétation en est aisée. C'est le même symbolisme que celui développé avec la carte du Pendu :
La montée de l'échelle peut s'entendre comme soit une élévation spirituelle, soit plutôt comme un ascension vers l'Unité Divine (voir le symbolisme de l'échelle alchimique à 9 barreaux en page centre du Monde, le dixième barreau invisible 10=1 étant le retour à l'Unité). C'est le symbolisme du parcours le long de l'Axe du Monde.
Le Centre de la croix est ici le symbole vrai du Christ, dieu fait homme. Comme nous l'avons montré aussi en page centre du Monde, Jésus, en tant que Christ, ne pouvait que mourir sur une croix (ce qui rend le travail des prophète de l'ancien testament bien plus facile, n'est-ce-pas?). C'est le symbolisme de l'atteinte du Centre du Monde. C'est l'atteinte de l'état de Grâce, de la communication directe avec Dieu.
Il se retourna, il passa ainsi du status de Dieu fait homme et roi des juifs, à celui d'homme fait Dieu et Roi du Monde. Il lui fallut pour cela mourir, et ressusciter. C'était (ana)logique et prévisible...

Une interprétation ésotérique:

http://hermetisme.over-blog.com/article-l-enigme-des-aa-des-aaa-et-des-aaaa-4-56936470.html

Image 1

http://renneslechateau-fr.com/rennes-chateau-rdv/inverse-t113.html
Le N inversé n'est pas une signature à proprement parler. Il est destiné à faire savoir que son utilisateur connaît ou participe à, de près ou de loin, la face cachée des choses.
Du reste, on sait que "noun", le "N" hébraïque, représentant le "poisson" et la réversibilité, le lien est aisément fait avec certains éléments de l'énigme. Son idéogramme araméen est d'ailleurs plus proche du "N" inversé et sans doute plus intéressant en l'occurrence.

N inversé et carré SATOR

http://chercheurs.les-forums.com/topic/12/n-inverse/
La théorie des anciens ,sur les mystères de l'angle droit ,ètudiés par le professeur Janssens de Belgique ,rejoint les études faites sur la symbolique du Chrisme .
Les études des loges bleues de Bordeaux ,concernant le carré Sator ,plus de cent cinquante ! développées par Marcel Spaeth , montrent à l'évidence que la lettre N inversée est le début dela clef dudit carré et que du N ,on passe au delta groupant tous les angles droits !
La super-modélisation comme la réduction d'une racine à un nombre entier ,donne des symboles polymorphes ,rejoignant le système des fractales dans leur conception ; elle permet ,par ailleurs de valider la formule de la Table d'émeraude : Ce qui en haut est comme ce qui est en bas .
Leur étude : concept du carré Sator ,explication du Delta ,ne peut se faire que sur le plan de la géométrie : c'est à dire :l'explication de la lettre G ,étroitement liée au concept de la quintessence sur tous les plans .

Le Aleph

http://www.lezardes-et-murmures.com/pages/De_la_Parole_au_Silence_Rachel_Fra-1120348.html

Le Aleph s´offre à notre regard comme deux yod en miroir, séparés mais en même temps reliés par une diagonale qui serait un Vav, le terme conjonctif qui permet de lier et de relier, ligne / miroir du monde de l´en haut et du monde de l´en bas, raison pour laquelle le Yod du bas est le reflet inversé du Yod de l´en haut.

י ו י א

Le Aleph ne peut se voir sans le Yod qui le compose car l´Unité du Aleph trouve son expression réalisatrice dans le 10 Aussi la diagonale est-elle bien le miroir où il est donné au Yod divin de se refléter dans le yod terrestre pour accomplir le miracle de l´Unité. Ce miroir de la transcendance et de l´Unité du Aleph est peut- être la voie étroite des Initiés qui savent être le lien qui unit le ciel et la terre.

Aleph Borges
http://www.cairn.info/revue-de-litterature-comparee-2006-4-page-397.htm
Il ne faut donc jamais perdre de vue que l’arbre des séphiroth s’enracine à la fois dans notre être individuel, dans la totalité du cosmos qui ressemble selon la tradition à une figure d’homme géante — celle de l’Adam primordial —, et dans la pensée créatrice de Dieu qui fait surgir le Grand Tout dans la lumière du réel. Le sommet de l’édifice des séphiroth se nomme en hébreu Kéther (la couronne), ou Eïn Sof (sans fin, néant). Depuis l’Aleph né de l’Eïn Sof qui participe encore de sa nature occultée, rétractée par le « tsimtsoum », Dieu dirige son influx créateur vers le monde manifesté qu’il suscite, structure et maintient dans sa grande bonté. La couronne de l’infini-néant irradie chaque créature, bien que cachée au tréfonds de notre propre âme. Elle rayonne dans cette nuit qui la voile, au cœur de ce que le grand maître du hassidisme polonais du XVIIIe siècle finissant, Rabbi Na’hman de Bratslav, appelle « la chambre forte du don immérité ». Quel est ce don ? Celui de l’influx qui émane de la présence, de la She’hinah invisible, dont le Kéther, la couronne, est le lieu d’émergence dans chaque être humain.
Kéther (littéralement : diadème) est dérivé également du verbe hébraïque kathar, qui signifie : attendre. Dieu, dit Rabbi Na’hman de Bratslav, se cache dans la nuit pour que l’homme le cherche. Mais il se dissimule d’abord dans l’Eïn Sof sous-jacent à toute conscience, l’infini-néant enfoui à notre insu en chacun de nous.
Si la couronne des dix séphiroth a cette attente pour sens ultime, cela signifie qu’en remontant dans l’arbre spirituel vers Dieu qui, lui aussi, nous attend, on parvient parfois à le trouver au lieu où il se cache ainsi. Il s’agit à chaque moment propice de la journée de le quêter en nous et en autrui, qui est « comme toi-même », par le truchement d’une attente passionnée.
le héros du conte de J.-L. Borges rejoint magiquement l’Aleph encastré dans l’escalier souterrain qui mène à la cave aux secrets — encore qu’il emploie pour le découvrir au fond du puits des moyens très différents de ceux de la Kabbale.
/ TAU
Une parabole du Zohar nous apprend que Dieu, avant de se mettre à l’ouvrage pour créer le monde, a d’abord battu le rappel des lettres hébraïques qui en sont les pierres de construction. Ensuite il a fait défiler devant sa face les vingt-deux lettres fondamentales. Mais c’est un Dieu éduqué à la mode juive, qui fait tout à l’envers et lit de droite à gauche, comme il se doit en Israël. C’est pourquoi il commence par convoquer la lettre Tav, la dernière, celle qui correspond à l’Oméga dans l’alphabet grec.
La légende nous apprend que le Baal Shem Tov (1700-1760) voulut faire un pèlerinage en Terre Sainte. Aller en Palestine vers 1750 sous les Turcs ne devait pas être une partie de plaisir…La tentative du grand « Besht » échoua tristement, pour une raison fort étrange.
Il perdit la mémoire des paroles les plus simples. Alors le saint homme qui a oublié les mots de l’oraison se met à prier au moyen du silence. Muet, plongé dans l’abîme du désespoir, l’aphasique de Dieu invoque son Nom ineffable et obtient de lui la faveur insigne de se ressouvenir de la première lettre de l’alphabet, l’Aleph à jamais silencieux, comme il l’est devenu lui-même…
Il finit ainsi par arracher au Ciel la restitution de son patrimoine langagier et intellectuel, de l’Aleph jusqu’à Tav, le sigle précurseur de la fin des temps. Il redevient à son retour d’Orient, après la montée infructueuse en Eretz Israël, le guide du mouvement hassidique entier. À partir de l’Aleph restauré au cœur de la conscience, le reste du monde peut être reconquis sur la perte et l’oubli.
C’est seulement quand l’Aleph (divin) et le dam (sang) se rencontrent, que tous deux forment une unité réelle, que l’homme mérite d’être appelé Adam. Mais comment une telle unité se réalise-t-elle ? Par “Kisuf”, ce qui signifie l’effort constant d’union avec Dieu » [15] [15] Guershom Scholem, Le Messianisme Juif, Paris, Calmann-Lévy,...
Quand l’Aleph fait défaut en : nous, le silence prégnant de la célébration à venir qui germe dans notre âme nocturne se mue en un vacarme infernal. Alors l’homme déchu retombe au rang d’un animal impur,
Avoir confiance, se fier à l’Aleph silencieux, revient à cheminer vers ce qui, en nous, constitue notre lieu premier et dernier. La vraie demeure d’un homme, la retraite située dans son tréfonds, était là, présente, avant le début de l’expérience personnelle.
Yom Kippour, toute la communauté réunie derrière lui, hommes, femmes, adolescents et enfants à jeun, tombent le front à terre, puis demeurent couchés à plat ventre sur les dalles, comme faisaient autrefois nos ancêtres au Temple de Jérusalem, à l’instant où le Grand Prêtre criait le Nom ineffable dans son intégralité, pour faire descendre le pardon divin sur son peuple contrit et repentant. Les rites sanglants périmés de Yom Kippour (notamment l’envoi au désert du fameux « bouc émissaire »), et l’invocation publique du Nom de YHWH, avaient pour objet le retour du Seigneur sur la terre d’Israël, au milieu de l’assemblée humiliée, prosternée dans la poussière, que graciait une nouvelle fois sa présence. Dans l’abaissement individuel et collectif, la créature repentie prend conscience de l’insignifiance de son destin mortel. Dans l’humilité retrouvée se révèle à ceux qui l’écoutent et qui l’attendent le rayonnement rédempteur de l’Aleph invisible.
L’homme juif repenti du Moussaf de Kippour descend volontairement au plus profond de son être. Il se prosterne dans la poussière des morts au jour des expiations pour y recevoir en tremblant un rayon de la grâce. S’offrant dans la nuit à la lumière secrète émanée de l’Aleph souterrain, il refuse la résignation fatale. Touché par ce rayon tout intérieur, il sait qu’il se relèvera intact d’entre les morts-vivants de la terre

Aleph d'en-haut et d'en-bas: Elohim, eth ou et (: aleph taw)

www.tinabosi.com/ALEPH.pdf ou en ligne:

https://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:v8pD0SiIFcwJ:www.tinabosi.com/ALEPH.pdf+&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESjV1O5i7tV6xZz6rQcJvqGOPoAdWjGbZ5KA1bsDpflifhfqMahhLjM_KVJS6sAoVVp__QDM2WICxz6ESnj6-FQZqE3TTOLFtKy_pkNajIrjsEBZmn5UMq0mbsouiinHL-UOzHys&sig=AHIEtbTcoy7QxaUH55v9dT8CCacB32P_JQ

ZOHAR

Le Saint béni soit-Il lui dit :
Aleph, Aleph, bien que je créerai le monde par la lettre Beth, tu seras la cime de toutes
les lettres, je n'aurai d'unité qu'en toi. Sur toi s'ajusteront toutes les mesures et toutes les
œuvres du monde. Il n'y aura d'unité qu'en la lettre Aleph.

Et le Saint béni soit-Il fit grandes les lettres d'en haut et petites les lettres d'en bas.
C'est pour cela qu'il y a deux Beth au commencement de la Genèse (beréshit bara) et deux
Aleph (Elohim et eth), lettres d'en haut et d'en bas.

http://soued.chez.com/lettres%204.htm
L'aînée des lettres, Aleph instruit, apprivoise, domestique, maîtrise et crée, comme l'unité d'en Haut a maîtrisé le chaos primordial pour créer l'Univers.

www.daat.fr/a_telechargements/aleph_deuxieme_approche.doc :

https://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:66Ygb4Kk7-cJ:www.daat.fr/a_telechargements/aleph_deuxieme_approche.doc+&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESiFbIxRjX6qtJU3UwvW-fsB8moxrwHQEiGM6_ob73zEM7_GfstraI2mRbAjwscX6-kickg-vGqUBoLh9Hr7NeZArLNmigvOftZA_5hWeo8sIKmNGw_hID-UpAnfOKWd2_TtlFTi&sig=AHIEtbTr8QOdqA1yZHCCVEpvGZuabYB-aw
Je vis dans le Yod d’en-bas et ainsi je connais le yod d’En-haut.
C’est comme si chacun de ces mondes était le reflet de l’autre. On dit que les eaux
d’en-bas pleurent parce qu’elles veulent rejoindre le monde d’en-haut. Il y a eu une
séparation et une aspiration à monter. Ces 2 yod ne sont pas symétriques. Celui d’En-haut
regarde vers le monde spirituel et celui d’en-bas est tourné vers notre monde.
L’extrémité supérieure regarde en-haut et celle d’en-bas est pointée sur notre monde
Les eaux d’en-haut, c’est la même chose que celles d’en-bas, mais, en quelque sorte, à
l’envers. Ce n’est pas la même structure.
C’est très ressemblant en-bas mais c’est comme le miroir du monde d’En-haut, à l’envers.
Il y a deux forces en l’homme : la gravitation qui le plaque au sol et une force semblable au
feu qui nous fait nous élever.
C’est ce qui fait aussi que l’on peut retourner le aleph, la lettre peut pivoter.

 

Image 6

 

Image 5

Le nom de aleph signifierait taureau ?… ou plutôt « maître », c’est-à-dire « alouph » en
hébreu. Est-ce que aleph signifie vraiment « taureau » ? Ce serait plutôt « ami » – ou « l’étude »
Aleph étant la première lettre, c’est le commencement de toutes choses : tu commences par
étudier.

http://www.galenai.fr/index.php/alphabet-hebraique
Le joug du bœuf produisant par milliers et retournant à l’unité.
Dans le Zohar, la forme du alef représente l’ « image de D-ieu » dans laquelle l’homme fut créé
Le nom de אדם , « homme » est lui-même un composé de א , correspondant à « notre image », et de דם , la racine de deux lettres de כדמותנו , « à notre ressemblance ». Au niveau des Mondes, le alef représente le paradoxe que constitue l’homme, un être créé et fini, mais néanmoins « estampillé » à l’ « image de D-ieu »
L’immense plaisir inhérent à l’étude de la sagesse de la Torah de D-ieu relie celui qui s’y adonne à l’eau supérieure de joie, tandis que la soumission sincère à accepter le joug des Cieux dans l’accomplissement des mitsvot de D-ieu le relie à l’eau inférieure d’amertume. Le parfait équilibre et l’expérience simultanée de joie et d’amertume sont exprimés dans le Zohar sous les termes : « Les pleurs sont enfoncés dans mon cœur d’un côté, tandis que la joie est enfoncée dans mon cœur de l’autre côté. » Le pouvoir d’enfoncer est celui du da’at (« connaissance »), le secret de la lettre vav (entre les deux youds du alef), le pouvoir acquis à travers l’engagement à la Torah et les mitsvot.
En particulier, le alef représente le joug du bœuf. En acceptant le joug, « Nombreuses sont les productions de la puissance du bœuf. » Le bœuf, en labourant la terre, a le pouvoir inné de produire par milliers

http://soued.chez.com/refl%206.htm
Taw est la dernière lettre de l'alphabet hébreu et elle contient toutes les nuances du "signe". Taw ou taw-waw est le signe, la marque, mais signifie aussi "encore, une fois de plus", comme s'il fallait répéter le signe pour se faire comprendre.
Avec la lettre Yod s'ajoutant au Taw, on obtient "téwy", le tracé, l'alignement, comme si le Yod matérialisait le signe en le traçant.
Si on remplace le Yod par un Aleph, on obtient "ta" ou taw-aleph, la cellule, le cabinet de réflexion, mais aussi "viens!", à l'image d'un signe qu'on ferait à un homme perdu, à un profane pour lui indiquer son chemin ou le chemin d'un lieu calme pour réfléchir et retrouver une certaine unité.
Quand on inverse les deux lettres taw-aleph, on obtient aleph-taw, soit l'équivalent hébraïque de l'expression "alpha et oméga", une certaine totalité. Mais ce mot a plusieurs sens. D'abord il est "le signe" par excellence, "ot", le signe de l'être, de l'existence. Il signifie aussi "avec" (ét) et "toi" au féminin (at). De même il représente un instrument tranchant qui fend comme un soc de charrue. Il signifie enfin "en direction de...", la main montrant le chemin. On peut résumer ces différents sens en imaginant une main jouant le rôle d'un outil tranchant, matérialisant le geste et l'accompagnant vers une direction déterminée.
Le mot "ot" s'écrit aussi avec un Waw, aleph-waw-taw, le Waw étant une liaison. Il a le sens plus précis de symbole comme une lettre de l'alphabet par exemple. C'est aussi un verbe qui a le sens de signaler, d'accepter, de consentir.
Associée à la lettre "Hé", la lettre "Taw" donne le verbe "taw-hé-hé" qui a le sens de sentir, méditer, réfléchir...

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29 juillet 2012

Lettre A

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