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26 septembre 2014

Symbolisme Chartres, âne, truie, filer...

Sens de filer la quenouille:

http://books.google.fr/books?id=M4QDdgLuGmkC&pg=PA351&lpg=PA351&dq=sens+populaire+de+filer+la+quenouille&source=bl&ots=Ng3JCJ9brY&sig=3CpIdGnWAqA35axxY2MjOS3Ni6I&hl=fr&ei=rc7pSoHuBqLLjAffuJyqDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=3&ved=0CAwQ6AEwAg#v=onepage&q=&f=false

Libres horizons: pour une approche comparatiste, lettres francophones ...

Par Micéala Symington,Roger Chemain,Béatrice Bonhomme

Parques pour « porque », Chloto, signifiant « je file » est la quenouille. Lachésis « le sort, la destinée » place le fil sur le fuseau. Atropos « l'immuable » donne le coup de ciseau final. Ce sont les Parques qui tissent le destin des hommes.

 

http://racines.traditions.free.fr/beours/index.htm

Sanglier

Les Grecs disaient descendre des trois Grées, les “grises” or, ce sont des Phorcides, descendantes de Phorcus ou Orcus, le Grand Dieu Noir de la mort, apparenté aux dieux* inférieurs (cf. le Sanglier d’Érymanthe). Porcus donne les Parcaé, ce qui est le titre des trois Parques ou Moires (Moiraï, Nornes et Nona : cf. art. Destin*) ou “les distributrices”Les Grecs disaient descendre des trois Grées, les “grises” or, ce sont des Phorcides, descendantes de Phorcus ou Orcus, le Grand Dieu Noir de la mort, apparenté aux dieux* inférieurs (cf. le Sanglier d’Érymanthe). Porcus donne les Parcaé, ce qui est le titre des trois Parques ou Moires (Moiraï, Nornes et Nona : cf. art. Destin*) ou “les distributrices”

 

L'âne selon la tradition chrétienne est dans la constellation du Cancer qui marque le solstice d'été.

 

http://www.antikforever.com/Egypte/Dieux/divinites4.htm

Truie, Nout

Elle est la personnification de la voûte céleste et du firmament, son rire est le tonnerre, ses larmes sont la pluie. Elle est considérée comme la mère des astres.

Parfois elle a l’aspect d’une vache céleste ou celle d'une truie avec ses gorets. Dans les textes des pyramides, elle est représentée entre autres comme une vache qui apporte la guérison.

 

http://dictionnaire.sensagent.com/nout/fr-fr/

Nout déesse céleste

Nout remplit une fonction importante dans la cosmogonie égyptienne. Elle incarne le ciel ; Son rire est le tonnerre, ses larmes la pluie. Son corps symbolise la voûte céleste et sépara la terre du déluge qui l'entourait. Selon les traditions, le corps de Nout se déploya au-dessus de la terre pour la protéger ; Ses membres qui devaient toucher le sol symbolisent les quatre points cardinaux.

Elle fait de plus figure de mère des astres. On croyait que le Soleil disparaissait le soir dans sa bouche pour voyager la nuit dans son corps et au matin réapparaître dans son giron, à l'Est. Au cours d'un cycle éternel, les étoiles traversaient également son corps pendant le jour. Ces métaphores sont à l'origine de la désignation de Nout comme « truie qui dévore ses gorets ».

Certains égyptologues estiment que la déesse Nout pourrait avoir symbolisé le ruban de la Voie lactée. La formule 176 du Livre des morts évoque le ruban astral en relation avec la déesse. De surcroît, elle est représentée pendant la période des Ramsès avec des étoiles sur et autour de son corps. Ronald Wells a démontré que le ruban de la Voie lactée pendant la période prédynastique au cours du solstice avait la forme d'une figure allongée, dont les bras et les jambes étendus touchaient l'horizon. C'est de cette manière que la déesse Nout fut reproduite ultérieurement. De même le Soleil aurait décliné au moment de l'équinoxe de printemps à l'endroit exact où la « tête » de cette figure se trouvait.

Elle était la protectrice des morts qui les accompagne dans l'Au-delà.

 

Nout prit également partiellement les traits d'une vache céleste où ses quatre fers symbolisent les points cardinaux ou ceux d'une truie avec ses gorets.

 

Lorsqu'elle était représentée sortant à moitié des feuillages d'un sycomore (qui est son arbre symbolique) pour donner à boire aux morts, elle symbolisait la mère qui rend la vie aux morts.

 

L'âne vielle... la truie file

L'âne veille... la Laie file

L'Anne veille (vieille) la Loi fille

Là ne vit elle, la suidé file (suit des fils...)

Là ne vit elle, la laie (ne) file (l'haleine) donc signe de mort...

L'âne évoque le cheval, la truie évoque Troie : cheval de Troie: dans le Ventre -de l'animal-de la cabale (cheval) pour pénétrer Troie (Vérité, trui...sme)

Là n'vit (voir) les trois fils (l'étroit fil)

File = fait sa pelote

Voir à Cerridwen, déesse celte

 

La porte des esprits défunts, (des fins)

Porte du Temps : Ange au cadran : temps profane, temps divin. L'âme qui veille le porc qui file (droit) : est dressé sur ses pattes.

Enseigne A la truie qui file (droit), A la cochonne aille

 

Entendre (oreille d'âne) langage des oiseaux (A E I O U) 5 cordes

Voir

Res – sentir

Toucher (pieds nus)

Goûter (breuvage sacré, ivresse rituelle, nourriture: pain...)

 

ANE LYRE : 5 cordes

Lyre / Apollon = Soleil

Troja -Labyrinthe – parcours du Soleil

Cadran - Soleil

 

Id dans http://books.google.fr/books?id=ujRMNjmLwO0C&pg=PA166&lpg=PA166&dq=Art%C3%A9mis,+d%C3%A9esse+fileuse&source=bl&ots=Mv-clqSp8Y&sig=cs896qWIc2CxPGtw7ZLfbEtATJw&hl=fr&ei=PWLjSt_HGsP54AabjcH7AQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0CAoQ6AEwAQ#v=onepage&q=Art%C3%A9mis%2C%20d%C3%A9esse%20fileuse&f=false

Artémis / Vierge / Déesse filant la vie!

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/dha_0755-7256_1990_num_16_2_1484

Traditions antiques dans les scènes de l'Annonciation

Aleksandra Wasowiczlien Dialogues d'histoire ancienne lien Année 1990 lien Volume 16 lien Numéro 16-2 lien pp. 163-177

Modèle de la Vierge filant inspiré du modèle grec (égypte avant)

 

http://www.circ-asso.net/histoire/ariane.html

Ariane, déesse du chanvre?

 

http://www.cavi.univ-paris3.fr/phalese/agreg2003/Stanesco.html

L'âne à la Lyre

Les vilains sont semblables à l'âne qui s'essaye à jouer de la harpe. Là aussi nous sommes en présence d'un souvenir d'école. L'origine lointaine en est un proverbe grec, onos lyras, bien connu par les Romains : la fable de Phèdre, Asinus ad lyram, dans laquelle on racontait l'histoire d'un âne qui trouve une lyre abandonnée dans un pré, était très populaire dans l'Antiquité. Mais il est plus probable que le Moyen Age s'inspire plus directement d'un passage de la célèbre Consolatio Philosophiae ; chez Boèce, le dicton « l'âne devant la lyre » signifie l'incapacité d'écouter. Au Moyen Age, le passage où la Philosophie personnifiée dit à son auditeur : « Entends-tu mes paroles ou es-tu comme l'âne devant la lyre ? » devient un lieu commun de l'art roman. Il est un motif iconographique extrêmement répandu dans les missels et sur les façades des églises pour représenter l'Ignorantia : on le trouve dans la Saintonge (voir l'illustration), à Beaune, Brioude, Bruyères dans les Vosges, Nantes (voir l'illustration), Chartres, Toulouse, etc. Ce topos d'origine savante est ici exprimé pour la première fois dans la langue vulgaire. Le passage d'une langue à l'autre signifie que ce qui appartenait jusque là à une culture savante peut être mis à la disposition du public laïc. C'est précisément ce que fait l'auteur par son oeuvre. Il s'agit d'un double transfert, d'ailleurs : dans l'Eglise, l'âne qui veut jouer de la harpe a un sens spirituel, renvoyant à l'opposition entre la chair et l'esprit. Dans notre prologue, l'opposition se fait entre courtois et vilains, elle concerne la sphère de la nouvelle culture laïque. On a suggéré aussi une autre signification, pas forcément négative : le symbole de l'âne avec sa harpe est placé sur des façades, portails, consoles, c'est-à-dire dans des lieux de passage, fréquentés par les croyants. Il représente l'homme qui ne comprend pas le message de Dieu et succombe au péché. Il fonctionne donc comme un avertissement ; et c'est là peut-être l'intention de l'oeuvre.

Hermès, la lyre et l'alphabet récupéré par Apollon

http://www.aly-abbara.com/histoire/Mythologie/Grece/images/Hermes_Paris_Louvre.html

D'après les légendes, Hermès est un dieu civilisateur, il assiste les trois Parques à composer l'alphabet, il invente l'échelle musicale, la lyre à sept cordes (d'autre pensent que sa lyre n'avait que 3 ou 4 cordes et que c'est Apollon qui la transforme en 7 cordes). Hermès invente aussi l'astronomie, les poids et les mesures, il est le maître de la rapidité et la précision du geste ; maître de l'artisanat. Il invente aussi la culture de l'olivier et quelques sports comme la boxe et la gymnastique. Il trace les routes et le chemin et il invente les tas de pierres qui balisent les routes (herma = tas de cailloux disposés à intervalle régulier comme étant des indicateurs des routes et des frontières). Il souffle à la jeune mariée les mots qui facilitent son rapprochement de son époux, et l'aide à parcourir le chemin qui sépare le domicile de son père du domicile du future mari, et il facilite son intégration dans la nouvelle famille.

Hermès est un dieu à caractères multiples et de temps en temps contraires, il est le dieu protecteur des bergers, pour cela il est fréquemment présenté en criophore, c'est-à-dire portant un agneau sur ses épaules. Hermès et aussi le dieu protecteur des voyageurs, des navigateurs, des commerçants ; dieu des échanges et du contrat, mais il est aussi le dieu du vol et des voleurs, de la ruse et de la tromperie ; il est un brouilleur de piste, un brigand ; il est organisateur et désorganisateur.

 

Ane et mythologie, musique... +++

http://carmina-carmina.com/carmina/contes/asinus.html

 

Dans Racines et Traditions, voir Robert Graves

En Grèce, selon la Mythologie, c’est Hermès qui apporta l’Écriture aux Grecs : « Il existe des preuves indiquant qu’avant l’introduction en Grèce de l’alphabet phénicien modifié, un alphabet constituant un secret religieux, était conservé par les prêtresses de la Lune Io ou les trois Parques* ; il était étroitement rattaché au calendrier et ses lettres n’étaient pas des caractères écrits mais de petites branches d’arbres24 correspondant aux différents mois . » Robert Graves, les Mythes Grecs, Fayard Pluriel, 1967.

En effet, il est expressément dit dans la Mythologie : « Zeus avait écrit les destinées* humaines sur la “diphtere”, la peau de la chèvre Amalthée. »

 

Le divin Hermès

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tarot_divinatoire#Le_Divin_Herm.C3.A8s

Pour le monde antique, Hermès, associé au dieu égyptien Thoth, fut considéré comme l’inventeur de l’écriture et l’auteur de nombreux traités magiques et religieux. Durant la période de l’Empire romain, ces textes hermétiques furent réinterprétés par l’ École d’Alexandrie en Égypte à la lumière de la philosophie grecque, en particulier Pythagore et Platon. Les Pères de l’ Église vouèrent un grand respect à Hermès en vertu des analogies avec certains textes qui lui furent attribués et des passages des Évangiles .

En 1460 fut porté à Cosimo de Médicis, Seigneur de Florence, un manuscrit retrouvé en Macédoine et attribué par erreur à Hermès Trismégiste. Cette œuvre traduite en 1463 par le religieux et philosophe Marsile Ficin fut suivie par les traductions de textes platoniciens qui révélaient une conception fascinante du Cosmos.

Selon cette philosophie, l’Univers converge vers l’Unité divine ordonnée selon des degrés divers de perfection et représentés par les cercles concentriques des sphères planétaires et célestes tandis que l’homme est constitué d’une part divine - l’âme - qui, durant son existence terrestre, peut le conduire à la contemplation du Bien suprême à travers la pratique de la vertu et par le biais de la médiation des différentes entités angéliques.

Un autre aspect important de cette philosophie était l’idée que l’Univers se reflètait dans chaque chose existante. L’ Homme était envisagé comme un monde en miniature, un Microcosme identique en tout et pour tout au Macrocosme. Les philosophes de la Renaissance, à commencer par Ficin, édifièrent de complexes systèmes de correspondances reliant les astres du firmament et les différentes parties du corps humain.

Une des conséquences de ceci fut la revalorisation de la Magie, de l’Astrologie et de l’Alchimie – l’art hermétique primordial. On pensait ces sciences capables de donner à l’homme les moyens de comprendre les liens secrets qui assurent la cohésion de l’univers et qui influencent le comportement humain.

Ainsi les divinités astrales antiques, Saturne, Jupiter, Mars, Vénus, Mercure, le Soleil et la Lune, ré-assumèrent leurs rôle d’esprits puissants et redoutables auxquels il était permis d’adresser prières et interrogations pour connaître la destinée humaine.

 

Fêtes de l'âne et saturnales, Silène sur un âne,

http://www.bmlisieux.com/curiosa/drumon01.htm

Silène ++ http://fr.wikipedia.org/wiki/Sil%C3%A8ne_%28mythologie%29

représentation Titien http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/lettres/LanguesAnciennes/Ariane/fichiers/arts/bellini1.html

 

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhr_0035-1423_1951_num_139_1_5784

Le prétendu culte de l'âne dans l'église primitive

Lukas Vischerlien Revue de l'histoire des religions lien Année 1951 lien Volume 139 lien Numéro 139-1 lien pp. 14-35

Dionysos transforme l'âne en constellation

Représentation du Christ en berger donc avec des moutons, mais écartant l'âne et le porc.

P 28 Origène rapporte que les gnostiques devaient rituellement passer devant les 7 portes des archontes et réciter une formule pour chacune d'elle. Les archontes ont des formes d'animaux dont l'âne.

Ane, figure attribuée à de nombreux dieux: Seth égyptien, Dionysos, Typhon, ... Saturne

Asinus écrit à l'envers sur tablette...

 

Théâtre et religion [modifier]

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Le théâtre a une origine religieuse : Dionysos, dieu du vin et de la fertilité, était célébré trois fois l'an par des « Dionysies ». ...

www.upba.fr/EcrisVins/Theatre%20et%20religion.pdf

http://docs.google.com/gview?a=v&q=cache:98OU_fRUuhIJ:www.upba.fr/EcrisVins/Theatre%2520et%2520religion.pdf+Dionysos+et+l%27%C3%A2ne&hl=fr&gl=fr&sig=AFQjCNHvevY4N1YAip7V_Wp0eFBoyUXwgw

Dionysos, dieu à la flûte (dans tibia d'âne), ses airs provoquent parfois l'effroi (flûte instrument des bateleurs et non des musiciens au moyen-âge, est opposé à Apollon dont la lyre est symbole d'harmonie.

Dionysos est l'amant d'Ariane déesse minoënne de la végétation.

 

Ane à la lyre

http://web.me.com/joel.jalladeau/images/page10/page10.html

L’âne à la lyre et les autres animaux musiciens Avec photos et texte++

 

Ane de dionysos et constellation :

Constellations Le Crabe, les Ânes et l'Étable : dans le Cancer

http://www.etoile-du-berger.net/Astronomie.htm

Marque le solstice d'été (perso)

 

Constellation du sanglier ou laie : Grande Ourse (pour les celtes), animal de Samain

http://harter.audrey.free.fr/site%20mythologie%20celtique/animauxS.htm

 

http://www.les-identitaires.com/aff_doc.php?id=708&idrub=1

L'animal sacré

Animal sacré dans toute monde indo-européen, le porc était consommé rituellement au moment du solstice d'hiver.

 

http://racines.traditions.free.fr/sexuali/index.htm

Asinus : âne,

Le mot viendrait par le latin sexus, de l’indo-européen *Seu “idée d’humidité, sucer, boire, allaiter” ; *Su “enfanter, fils” ; anglais son, allemand Sohn ; sanskrit sua, “bon, bien” (racine présente dans svastika*1 et dans “suidé”).

 

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