Vénus
*Vénus dans l'égypte antique
La planète Vénus, enfin, est l' "Etoile qui Traverse (le Ciel)", l'oiseau Bennou. Cette dénomination est d'ailleurs illustrée par la figuration d'un héron (). Le dieu Osiris (, Wsir) lui est rattaché
http://www.culturediff.org/horloges47.htm
Place de Vénus sur les zodiaques de l'égypte antique
http://www.toutankharton.com/Athribis-la-tombe-du-Zodiaque
Astronomie en égypte antique, calendrier, Vénus...
http://www.immortelleegypte.com/articles.php?lng=fr&pg=1062
Vénus / Hathor
Correspondance entre les mythologies grecque, romaine et égyptienne d'après Plutarque
... Aphrodite ................. Vénus ......................... Hathor ...
decouverte.etoiles.free.fr/.../Histoires%20illustr%E9es%204%20pages.pdf
Balance, Vénus et Osiris en Egypte
http://www.sylvie-tribut-astrologue.com/tag/septieme-signe-du-zodiaque/
D’après le Livre des Morts égyptien, on imagine la psychostasie, une pesée des âmes : dans les plateaux de la balance, d’un côté un vase, signifiant le cœur du mort, et de l’autre la plume d’autruche signifiant la justice et la vérité.
La Balance symbolise la justice : le poids comparé des actes et des obligations. Elle est gouvernée par Vénus-Aphrodite : la beauté, l’harmonie, l’amour qui a inspiré nombre d’artistes.
- Ses mythes
La Balance comme symbole de jugement n’est qu’une extension de l’acceptation de la justice divine. Dans l’Egypte ancienne, Osiris pesait les âmes des morts.
Grille, Vénus http://anureva.musique.com/r2011/numerologie-et-le-secret-des-nombres/
En numérologie, La "grille d'évaluation " ou "d'inclusion" est aussi appelée "étoile de Vénus"
Les deux Babylones :
Tout ceci nous expliquera l'identité de Cybèle et de Vénus ou Astarté. Au fond, il n'y avait qu'une déesse, le Saint-Esprit, représenté comme femelle quand la distinction des sexes fut injurieusement attribuée à la Divinité, par une perversion de la grande idée scripturaire que tous les enfants de Dieu sont enfantés par le Père et nés de l'Esprit ; et avec cette idée, l'Esprit de Dieu comme Mère était représenté sous la forme d'une colombe, en mémoire de ce fait que cet Esprit, à la création, flottait (c'est là le sens exact de l'expression originale, Gen. I, 2) à la surface des eaux. Cette déesse donc s'appelait Ops, celle qui flotte, ou Junon, la colombe, ou Khubelé, celle qui attache avec des cordes; ce dernier titre se rapportait "aux liens d'humanité, aux cordages d'amour" (appelés dans Osée XI, 4, "Khubeli Adam"), par lesquels non seulement, Dieu attire sans cesse les hommes à lui, dans sa bonté providentielle, mais aussi par lesquels Adam, notre premier père, était étroitement uni à Dieu par l'Esprit qui demeurait en lui, tandis que l'alliance d'Éden était détruite. Ce sujet est minutieusement décrit dans l'histoire païenne et les preuves de nos affirmations sont abondantes ; mais je ne puis m'y étendre ici. Remarquons seulement que les Romains joignaient les deux termes de Junon et de Khubèle, ou comme on le prononce d'ordinaire, Cybèle ; à certaines occasions, ils invoquaient leur déesse suprême sous le nom de Juno Covella, (STANLEY, Philosophie, p. 1055), c'est-à-dire "la colombe qui lie avec des cordes". Dans Stace, (liv. V, Sylv., 1- V, 222, apud BRYANT, vol. III, p. 325), nous trouvons le nom de Cybèle donné à la grande déesse