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23 mai 2020

mètre, phi, pi, origine égyptienne, géométrie

Révélation des pyramides (film)

Capture d’écran 2020-04-26 à 15

Capture d’écran 2020-04-26 à 15

Cercle1mDiam-en-6: pi, phi2,coudéeGizeh

Quadrature et Phi

Quadrature-et-Phi

 

https://messagedelanuitdestemps.org/index.php/2013/05/15/le-metre-est-une-unites-connues-depuis-la-nuit-des-temps/

Juste après la révolution Française, Napoléon lança une expédition en Egypte avec des centaines de scientifiques. Ils passèrent des semaines et des mois à désensabler la grande pyramide, à la mesurer sous toute les coutures, on raconte même que Napoléon dormit dans le coffre de la chambre haute. Or, il se trouve que le mètre est une unité dont l’étalon est contenu dans la grande pyramide. La chambre haute en granit inébranlable contient le mètre pour qui possède les clefs géométriques.

Talleyrand aurait proposé le mètre comme 1/10000 de la moitié du méridien de la terre. Mais là encore, la Grande Pyramide contient les dimensions de la terre, et pour les découvrir, il fallait désensabler la grande pyramide. Les premiers étalons très précis ayant été fabriqué en 1806, après la campagne de Napoléon en Egypte, par un certain Delambre… qui avait participé à la campagne !

En 1983, le mètre fut redéfini comme étant 1/299 792 458 ème de ce que parcours la lumière en une seconde.

Phi=environ 5/6 Pi

http://messagedelanuitdestemps.org/wp-content/uploads/2019/11/coudee-royale-epreuve-statistique.pdf

Isaac Newton avait déjà compris que la coudée royale mesurait 1,719 pied anglais, soit 52,39 cm. Et pourtant, à cette époque là, nous n’avions pas encore re-trouvé d’étalon gradué en bois ou en pierre. Newton à déduit cette mesure des dimen-sions et de la géométrie de la chambre haute de la grande pyramide. En effet, d’après les mesures, ce dernier constate qu’il s’agit d’un double carré, et que si l’on applique la valeur de 10 et 20 coudées, cela donne une mesure d’environ 52,36 cm.Enfin, au début du 19ème siècle, furent découvert les premiers étalons gradué. C’est Jomard, le premier qui publia une étude quant aux dimensions des 4 étalons à sa dispo-sition. Il en conclu que la coudée royale devait mesurer 52,35 cm. Son travail est confirmé par J F Saigey qui mesure la coudée de d’Amenemope et lui attribue la valeur de 52,35 cm. Les plans très précis de la grande pyramide par Gilles Dormion viennent 13conforter que la coudée employée mesurait 52,36 cm ± 0,01.

les Pythagoriciens qui pratiquaient une science à partir des nombres, la géométrie, l’astronomie et la musique. Expliquer les lois de l’univers via les nombres et la géométrie était le support des savants de l’antiquité.

il n’y a que 3 mesures possibles qui sont des multiples en nombre entier de PI et PHI2 , soit 1 chance sur 643 avec une précision de 99,9%.

ces 3 mesures sont la coudée royale (52,4 cm), sa moitié (26,2 cm) et son quart (13,1 cm) . On peut donc bien dire que seule la coudée royale est susceptible d’être un multiple de PI et PHI2 , avec une précision de 99,9 en admettant une coudée qui mesure entre 52,3 et 52,4 cm. Il y a finalement 1 chance sur 1931 que cette relation entre la coudée royale, PI et PHI2 , et le mètre soient une coïncidence.

https://messagedelanuitdestemps.org/index.php/2019/11/21/pi-phi-le-metre-et-la-coudee-royale-simple-coincidence-le-test-de-probabilite/

il est simple d’évaluer parmi toutes les mesures potentielles de la coudée, celles qui pourront présenter des rapports en nombre entier avec des constantes mathématiques connues ou aléatoires.
A partir d’un simple programme sur Excel, développé par Pierre Coussy, ingénieur programmeur de formation, nous avons pu voir que parmi les 19 000 unités de mesures potentielles entre la paume et la toise, il n’y en a que une seule qui est un multiple en nombre entier du nombre PI et simultanément du nombre d’or exprimé en mètre.

Il y a au mieux, une chance sur 19000 que la coudée royale soit un multiple de PI et PHI en mètre sans que la longueur de la coudée fut pensée en fonction du mètre et des constante PI et PHI.
De plus nous apportons une preuve matérielle souvent négligée à propos des mesures employées en Egypte. Il s’agit de la coudée longue découverte près de la pyramide de Lisht en 1915 et qui mesure 70 cm et qui est graduée en 7 sections de 10 cm, mettant ici en évidence l’emploi du système métrique en base décimale.

Commentaire: Je remarque que le rapport PI / PHI donne 1,94 et correspond en mètre à la toise utilisée en France avant la Révolution.

 

Mètre et rectangle solsticial égyptien prédynastique

http://www.univ-irem.fr/exemple/reperes/articles/87_article_586.pdf La naissance de la géométrie (égypte)

87_article_586

Voir figures + +

Aphrodite/bien-tôt Vénus représente un progrès : son mythenous explique la sexualité des poissons (quandle ciel vient féconder l’écume de mer). La figure du Vesica Piscis (Composée de deux cer-cles jumeaux -le centre de l’un sur le cercle del’autre) est l’une des plus simples, et doncdes plus anciennes. De celles qui servent dediapason aux géomètres du sacré pour iden-tifier leurs valeurs.

 

La vulve explicite qu’il représente, féminine donc, est pudiquement qualifiée de «déïque»,et les Pythagoriciens la considèrent commesacrée. Ce symbole est aussi attribué à Vénus,ou plus exactement aux entités qui portent le mêmetype de sens avant elle : le féminin sacré. Or selonle théorème de Pythagore, la hauteur de l’inter-section fait √3 fois le rayon. La racine exprime l’origine, la source, le mystère d’un élément. Maismême sans cette définition/explication qui entr-era tôt ou tard dans la tradition, le Vesica Pis-cis se rapporte explicitement au 3, entrainant aveclui les deux valeurs symboliques qu’il porte :féminin et sacré. Pythagore «découvre» ainsiun 3 féminin et céleste. Et à cette occasion, l’onpeut noter que le mot «céleste» gagne en nuancepar rapport au ciel de la fécondité évoqué plushaut. Cette nouvelle définition est en rupture avecles mythes archaïques, où le ciel est masculin.Mais Pythagore doit choisir entre un héritagede type primitif et la vérité que les mathéma-tiques dévoilent à ses yeux. La symbolique,qui deviendra tradition avec le temps, lui don-nera évidemment raison de choisir les mathé-matiques ! Dernière réflexion : les anciens serelient à des croyances quand ils n’ont pas lesmoyens de faire autrement, mais dès que l’outild’observation ou de construction le permet,leur raison se met en marche.

L’Antiquité a vécu deux étapes dansl’approche du nombre d’or. La plus connue,et même la seule que révèle l’écrit (l’his-toire ne se réfère qu’à lui, particulièrementquand il s’agit de peinture et de mathématiques),correspond à l’école grecque. Evaluer, mesur-er, comparer à l’unité, sont ses obsessions. Cetteécole prend l’irrationalité des nombres pourune provocation, et comme tout ce qui lapréoccupe, le nombre d’or est le résultat d’uncalcul, d’une équation. Pour les Grecs, l’expres-sion la plus puissante du nombre d’or est lePentagramme, et ses projections en troisdimensions dans les solides de Platon. Pythagorele prend pour signe de ralliement. C’est sonmandala, son viatique, la question éternelleattisant ses instincts de pugiliste et d’hommedressé. La version cachée du nombre d’orest égyptienne. Les Egyptiens inventent lagéométrie «juste avec les yeux», sur unquadrillage grâce auquel ils peuvent tout construire et tout démontrer (sans calcul et sansirrationnel). Leur figure de référence est le triangle sacré,qui sert soit-disant (?) à l’arpentage dans lescivilisations avoisinantes (Sumériens, Baby-loniens etc). Les Égyptiens identifient la pro-portion dorée du triangle, et ils en compren-nent le rôle autant que l’intérêt. Bien après lesPyramides, Pythagore va à cette école, et ildécouvre le « ∆ du Nil » désignant la diago-nale du double carré (révélation du Soleil deLouxOr). Il émet alors une option : et si ∆ =√5 ? Et tout s’éclaire ! Il dispose désormaisde deux exemples avec les triangles 1-2-√5 et3-4-5. Son célèbre théorème est né. Le pen-tagramme est connu de toutes les civilisa-tions antiques. Son rôle n’est cependant pasle même. La géométrie comparée établit le statutexact des figures, leur rôle et leur rapportavec les autres à l’intérieur des systèmes decomposition. Le triangle sacré est selon les cas,une simple corde à treize nœuds pour tracerdes angles droits ou la figure de base d’unegéométrie sacrée à la complexité époustou-flante... Le pentagramme est, de même, sujetà différents statuts dans l’antiquité et c’estPythagore qui en développe le premier lesaspects miraculeux...Les Egyptiens ne pensaient pas lagéométrie comme nous, arrière-petits enfantsd’Euclide. Ils se fiaient à l’évidence que lequadrillage offrait à leurs yeux.

 

L’origine du nombre d’or, en tant que pratique, remonte à l’Égypte pré-dynastique(vraisemblablement la civilisation de Nagada). À cette époque, le désert ne l’a pas encore séparée de l’Afrique noire. Nagada se développe sur le haut Nil, à une latitude où le solstice trace précisément, sur la table d’orientation, la diagonale d’un double-carré. La civilisationégyptienne est une civilisation du Soleil, et elle pratique le nombre d’or comme les anglesavec virtuosité. Curieusement, un même type de civilisation s’épanouit en Amérique cen-trale, à la même latitude...— Le nombre d’or est en grande partie responsable de la solidité des systèmes de composi-tion. C’est grâce à ses propriétés que les figures géométriques trouvent les coïncidences, lesliens qui les unissent. Ce nombre est dans la nature profonde du triangle 3-4-5, enfoui dans sastructure interne. En cela, la logique dorée ne se résume pas à une série de rectangles emboîtés.Le pentagramme expose également cette proportion, mais il s’appuie toujours sur une trame,un quadrillage dirigé par la figure initiale du triangle. De façon générale, l’on attribue à tort àla géométrie sacrée un esprit de proportions (ou de canons). Mais l’harmonie ne se suffit pasd’une simple multiplication, qui deviendrait magique dès qu’elle fait intervenir le nombre d’or.

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