Liens sur étoiles ou tradition +/- spiritualité
SUR http://www.alexandrea.fr/index.php/post/2007/10/24/2012-et-lalignement-astronomique-prevu
Les liens suivants :
Logiciel totalement gratuit pour préparer vos observations astronomiques ou tout simplement découvrir le ciel :
http://www.stellarium.org/fr/
Meridian simule la position des planètes dans le ciel en fournissant de l'information telles que:
http://www.merid.cam.org/meridian/m...
ma revelation www.ledoigtdedieu.com
je vous conseille un site instructif sur une certaine vision de l'évolution de l'humain selon les mayas http://www.lalyreduquebec.com
il y a beaucoup de choses dont on a parlé jusqu'à maintenant et cependant la vision évolutive de l'humain expliqué dans la partie 3 me semble nouvelle.
la fin est beaucoup trop spirituelle pour moi.
scientifiques et astronomes n'ont été que bien récemment capables de calculer la durée précise de ce cycle, il semble que les mayas en avaient une connaissance bien affutée... Comment ? Un site passionnant sur ce sujet : http://tortuga.usebynet.com
(fourmille de notions intéressantes.)
La "théorie du dédoublement", de Jean Pierre Garnier Mallet, permet également le calcul précis de la durée de ce cycle ainsi que d'autres constantes universelles comme la vitesse de la lumière, etc... ( http://www.garnier-malet.com/
Œil de Dieu : constellation de l’autel (astro chaldéenne),
Cf http://www.incapabledesetaire.com/edito3/annuelle.htm
Alors que le point le plus important de l’univers était la position de Dieu, l’Alpha et l’Oméga, le zéro, l’Autel,un point précis* du ciel situé entre le scorpion et le sagittaire, cet endroit si important est devenu RA 18h, 15m dans la nouvelle astronomie.
* (perso) correspond à l’Apex ?
Ainsi, chaque longitude enferme un groupe de terres et d’individus qui tous posséderont des caractéristiques propres et appareillées au signe du zodiaque lui faisant face. Les planètes circulant autour faisant office de lentille, cette représentation sera inversée faisant apparaître sur l’hémisphère nord tout ce qui est en bas de l’horizon galactique et vice et versa.
Astro Les Chaldéens
Ils délimitèrent ainsi 7 tracés *, similaires à nos latitudes appelées climats et qui s’échelonnent du pôle Nord jusqu’à l’équateur, dont chacune possédait un indice décroissant des caractéristiques recherchées, au fur et à mesure qu’on s’éloignait du pôle. Sur chacune des bandes séparant ces tracés, seraient inscrits 10 nouveaux tracés sur lesquels serait attribué un nouvel indice à la qualité décroissante, au fur et à mesure que l’on s’éloignait des tracés d’origine et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’hémisphère nord, seul jugé digne de posséder les qualités essentielles, en soit couvert.
* Certaines cultures démontrent l’utilisation de 8 tracés à une même époque.
Fruit d’une science très ancienne transmise par l’intermédiaire des Chaldéens, les villes pourraient être établies aux endroits les plus propices aux développements de la vie et l’homme posséderait toujours un refuge en dépit des changements parfois violents de la planète. Bien que dépendante d’une autre coordonnée similaire à la longitude cette fois, toutes les villes des générations ayant existé depuis le début des temps jusqu’à -5000, le furent en fonction de ces marques, qui furent appelées marques de Dieu.
Comme chaque constellation contient en son sein une ou des étoiles d’importance offrant une luminosité nettement plus puissante et aussi plus caractérisée que les autres, la quasi-totalité des grandes villes qui existaient avant l’époque moderne, furent crées précisément sur ces marques.
Marqués par la position du centre Galactique, la constellation de l’Autel ou l’oeil de Dieu furent identifiés sur ces marques à de nombreuses reprises au cours de l’histoire.
C’est le 27 novembre 2008 qu’un alignement Soleil-Mercure-Mars, quasi parfait sur la nébuleuse M80 de la constellation du Scorpion
Au même moment, l’alignement Vénus-Jupiter se complétera à l’extrémité de la constellation du Sagittaire.
Les deux formations seront séparées par un angle d’une vingtaine de degrés de chaque côté du Centre Galactique ou la constellation de l’Autel, aussi appelé l’Oeil de Dieu. Elles seront traversées par la pleine lune entre le 27 novembre et le premier décembre, moment optimal.
C’est entre ce moment et la fin décembre que la Lune ouvrira cet « oeil » qui balaiera la planète et qui frappera directement le coeur du Québec.
Suivant le mythe d’Hécate la triple déesse, c’est à partir de ce moment que la Lune devrait démontrer à quelques reprises une apparence inusitée, une illusion d’optique occasionnée par la torsion du rayonnement lumineux réfléchie jusqu’à nous, l’oeil de Dieu.
C’est en 1564 que s’est produite la dernière croix céleste de moyenne importance. La dernière apparition partielle d’Hécate quant à elle, s’est produite en décembre 1608 toujours au Québec
C’est entre ce moment et la fin décembre que prendra place la colonne de lumière, celle ayant donné lieu au mythe de la Colombe ou encore la venue de la « Grâce de Dieu », devenu par la suite « la venue du Christ », le christos céleste.
Constellation de l’Autel
http://fr.wikipedia.org/wiki/Autel_(constellation)
Ce groupe d'Ètoiles peu lumineuses faisait partie des constellations du Centaure et du Loup avant d'en Ítre sÈparÈ par la crÈation de la RËgle.
L'Autel est identifiÈ comme l'autel du centaure Chiron (ou, moins souvent, comme celui de NoÈ, de MoÔse, de Salomon ou de Dionysos).
Localisation de la constellation
L'autel fait partie du groupe d'Ètoile ‡ l'est de l'alignement formÈ par alpha et bÍta du centaure (les deux pieds du Centaure). Il est situÈ au sud de la queue du Scorpion, dans l'alignement assez net que forment les ´ yeux du chat ª (lambda et v Sco) et théta Sco.
http://www.astrosurf.com/astro_virtu/constell/f_co_ara.htm
C'est une constellation située près de la queue du Scorpion. La forme de cette constellation, petite mais bien repérable et déjà connue des anciens grecs et romains, rappelle un fauteuil vu de profil. Dans la mythologie, c'était l'Autel du Centaure Cheiron, considéré comme l'être le plus sage sur Terre. Mais, la constellation a aussi été décrite comme l'Autel érigé par Noé après le déluge, l'Autel de Moïse, celui du temple de Salomon, etc. La disposition des étoiles évoque l'image d'un objet carré, comme peut l'être justement un antique Autel de sacrifices. Dans quelques autres étoiles, on peut voir le feu qui brûle sur l'Autel. Les étoiles a et b sont de troisième magnitude. Différents amas globulaires se trouvent dans cette constellation. S'il vous est possible de voir au moins jusqu'au 65e parallèle de déclinaison Sud depuis votre lieu d'observation, vous trouverez facilement, au Sud du Scorpion (Sco), cette constellation dans la Voie Lactée.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin_(constellation)
La constellation du dauphin
Cette constellation fut également connue sous le nom du Chameau chez les astronomes arabes et de la Baleine de Jonas chez les Hébreux.
Le Dauphin est une constellation faible, mais sa forme est très caractéristique et se dégage facilement quand la visibilité est suffisamment bonne (Mag 4). Il se situe immédiatement au Sud-Est du triangle d'été, directement à l'Est de l'œil d'aigle de Altaïr, et au Sud du Cygne
http://etudiant-scientific.forumactif.com/histoire-archeologie-mythologie-f19/mythologie-constellations-le-dauphin-t395.htm
Le Dauphin était l'une des 48 constellations répertoriées par Ptolémée . L'origine de son nom, en revanche, n'est pas explicite et deux légendes s'y rattachent
La première concerne la néréide Amphitrite. Poséidon la vit danser sur l’île de Naxos et bien sur il tomba amoureux d’elle, mais se n’était pas réciproque et la belle s’enfui se cacher dans l’atlas
Le dieu n’acceptant pas sa défaite envoya des messagers parmi lesquels Delphinos qui sut si bien plaider la cause de Poséidon qu'elle céda et devint sa femme, la déesse de la mer.
Pour le récompenser l'image de Delphinos fut placé au milieu des étoiles pour devenir la constellation du dauphin. Elle lui donna trois enfants: Triton, Rhodè et Benthésicymé.
La deuxième concerne d’Arion le meilleur chanteur et joueur de cithare de son temps. Revenant de Sicile où il avait gagné, grace a son art, de grandes richesses, il s’embarqua à Tarente à bord d’un navire qui devait le conduire à Corinthe. Mais l’équipage décida, une fois en mer, d’assassiner le musicien pour s’emparer de sa fortune. Arion obtint cependant la faveur de chanter une dernière fois avant d’être jeté dans les flots, ce qui fut fait. Mais un dauphin, qui avait été attiré et charmé par les accents mélodieux du chanteur, le recueillit et le porta sain et sauf jusque chez lui.
Dans les deux légendes il s’agit du même dauphin, Delphinus. En récompense a ces bonnes actions, les dieux le placèrent dans les étoiles ...
La constellation est aussi parfois appellée Cercueil de Job, a cause de la formation de 4 étoiles qui composent la tête du dauphin
Elle fut également connue sous le nom du Chameau chez les astronomes arabes ou sous celui de la baleine de Jonas chez les hébreux
L'axe de ce cercueil est situé sur la médiatrice des étoiles gamma (Reda) et béta (Alshaïn) de l'Aigle, issue d'Altaïr. Cette constellation est facilement reconnaissable
Galaxie du grand Chien cannibale
http://latribunelibre.blogspot.com/search/label/Astronomie
Les théories actuelles de formation des grandes galaxies comme la nôtre considèrent qu'elle croît en cannibalisant ses voisines plus petites. La découverte de cette nouvelle galaxie du Grand Chien renforce cette idée et confirme que la Voie Lactée a même construit une partie de son disque en absorbant des galaxies satellites proches.
Perso : les anciens disaient que le soleil et son cortège d’étoile semblait venir du Gd Chien (Sirius)
Logiciel Stellarium Compatible Unix / Windows / Mac
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10.02.09, Le Monde
Satellites Herschel et Planck
Deux satellites scientifiques destinés à percer les secrets de l'univers, Herschel et Planck, vont bientôt être acheminés sur la base de Kourou (Guyane française), pour y être lancés par une fusée Ariane le 16 avril, a annoncé l'Agence spatiale européenne (ESA).
Le téléscope spatial Herschel doit être transporté mercredi par avion en Guyane depuis le centre technique de l'ESA à Noordwijk, aux Pays-Bas, où il a été testé.
Il étudiera la formation des étoiles et des galaxies, en utilisant le rayonnement infrarouge pour recueillir des informations sur les objets les plus froids et les plus distants jamais observés dans l'univers.
D'une masse de 3,3 tonnes au lancement, Herschel sera doté d'un miroir de 4,5 mètres de diamètre, le plus grand jamais déployé dans l'espace.
De 1,7 tonne au lancement, l'observatoire Planck est destiné, quant à lui, à analyser le rayonnement "fossile" émis par le Big Bang il y a 13,7 milliards d'années, en mesurant les différences de température de ce rayonnement dans différentes parties de l'univers.
Son objectif est notamment de déterminer si l'expansion actuelle de l'univers se poursuivra indéfiniment ou finira par se rétracter sur lui-même jusqu'à un "Big Crunch".
L'observatoire Planck doit être acheminé à Kourou le 18 février depuis le Centre spatial de Liège, en Belgique, a précisé l'ESA dans un communiqué.
Les deux satellites scientifiques ont été fabriqués par la société franco-italienne Alcatel Alenia Space.
Leur lancement, prévu en 2008, aura finalement lieu pendant l'Année mondiale de l'astronomie, qui célèbre en 2009 le 400ème anniversaire de la première utilisation d'une lunette téléscopique par Galilée.
PLEÏADES
http://www.mediterranee-antique.info/Grece/Jurien_Graviere/Asie_S_Maitre/ASM_00.htm
Droysen remarque que les Pléiades se couchent le matin en novembre, le soir au commencement d’avril, qu’elles se lèvent le matin en mai, le soir en septembre. — Le seul moment, dit-il, qui pourrait convenir à l’expédition mentionnée par Quinte-Curce serait le coucher du soir en avril ; mais alors l’année serait, ce semble, trop avancée, car on serait au commencement du printemps. M. Baills pense que la position des Pléiades, à laquelle fait allusion le texte de Quinte-Curce, établit plus rigoureusement qu’on ne serait au premier abord tenté de le croire la date du départ d’Alexandre pour l’intérieur de la Perside. Je reproduis ici son raisonnement, qui me semble très plausible et qui a de plus le grand avantage d’éclaircir cette expression si souvent employée par les historiens grecs et latins : Lever ou coucher des Pléiades.
En l’année 330 avant notre ère, m’écrit M. Baills, le lever et le coucher apparents des Pléiades avaient lieu, pour la latitude de 29° nord, qui est à peu près la latitude de Persépolis, vers le 1er mai et le 1er novembre. Ces dates ne diffèrent pas sensiblement de celles qui se rapportent à la Grèce.
Pour les habitants de Persépolis au temps d’Alexandre, le 1er mai, quelques instants avant le lever du soleil, les Pléiades se montrent à l’horizon du côté de l’orient, et disparaissent aussitôt dans les feux du soleil levant. C’est le lever des Pléiades. Elles précèdent le soleil et se couchent un peu avant lui : on ne peut donc les voir qu’à l’aube.
Pendant les mois de mai, juin, juillet, la constellation gagne de plus en plus sur le soleil, à raison d’une heure d’avance par quinze jours. Quand le soleil se lève, on a déjà assisté, depuis une ou plusieurs heures, au lever et à la montée des Pléiades.
Le 1er août, l’avance a atteint six heures : la constellation se lève à onze heures et demie du soir, et on peut la suivre dans le ciel jusqu’à cinq heures et demie du matin. Elle est alors droit au méridien. A ce moment, le soleil paraît. La deuxième moitié de la course des Pléiades au-dessus de l’horizon n’est pas visible.
Pendant les mois de septembre et d’octobre, l’avance continue toujours ; l’étoile se montre avant minuit et ne s’éteint au jour que déjà parvenue à la moitié de sa course descendante.
Le 1er novembre, l’avance est de douze heures : les Pléiades se lèvent quand le soleil se couche. Elles restent toute la nuit au ciel et ont le temps d’achever leur course totale avant l’apparition du soleil, apparition qui coïncide avec le coucher des Pléiades.
Pendant cette première période, — du 1er mai au 1er novembre, — nous avons assisté chaque nuit (à des heures variables) au lever de la constellation, jamais à son coucher. C’est pour cela que cette période s’appelle le lever des Pléiades.
Le contraire va maintenant se passer :
Pendant les mois de novembre, de décembre et une partie de janvier, l’avance continuant toujours, l’étoile se lève de plus en plus tôt dans l’après-midi : on ne peut donc la voir. Mais, après le coucher du soleil, les Pléiades, qui ne sont levées que depuis trois ou quatre heures, apparaissent au ciel du côté de l’orient, à une certaine hauteur. Puis, tandis que la nuit se fait, elles achèvent leur trajet, et on les voit se coucher bien avant que le soleil se lève.
Le 15 janvier, l’avance est de dix-huit heures : la constellation se lève vers midi, et, pendant que le soleil descend du méridien vers l’horizon d’occident, les Pléiades montent, invisibles, de l’horizon d’orient au méridien. De sorte que, sitôt le soleil coaché, elles se montrent brusquement au point le plus haut de leur course.
Un soir, les soldats d’Alexandre, en regardant le ciel, selon leur habitude, pour y suivre leurs points de repère, aperçoivent, juste à la tombée de la nuit, leur constellation favorite an point le plus haut de sa course, presque droit au-dessus de leurs tètes. Lorsqu’ils voudront tirer parti de cette circonstance exceptionnelle en vue de la supputation du temps, ils n’auront qu’à dire, — comme ils l’ont fait : Nous étions sous les Pléiades, — sub ipsum vergiliarum sidus. — Cette position des astres répondait au 15 janvier. Ce soir-là et quelques jours avant et après, les Pléiades se trouvaient, au crépuscule, droit dans le méridien et très haut dans le ciel, puisqu’elles passaient à quatorze degrés seulement du zénith.
J’attribue, en faveur de cette interprétation, une importance particulière au mot ipsum. Ce mot est employé dans le même sens, en français, pour affirmer d’une façon plus énergique l’impression de verticalité : Sous les Pléiades mêmes. Les Grecs n’avaient pas vu, dans leur patrie, cette constellation s’élever à une telle hauteur.
Pendant les mois de février, mars, avril, l’étoile, gagnant toujours, se lève de plus en plus tôt avant midi. Quand le soleil se couche, elle a, par conséquent, déjà franchi le méridien depuis une ou plusieurs heures : sa position n’a, dès lors, plus rien de remarquable, et on ne cesse pas de la voir jusqu’à son coucher.
Vers le 15 avril, la constellation a presque rattrapé le soleil ; elle se couche à peu près en même temps que lui : on ne la voit plus ni se lever ni se coucher. Cette disparition complète ne dure qu’une quinzaine de jours ; ce qui nous ramène au 1er mai. Alors les Pléiades, ayant de nouveau dépassé le soleil, recommencent à se lever un peu avant lui et, par suite, à être visibles le matin à l’aube, pendant quelques instants. Nous voici revenus à notre point de départ.
Pendant la deuxième période, — de novembre à mai, — on a pu voir toutes les nuits, à des heures différentes, le coucher des Pléiades et jamais le lever. C’est pour cette raison que la deuxième période prend le nom de coucher des Pléiades. Celte appellation, comme la précédente, peut viser, suivant le cas, soit le jour initial, soit la durée entière de la période.
Vous remarquerez que la situation au 1er août est analogue à celle du 15 janvier. Rien de particulier ne marque le lever de la constellation : on la voit monter dans le ciel et disparaître dans la lumière du jour, au point le plus haut de sa course. Le 15 janvier, c’est le contraire qui arrive : on n’a pas vu la constellation se lever, mais, dès la tombée de la nuit, on l’aperçoit subitement à ce même point culminant. Le texte latin pourrait donc, à la rigueur, s’appliquer indifféremment à l’une ou à l’autre de ces positions. La deuxième, — celle du 15 janvier, — parait toutefois de nature à provoquer une impression plus vive, car, à ce moment, tout le monde cherche les Pléiades qu’on ne voit pas encore, tandis que dans l’autre cas, — celui du 1er août, — on les a déjà reconnues depuis leur lever. D’ailleurs, entre ces deux dates, qui pourraient seules donner lieu à quelque ambiguïté, les renseignements climatériques permettront sans doute aux historiens d’opter sans hésitation, puisque la première tombe en plein été et la deuxième au cœur de l’hiver.
http://books.google.fr/books?id=MKwaAAAAYAAJ&pg=RA1-PA33&lpg=RA1-PA33&dq=Date+de+lever+et+coucher+des+pl%C3%A9%C3%AFades&source=bl&ots=NSpq9g-i1n&sig=LZDUddr9bUN76ut_dxTOr4sz7rY&hl=fr&ei=qcjgSaOFGuSZjAeGn7jUDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=5#PRA1-PA36,M1
Histoire de l’astronomie moderne par M Delambre, 1821
Extrait du calendrier grec de Sosigène :
Levers, couchers des constellations : tradition gr
http://racines.traditions.free.fr/astroria/index.htm
Image du Zodiaque "égyptien"
Ière Domus : le signe Anubis nous montre le dieu à tête de chien39 (l’embaumeur qui permet la re-naissance) portant enseigne40 et tenant enchaîné le "bélier de mer" Capricornus, mi-chèvre/ mi-dauphin (cf. art. Narval*)…
IIème Domus : Le signe Canopus est Artémis/ Diane d'Éphèse, déesse nourricière Abondance* ou Aquarius pour les Romains et Sucellus/ le Verse-eau de nos Gaulois…
IIIème Domus : Le signe des Poissons représente ici une “Seraine” (cf. notre art. Sirènes*) et c'est la Grande Grenouille Higit, la servante de Khoumoun “Destin”*, façonnant le Ier homme sur son tour de potier et tenant dans son autre main le Gamma ou “équerre bâtisseuse” des quatre coins de l'Univers (cf. art. Svastika* sacré)…
IVe Domus : Amun/ Amon enfant (Horus la nouvelle fécondité) porte la traditionnelle coiffe à corne de Bélier, les baguettes et le tambour (cf. Schembartlauf). Il s'incarnera dans le vieux roi pour féconder la reine et deviendra alors Ammon-Ré.
Vème Domus : le Taureau Blanc41 Apis indique le mois de la sortie des troupeaux, après la mise bas, avec les grandes fêtes et la procession du "bœuf gras" (cela existe toujours dans quelques unes de nos propres campagnes). C'est ce même taureau blanc qui était sacrifié sur l'Irminsul* des Atlantes boréens et, plus tardivement et fort fidèlement, dans le culte de Mithra…
VIème Domus : on y voit les Gémeaux Hercule et Apollon, ou les Alçvins Castor et Pollux, avec leur demi coquille d'Œufs Cosmique sur la tête ou les Elmer nordiques…
VIIème Domus : Hermenubis ou Kronos la corneille, trône sur son "haut siège" (cf. Hlidskjalf/ observatoire) ; il possède deux attributs : l'écrevisse du Nord et le 69 traditionnel du crabe cancer…
VIIIème Domus : Le Lion Momphta indique le mois des grandes chaleurs pendant lequel il vaut mieux vivre enfermé (c'est toujours ce que nous faisons dans le midi) : c’est le mois où le roi des animaux règne sur la nature. Les deux signes sont intéressants, l'un a la forme du Z éclair/ foudre (cf. art. Symboles*) pour Zeus*, et l'autre est un bonnet à queue z ou “coiffe placentaire” (cf. aussi Cécrops, le fondateur de Cécropia, l’archaïque Athènes avant que l’Assina des Doriens ne le détrône)…
IXe Domus : Isis la Vierge (Osiris étant mort déchiqueté, cela se comprend) tient deux plumes de grue/ ibis dans les mains. Le signe M nous rappelle qu'elle est Maat42 ou Maît la justicière* ou “déesse de l’équilibre” (M prétendu être ultérieurement celui de Marie), mais c’est surtout le signe “deux montagnes”, celui des visée solsticiales ! Le second attribut pourrait être les trois épis de la Déesse de la juste répartition (cf. art. Justice* et culte de Dé-Méter), mais c’est aussi la forme des peupliers pleureurs (trembles) des Hespérides…
Xe Domus : Omphta, ou Libra en latin, qui porte la Balance de la Justice en main droite et aussi, outre la traditionnelle coiffe appelée Mortier en forme de nid de grue (kalatha), une mesure graduée, l'aune43 sacrée*, la symbolique "juste mesure".
XIe Domus : Typhon tient le rôle du scorpion "tueur" pour les latins et, ce qui est très révélateur de sa nature séismique, il tient les foudres volcaniques en main et sa double queue montre son côté chthonien et aquatique de destructeur par tremblement de terre et par raz de marée tel un Dragon* (cf. art. Déluges*). Sur son épaule figure un objet mal identifié, en forme de massue herculéenne (c’est donc un Titan, un Daimon)…
XIIème Domus : Nephte. Dans la mythologie égyptienne, Nephtys et Isis (9) conduisent les déesses qui président à la naissance de l'Enfant-Roi, le Mose Ammon-Ré. Tout autour, les esprits des 4 vents, Septentrion, Orient, Midi et Occident leur présentent l'Ankh, symbole de la vie44 renaissante. Ce Sagittaire/ Orion est évidemment le Phœbus-enfant ou “Dieu-Fils” qui va apparaître (isser) pour l’épiphania Nouvelle Clarté qu’annonce le solstice d’hiver : Neu Helle.
Donc, comme nous pouvons le voir, ce que les Grecs appelèrent – tardivement – Zodiakos ce qui signifie littéralement “Roue de la Vie” puisque, contrairement aux apparences il ne comporte pas la racine zoo, mais zodion-zodiou qui signifie “figure, personnages de la roue de l’écliptique”, ne comportait en fait que deux animaux, le Taureau45 (figurant d’ailleurs le roi Alcinoos gréco-nordique dont il est question dans notre article romancé Ulysse* et Nausicaa) fougueux, débordant d’énergie et de vie printanière, ce fécondateur qui est le Dieu-Fils récurrent dans sa force d’adolescent – discipliné – figurant le Nouveau Soleil qui combat encore l'hiver et ses Noirauds pour installer : il ne sera autre que le Prince de Mai de nos Fêtes* populaires, souvent représenté en son règne estival par le Roi Lion des récoltes, repu et jouissant de sa victoire en son domaine pacifié.
Remarquons bien que ces deux signes/ animaux sont symétriques par rapport au solstice d'été, comme l'indique le même menhir/ gnomon/ obélisque, ou le même pic sur l'horizon qu’on voit d'un Ballon ou Németon. Ils sont ici séparés par deux signes hautement solaires : le premier, celui des Gémeaux, Hercule et Apollo, indique les "travaux" agricoles de plein soleil et le second celui d'Hermenubis pendant « les jours torrides et desséchés où le Soleil vagabonde dans le Cancer » (A. Audin), indique un mois dangereux pour la nature et pour les voyageurs qui doivent rester enfermés à l'ombre46, tout comme l’Écrevisse qui est son nom nordique, elle qui “marche à l’envers et à l’ombre comme le soleil en sa pèriode de décroîssance”.
Nos “actuels” noms des signes du zodiaque leur furent donné par Ptolémée au deuxième siècle de notre Ère, dans un cadre politiquement égyptien mais qui était culturellement celui d’un Hellénisme finissant. Ces “lieux du ciel” ne seront donc plus nommés à partir de la vieille science des Druides ou des Ases du Septentrion, avec des noms celtiques ou germaniques parents mais, selon le « fatras culturel qui traînait au Moyen Orient » (Euphronis Delphiné) .
39 Chien : symbole de connaissance chez les Égyptiens (on pensera aux (Hommes à Tête de Chien) !
40 Enseigne : parenté avec l’enseigne hittite en fer forgé portant 13 Ì entrelacées (Hag-all, cf. Runes*). C'est aussi le "fanal de guerre" (Labaron) ou "feu maîtrisé" (la tradition antique était de porter le “feu* sacré*” dans tout les déplacements et ce depuis l’action du mythique Prométhée/ Pramantha. On pensera ici à La Guerre du Feu de Rosny Ainé et au film …
41 Taureau : « Du fait de la précession des équinoxe (cf. Astro III, Astronomie*), au Néolithique et à l’Âge du Bronze le soleil se trouvait dans la constellation zodiacale du taureau lors de l’équinoxe de printemps ». Flammarion.
42 Maat : veut dire « ce qui est droit, vrai, réel, la loi tant physique que morale, la vérité*, la réalité. » Sir Wallis Budge (in revue Solaria n°9 : c/o J.C. Mathelin, 7 rue Christian Dewet, 72012 Paris.).
43 L’Aune sacrée est égale à deux coudées sacrées.
44 Ankh : dieu vivant, ânkh. Stylisation de l'Homme, et sigle bien proche de la Rune* de Vie. L’ankh était nommé “nœud* d’Isis” et pourrait aussi paraître une Rune* Odal à trois racines…
Màj 3 juil. 05 : « À l'origine un symbole femelle dérivé des images néolithiques antiques de déesse, l'Ankh a été également considéré comme miroir de main de la déesse égyptienne Hathor et miroir de Vénus. Comme symbole combinant le langage figuré vulvique et phallique, l'Ankh est devenu notoire en Egypte comme signe d'union sexuelle et d'immortalité, accordé par le sang divin de la déesse. L'Ankh est un symbole du cadeau de la vie éternelle. » auteur X, reçu par @ sans référence.
45 Le Taureau : par l'effet de l'attribution symétrique des astres, vu plus haut dans la citation d'Amable Audin (les Fêtes Solaires, PUF), le Taureau est un des domaines de Vénus.
46 Cancer vient du grec carcinos “écrevisse” (!) et a donné notre mot "incarcérer", emprisonner, enfermer, en un mot : “mettre à l’ombre” !Notes vertes
Rque perso : labarum de Constantin (grille), grill ou grille de …Vénus, Anubis…
40 Enseigne : parenté avec l’enseigne hittite en fer forgé portant 13 Ì entrelacées (Hag-all, cf. Runes*). C'est aussi le "fanal de guerre" (Labaron) ou "feu maîtrisé" (la tradition antique était de porter le “feu* sacré*” dans tout les déplacements et ce depuis l’action du mythique Prométhée/ Pramantha.
Lever des Pléïades Mi-mai, id Hyades; coucher mi-décembre http://cura.free.fr/quinq/04bezza.html
11 novembre (15 Athyr) : début de l'hiver pour les Égyptiens et pour Hipparque (l'étoile brillante des Hyades se couche le matin).
Malgré un léger décalage - 11 novembre (longitude du Soleil 18° Scorpion) et 10 mai (longitude du Soleil 19° Taureau) d'un côté, 13 novembre (longitude du Soleil 20° Scorpion) et 12 mai (longitude du Soleil 21° Taureau) de l'autre - ces dates partagent l'année en deux parties sensiblement égales et s'accordent bien au lever et au coucher matinaux des Pléiades.
Pour noter la position d'étoiles ou d'astérismes difficilement visibles, comme les Chevreaux ou le Dauphin, qui étaient jadis observés par les Anciens, il recommande de se référer aux étoiles brillantes qui se trouvent dans leur voisinage : al-dabarân (fulgens Hyadum) pour les Pléiades, a Aurigae pour les Chevreaux, al-nasr al-tâ 'ir, (splendida Aquilae) pour le Dauphin.[41] De ce qui précède, on peut conclure que les Phases de Ptolémée est un texte technique dont le caractère est tout autant astronomique qu'astrologique.
entre la fin du Vé siècle et le début du IVè siècle B.C., à la création d'un calendrier "technique", qui devra servir de base à la prédiction météorologique comme au diagnostic et au traitement des maladies.[44] Ce calendrier est clairement énoncé par Théophraste, qui dénomme le lever et le coucher matinaux des Pléiades dicotomiai, bipartitions de l'année :
"La première chose qu'il faut poser est que les périodes (wrai) doivent être divisées par deux : sur la base de cette division il faut considérer non seulement l'année, mais aussi le mois et le jour. A leur lever et à leur coucher les Pléiades partagent l'année en deux, et de leur coucher à leur lever il y a réellement une moitié d'année. Le même partage concerne les équinoxes et les solstices. Il en découle que, quelle que soit la situation atmosphérique enregistrée au moment où les Pléiades se couchent, elle demeurera le plus souvent jusqu'aux solstices et, si elle change, elle changera après les solstices ; mais si elle ne change pas, elle se maintient jusqu'aux équinoxes ; des équinoxes, ensuite, jusqu'au lever des Pléiades, et de là jusqu'au solstice d'été ; et par la suite jusqu'à l'équinoxe et de là jusqu'au coucher des Pléiades
emploi d'un double référentiel : d'un côté l'observation d'un cycle stellaire relevant du calendrier naturel archaïque, de l'autre la prise en compte des équinoxes et des solstices, expression du développement mathématique de l'astronomie, qui ne repose désormais plus sur la seule observation. La coexistence de ces différents repères est typique dans la littérature des parapegmatas à partir du Vé siècle B.C. Elle est aussi attestée dans le Corpus hippocratique, lequel présente une division de l'année en huit parties, où l'ancien calendrier, qui repose sur les apparitions de quelques étoiles remarquables (Pléiades, Sirius, Arcturus), garde son caractère propre. Quelques écrits hippocratiques, en particulier le De victu (III, 68) [46] , offrent la succession temporelle de ces repères [47] :
repère saison date durée
coucher matinal des Pléiades début de l'hiver 11-XI 41 jours
solstice d'hiver deuxième partie de l'hiver 22-XII 65 jours
lever vespéral d'Arcturus troisième partie de l'hiver 25-II 24 jours
équinoxe de printemps début du printemps 21-III 50 jours
lever matinal des Pléiades début de l'été 10-V 46 jours
solstice d'été deuxième partie de l'été 21-VI 22 jours
lever matinal de Sirius troisième partie de l'été 17-VII 66 jours
équinoxe d'automne début de l'automne 21-IX 51 jours
Constellations des anciens Leuques (Lorraine)
http://zodiaque-nancy.blogspot.com/search/label/Constellations
Lune et triangle de parcours
http://zodiaque-nancy.blogspot.com/search/label/Fibule%20de%20Baslieux
Triangle de la lune et du soleil = hexagone
le parcours de la lune sur un territoire tout au long d'une année, forme un triangle.
Forme de la Loriquette, gâteau lorrain traditionnel
http://zodiaque-nancy.blogspot.com/2007/04/anubis-le-chien-de-culann.html
Articles Anubis/St Christophe, Isis, Nephtys ++
Isis et Nephtys et astronomie
Quand Osiris est le Soleil, Isis et Nephthys représentent, selon Le Page Renouf, le point du jour ou l’aurore, et le crépuscule.
Lune et Saturne
Début du temps pour les druides : le 6° jour, (mois, année) comme hindous
Un siècle = 30 ans, 401 mois lunaires (400 chev du graal + le Roi)
Lune et Saturne : en un an, S parcourt la même écliptique que la lune en Un jour. Un jour lunaire est un an de S. Grâce à Plutarque, Le siècle des druides commence quand S (Nyctouros) entre ds le Taureau, = qd ts les 30 ans S et la Lune entrent en conjonction avec les Pléïades ds la constell du Taureau le 6° j du cycle lunaire, nuit de Samain.
Cf doc druidisme 5 ou http://membres.lycos.fr/ayla01/druidisme5.html
Pleïades, Hyades
Lever des Pléädes Mi-mai, id Hyades; coucher mi-décembre http://cura.free.fr/quinq/04bezza.html
11 novembre (15 Athyr) : début de l'hiver pour les Égyptiens et pour Hipparque (l'étoile brillante des Hyades se couche le matin).
Malgré un léger décalage - 11 novembre (longitude du Soleil 18° Scorpion) et 10 mai (longitude du Soleil 19° Taureau) d'un côté, 13 novembre (longitude du Soleil 20° Scorpion) et 12 mai (longitude du Soleil 21° Taureau) de l'autre - ces dates partagent l'année en deux parties sensiblement égales et s'accordent bien au lever et au coucher matinaux des Pléiades.
Pour noter la position d'étoiles ou d'astérismes difficilement visibles, comme les Chevreaux ou le Dauphin, qui étaient jadis observés par les Anciens, il recommande de se référer aux étoiles brillantes qui se trouvent dans leur voisinage : al-dabarân (fulgens Hyadum) pour les Pléiades, a Aurigae pour les Chevreaux, al-nasr al-tâ 'ir, (splendida Aquilae) pour le Dauphin.[41] De ce qui précède, on peut conclure que les Phases de Ptolémée est un texte technique dont le caractère est tout autant astronomique qu'astrologique.
entre la fin du Vé siècle et le début du IVè siècle B.C., à la création d'un calendrier "technique", qui devra servir de base à la prédiction météorologique comme au diagnostic et au traitement des maladies.[44] Ce calendrier est clairement énoncé par Théophraste, qui dénomme le lever et le coucher matinaux des Pléiades dicotomiai, bipartitions de l'année :
"La première chose qu'il faut poser est que les périodes (wrai) doivent être divisées par deux : sur la base de cette division il faut considérer non seulement l'année, mais aussi le mois et le jour. A leur lever et à leur coucher les Pléiades partagent l'année en deux, et de leur coucher à leur lever il y a réellement une moitié d'année. Le même partage concerne les équinoxes et les solstices. Il en découle que, quelle que soit la situation atmosphérique enregistrée au moment où les Pléiades se couchent, elle demeurera le plus souvent jusqu'aux solstices et, si elle change, elle changera après les solstices ; mais si elle ne change pas, elle se maintient jusqu'aux équinoxes ; des équinoxes, ensuite, jusqu'au lever des Pléiades, et de là jusqu'au solstice d'été ; et par la suite jusqu'à l'équinoxe et de là jusqu'au coucher des Pléiades
emploi d'un double référentiel : d'un côté l'observation d'un cycle stellaire relevant du calendrier naturel archaïque, de l'autre la prise en compte des équinoxes et des solstices, expression du développement mathématique de l'astronomie, qui ne repose désormais plus sur la seule observation. La coexistence de ces différents repères est typique dans la littérature des parapegmatas à partir du Vé siècle B.C. Elle est aussi attestée dans le Corpus hippocratique, lequel présente une division de l'année en huit parties, où l'ancien calendrier, qui repose sur les apparitions de quelques étoiles remarquables (Pléiades, Sirius, Arcturus), garde son caractère propre. Quelques écrits hippocratiques, en particulier le De victu (III, 68) [46] , offrent la succession temporelle de ces repères [47] :
repère saison date durée
coucher matinal des Pléiades début de l'hiver 11-XI 41 jours
solstice d'hiver deuxième partie de l'hiver 22-XII 65 jours
lever vespéral d'Arcturus troisième partie de l'hiver 25-II 24 jours
équinoxe de printemps début du printemps 21-III 50 jours
lever matinal des Pléiades début de l'été 10-V 46 jours
solstice d'été deuxième partie de l'été 21-VI 22 jours
lever matinal de Sirius troisième partie de l'été 17-VII 66 jours
équinoxe d'automne début de l'automne 21-IX 51 jours
Sirius
http://www.egypteeternelle.net/papyrus/v01n02/article2.htm
Calendrier égyptien basé sur Sirius,
Hathor, château d’Horus ; dans calendrier copte
Hathor, la déesse, littéralement château d'Horus
Sirius était connue depuis la période prédynastique comme l'Etoile du Chien, ou l'Aboyeur parce qu'elle semblait avertir les laboureurs de l'imminence de l'inondation. Elle était alors représentée sous la forme d'une petite chienne, Canicula en latin. Sa réapparition coïncidant avec la période la plus chaude de l'année, nous comprenons aisément pourquoi les grandes chaleurs sont encore désignées de nos jours sous le nom de canicule. Actuellement Sirius ne joue plus son rôle de chien de garde, car, en raison de la précession des équinoxes, son lever héliaque a lieu un peu plus tard dans l'année.