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Base de données blog Troubadour

26 septembre 2014

Acacia

ACACIA nezenlair.unblog.fr/tag/esoterisme/paris-esoterique/

« La forme ancienne du piquant végétal de l’épine est akantha, mot qui, par extension, signifie la plante elle-même comportant des épines : l’acanthe, l’acacia. 

L’acacia est donc symbole de découverte initiale, de développement primaire, de candeur enfantine avant que ne se constitue le savoir. « Akakia signifiera donc l’innocence, l’ingénuité que symbolise l’arbuste. »[5] 

Or à l’activité de l’esprit-compas et la passivité de la matière-équerre, répondent l’activité de la verticalité et la passivité de l’horizontalité. Toutefois, à l’instar du symbolisme du jardin atlantique, il convient de penser la verticalité et l’horizontalité dans leur dimension cosmologique, c’est-à-dire comme le jeu réciproque des directions complémentaires de l’Univers. 

l’équerre se trouve barrée du compas, accomplissant le passage de la matière à l’esprit, puis cette transformation se poursuit à droite grâce à la découverte cosmologique de la double directionnalité de l’univers : l’horizontalité est délivrée par la base du delta, qui se trouve elle-même barrée par le fil à plomb indiquant la verticalité. Or, l’horizontalité délivrée par la base du delta se nomme le « niveau » tandis que le fil à plomb peut être nommé, selon la tradition, « perpendiculaire ». Et, nous dit Jules Boucher, « Les signes d’apprenti, de Compagnon et de Maître se font toujours par Equerre, Niveau et Perpendiculaire. »[6] Nous avons donc, dans ce petit square, les trois grades fondamentaux de la maçonnerie,

5 et 6 Jules Boucher, La symbolique maçonnique, Dervy, 1948,

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26 septembre 2014

Vénus

*Vénus dans l'égypte antique

La planète Vénus, enfin, est l' "Etoile qui Traverse (le Ciel)", l'oiseau Bennou. Cette dénomination est d'ailleurs illustrée par la figuration d'un héron (hieroheron.GIF.gif). Le dieu Osiris (hieroosiris.GIF.gif, Wsir) lui est rattaché

http://www.culturediff.org/horloges47.htm

 

Place de Vénus sur les zodiaques de l'égypte antique

http://www.toutankharton.com/Athribis-la-tombe-du-Zodiaque

 

Astronomie en égypte antique, calendrier, Vénus...

http://www.immortelleegypte.com/articles.php?lng=fr&pg=1062

 

Vénus / Hathor

Correspondance entre les mythologies grecque, romaine et égyptienne d'après Plutarque 

... Aphrodite ................. Vénus ......................... Hathor ...

decouverte.etoiles.free.fr/.../Histoires%20illustr%E9es%204%20pages.pdf

 

Balance, Vénus et Osiris en Egypte

http://www.sylvie-tribut-astrologue.com/tag/septieme-signe-du-zodiaque/

D’après le Livre des Morts égyptien, on imagine la psychostasie, une pesée des âmes : dans les plateaux de la balance, d’un côté un vase, signifiant le cœur du mort, et de l’autre la plume d’autruche signifiant la justice et la vérité.

La Balance symbolise la justice : le poids comparé des actes et des obligations. Elle est gouvernée par Vénus-Aphrodite : la beauté, l’harmonie, l’amour qui a inspiré nombre d’artistes.

-       Ses mythes

La  Balance comme symbole de jugement n’est qu’une extension de l’acceptation de la justice divine. Dans l’Egypte ancienne, Osiris pesait les âmes des morts.

Grille, Vénus http://anureva.musique.com/r2011/numerologie-et-le-secret-des-nombres/

En numérologie, La "grille d'évaluation " ou "d'inclusion" est aussi appelée "étoile de Vénus"

 

Les deux Babylones :

Tout ceci nous expliquera l'identité de Cybèle et de Vénus ou Astarté. Au fond, il n'y avait qu'une déesse, le Saint-Esprit, représenté comme femelle quand la distinction des sexes fut injurieusement attribuée à la Divinité, par une perversion de la grande idée scripturaire que tous les enfants de Dieu sont enfantés par le Père et nés de l'Esprit ; et avec cette idée, l'Esprit de Dieu comme Mère était représenté sous la forme d'une colombe, en mémoire de ce fait que cet Esprit, à la création, flottait (c'est là le sens exact de l'expression originale, Gen. I, 2) à la surface des eaux. Cette déesse donc s'appelait Ops, celle qui flotte, ou Junon, la colombe, ou Khubelé, celle qui attache avec des cordes; ce dernier titre se rapportait "aux liens d'humanité, aux cordages d'amour" (appelés dans Osée XI, 4, "Khubeli Adam"), par lesquels non seulement, Dieu attire sans cesse les hommes à lui, dans sa bonté providentielle, mais aussi par lesquels Adam, notre premier père, était étroitement uni à Dieu par l'Esprit qui demeurait en lui, tandis que l'alliance d'Éden était détruite. Ce sujet est minutieusement décrit dans l'histoire païenne et les preuves de nos affirmations sont abondantes ; mais je ne puis m'y étendre ici. Remarquons seulement que les Romains joignaient les deux termes de Junon et de Khubèle, ou comme on le prononce d'ordinaire, Cybèle ; à certaines occasions, ils invoquaient leur déesse suprême sous le nom de Juno Covella, (STANLEY, Philosophie, p. 1055), c'est-à-dire "la colombe qui lie avec des cordes". Dans Stace, (liv. V, Sylv., 1- V, 222, apud BRYANT, vol. III, p. 325), nous trouvons le nom de Cybèle donné à la grande déesse

26 septembre 2014

Grille des enfers

Grille des enfers

http://racines.traditions.free.fr/alchimi/index.htm

comme dans le cas du carré Sator, il serait bien étonnant que cette devise ne cache pas quelque sens caché et culturellement édifiant, surtout si l’on se rapelle que le cri “Mundus Patet” était poussé par les Romains à l’ouverture du puit-fosse rituel équivalent au Tymbos grec qui était une fosse 16cuvelée destinée aux offrandes aux dieux chthoniens.

On se rappellera en effet que, lors de l’inauguratio de toute nouvelle cité (cf. art. Rites*, § Romulus) les Romains, après avoir tracé les limites de "l'enclos sacré" de l’urbs cantonné par les deux voies en croix Cardo et Decumanus,creusaient le Mundus en son centre, une fosse ronde où chacun des citoyens de la cité nouvelle venait jeter une motte de terre venant du foyer clanique de son ancienne patrie (Amable Audin, Les Fêtes Solaires, PUF 1945).

          Le couvercle du Mundus, la “Grille des enfers” (càd des dieux inférieurs), était une dalle en argile, rapidement devenue terre cuite décorée, qui recouvrait la fosse rituelle favissa contenant les offrandes à la Terre-Mère pour l’in-auguratio. Elle cachait donc le Mundus, mais pouvait s’ouvrir au cris rituel de “mundus patet lors de la Samhain/ Halloween. ou à la Neu Helle, et à l’équinoxe de printemps ou au 1°Mai :

 

* Grille égypte, 

http://www.toutankharton.com/Iconographie-egyptienne

l’Egypte est écriture du « Ciel et de la Douat sur la Terre ». Il n’y a pas d’Atlantes ou d’E.T. qui auraient détourné le Nil (pour représenter la voie lactée [Nil céleste]), ou qui auraient dressé une carte des constellations sur le sol d’Egypte. Il y a bien des monuments alignés sur des constellations (pyramides,…), il y a bien une grille symbole d’une carte schématique dans le symbole-type du nome, etc.

Mais tout cela n’est que symbole, ou plutôt inscription de gestes symboliques, censés rattacher le monde terrestre au monde divin, en maintenant la permanence de l’union entre monde idéel (principiel) et monde créé. Quand il oriente les pyramides selon Orion, le pharaonique ne cherche pas à placer une punaise de plus sur une carte : il inscrit un geste symbolique dans la durée, ce geste devenant un Geste (qui restera pour la nuit des temps et donc empêchera la victoire du Chaos sur l’Ordre). L’alignement d’Orion est en rapport avec les textes et scènes à l’intérieur du monument et bien sur, avec le monument en lui-même (les âmes heureuses vont vers Orion (Cf article sur le Zodiaque d’Athribis). C’est un Geste qui a pour but de rattacher le présent au Moment Présent (cosmique et idéel), c’est-à-dire d’être en parfaite adéquation avec le monde…

http://jfbradu.free.fr/egypte/LE%20NIL/UN%20DIEU/UN%20DIEU.php3

Hâpy tenant la plante du papyrus dans la main droite et recevant les offrandes de sa main gauche. Sur sa tête, une grille symbolise les canaux d'irrigation.

 

*Grille astronomie égyptienne antique++

http://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_stellaire_%C3%A9gyptienne

 

Grille, Vénus http://anureva.musique.com/r2011/numerologie-et-le-secret-des-nombres/

En numérologie, La "grille d'évaluation " ou "d'inclusion" est aussi appelée "étoile de Vénus"

 

http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/ASavoret/Initiation/lebourdo.html

Au 2/3

Sans m’attarder, je rappellerai qu’une coquille était aussi une pièce de fonte incurvée où était placée une grille sur des charbons ardents, pour la cuisson des volatiles. On nomme encore, assez indifféremment, coque, coquille ou grille, un ustensile analogue qui permet de faire un feu de charbons dans une cheminée à bois. Ce qui permet un rapprochement avec une gravure hermétique bien connue, où Bacon, « le Philosophe occidental », fait griller une tortue (animal consacré à Hermès, comme le coq, et écailleux, comme le dragon, le serpent ou le poisson, qui sont souvent substitués l’un à l’autre dans l’iconographie hermétique et dans le langage convenu des alchimistes). Cette tortue, notre philosophe l’arrose à satiété du jus d’une grappe ou, si l’on préfère, du vin philosophique, contenant son « esprit » ou « alcool », qu’il serait peu rentable de confondre avec celui du commerce. Dans un angle de la même gravure, reparaît notre tortue, vivement saisie sur un gril engagé dans le foyer d’un fourneau. Evidemment, la « grille » ou le « gril » évoque le décryptement dont sont susceptibles certains passages d’auteurs de la bonne époque. Mais, ici, c’est, si j’ose dire, dans le style direct qu’il convient d’interpréter la figuration.

Mais l’autre nom de la coquille n’est pas moins intéressant par les rapprochements qu’il suggère. Marelle ou Mérelle vient du vieux français méreau « jeton », « palet », dont l’étymologie est controversée.
    On a parfois fait venir ce vocable du latin mereo « être digne de » et de meritum « prix, récompense ».

    Le jeton, qui a donné son nom au jeu, peut être éventuellement une coquille, une rondelle de métal, voire un petit galet, mot qui signifiait autrefois « pierre à feu ». Notre immémorial jeu de marelle, amusement de l’enfance, n’est pas sans offrir quelque intérêt pour les curieux de tout âge. Il est formé d’un rectangle long, coiffé d’un demi-cercle (hiéroglyphe hermétique de l’Athanor) et compartimenté ainsi : Trois segments successifs, numérotés 1, 2, 3 ; puis un carré divisé en quatre triangles par une croix de Saint-André, numérotés 4, 5, 6, - le triangle supérieur n’étant pas numéroté et portant ordinairement le nom de TABLE. Il est surmonté d’un dernier rectangle scindé en deux compartiments : celui de gauche portant le nom d’ENFER, celui de droite le nom de LUNE. L’hémicycle couronnant le tout est appelée CIEL ou PARADIS.

    Du point de vue qui nous occupe, l’on peut reconnaître le ternaire des principes (soufre, sel et mercure) suivi du quaternaire des éléments séparés par la croix (crucibulum, « creuset »). Ici, se présentent deux voies, la voie malencontreuse à gauche et la voie profitable à droite. Ainsi, le gagnant, le « méritant », s’il a bien manoeuvré son palet, accède-t-il au « ciel ». Je ne sais s’il est bien utile pour mon sujet de rapporter ici que la lune est en rapport avec l’ Amrita dans la symbolique orientale. Certaines traditions nous disent aussi que les âmes bienheureuses s’élèvent vers les « prairies d’asphodèles » au temps de la pleine lune, tandis que les âmes réprouvées s’engouffrent dans l’Erèbe, lors des néoménies ou des éclipses. Pour revenir à l’alchimie, je dirai que notre marelle n’est pas sans rappeler le labyrinthe, non celui de Crète, mais celui qui figurait souvent sur le dallage des églises, labyrinthe appelé tantôt « plan du temple de Salomon », tantôt « chemin de Saint- Jacques » (ou « de Jérusalem »). Son parcours exigu était censé remplacer le pèlerinage aux lieux saints susnommés, pour ceux qui ne pouvaient l’accomplir, « en corps ». On sait avec quelle abondance ce schéma était reproduit dans les planches des ouvrages hermétiques, où il figure les dangers et les pièges des délicates réitérations au cours de l’œuvre.
 
  Le système des rapprochements verbaux dont je rapporte ici quelques échantillons est, lui aussi, un labyrinthe intellectuel. Et l’on peut aisément s’y perdre sans rémission si quelque secourable « fil d’Ariane » ne nous est pas tendu.

 

26 septembre 2014

Fête des fous, âne

Fête des fous, âne... http://racines.traditions.free.fr/naglfar/index.htm

La Nef des Fous si chère à Sébastien Brandt, l’évêque de Bâle, est évidemment une manœuvre de l’Église* pour éliminer ce rite* du Char Naval* typiquement païen* qui donna son nom au Car Naval et qui, subsistant, rappelait trop l’Ancienne Coutume (Paganisme*). Rappelons que la Fête* des fous dont le centre semble être la cathédrale de Chartres, faisait suite à la fête de l’Ase/ Âne° à l’occasion du solstice d’hiver, “fêtes dans lesquelles on trouve d’évidentes réminiscences des rites odinistes” (Gérard de Sède).

En tout cas ces Fols, porteurs de l’antique “bonnet à trois pointes” des Ases nordiques, qui colportaient la Minne/ Mémoire (cf. art. Troubadours*), de la Laure/ lore “Connaissance” populaire dans les cours royales, furent définitivement ridiculisés par l’astucieux conte de Sébastien Brant, le “bienveillant” évêque de Bâle, à preuve la floraison de gravures et de peintures les moquant, qui suivirent sa publication (Dürer entre autre).

En allemand, ce Narrenschyff ou Narrenschiff joue sur un double jeu de mots car Nachen et Kahn sont équivalents et signifient “canot, bateau” (l’inversion des consonnes est un procédé connu des linguistes) et Narr signifie aussi “fou27 ”, mais aussi “fol, bouffon”, tout comme chez nous…

26 septembre 2014

Graal, tresser, fêtes

On est ici proche du symbolisme de la Croix et l'on retrouve dans ... premiers objets contenants étaient confectionnés en tresses (corbeilles). ...

cena12.com/Documents/Graal%20et%20Ecossisme.doc

La référence indo-européenne renvoie l'origine du Graal à la racine KERT- soit tordre, tresser, car l'on peut penser que les premiers objets contenants étaient confectionnés en tresses (corbeilles). Curieusement, cette idée de claie, qui figure aussi dans la légende de la cathédrale d’osier de l’abbaye de Glastonbury, refuge supposé du Graal, est aussi celle du lien, de l'attache (cratis), et l'on voit bien en quoi le graal est le lien qui unit les chevaliers d'Arthur dans leur Quête. Elle a, en même temps, donné Hort, hourt (palissade) et behort (tournoi), en espagnol bohordo (petite lance), images qui sont loin d'échapper à l'univers arthurien. C'est sans doute pour cela que les fêtes allemandes du Moyen-Age étaient appelées des Graals.

 

Graal et astrologie++

http://ridoux.fr/page44.html

Baudrier, Tresses, Galaad, Graal

De l'Epée de David, l'Epée aux étranges renges ne conserve que la lame toute nue : autrement dit, la force martienne dans son énergie la plus condensée, source de puissance irrésistible mais par là-même porteuse de force destructrice ; c'est cette épée qui, dans la Queste, a porté le coup félon transformant le royaume de Logres en Terre Gaste. Cette énergie martienne à l'état pur doit être tempérée, équilibrée par son complémentaire vénusien du signe de la Balance : c'est la fonction du baudrier - les renges - véritable canalisateur d'énergie au regard d'une corporéité subtile qui étudie dans le corps humain la circulation et l'équilibre entre les centres d'énergie.

le baudrier est constitué avec les cheveux tressés d'une vierge qui, de plus, doit être « fille de roi et de reine » : elle confère l'équilibre et la mesure de la Balance à la force impétueuse du Bélier, tout en orientant cette force dans le sens d'un combat pour la justice (sens de l'exaltation de Saturne en Balance). Les cheveux - que l'on pense à Samson - sont considérés dans plusieurs traditions comme des conducteurs d'énergie.

Placés sur la tête (dont le signe du Bélier est le significateur en astrologie), ils sont comme des antennes captant l'énergie cosmique, ouranienne, véhiculée ensuite à travers le corps par la double circulation respiratoire et sanguine. On peut mettre ainsi en parallèle le double sacrifice auquel consent la soeur de Perceval : don du sang au Château de la Lépreuse et don de sa chevelure à Galaad : sur un plan spirituel, ce sacrifice non sanglant est, nous semble-t-il, le plus élevé. Le don du sang est en quelque sorte en rapport avec les éléments Terre et Eau, tandis que le don de la chevelure, véhicule de l'énergie cosmique ouranienne, est à mettre en rapport avec l'Air et le Feu. Du sang au feu ouranien - qui est comme un sang spiritualisé - se déploie un mouvement analogue à celui qui conduit du sacrifice du Christ sur la Croix à la descente de l'Esprit-Saint à la Pentecôte.

Pour former le baudrier, les cheveux de la soeur de Perceval sont tressés : à l'inverse de l'éclatement, de l'éparpillement énergétique dont témoigne l'histoire d'Absalon (il reste pendu à un arbre par les cheveux) , nous sommes ici en présence d'une concentration maîtrisée des énergies qui peuvent dès lors s'orienter vers une mission de justice. C'est le roi Salomon qui, à partir de la lame de l'épée de David, va constituer, par l'adjonction du pommeau, de la poignée et du fourreau, l'Epée aux étranges renges. Par son nom, le roi Salomon, figure emblématique de la sagesse, se rattache au symbolisme du saumon, significateur de la Connaissance, lui-même relié au signe zodiacal des Poissons. En efet, comme chacun le sait, le saumon remonte en nageant le cours des rivières; or, le signe double des Poissons est figuré par un Poisson d'Or qui remonte vers les « eaux supérieures » et par un Poisson d'Argent qui descend vers les « eaux inférieures » ; on peut donc assimiler le saumon au Poisson d'Or et y voir un symbole de la remontée vers la Connaissance et la Tradition primordiale, en dépit de la chute cyclique figurée par la flux incessant de la rivière et du temps. La mission de justice de Galaad est ainsi liée à l'idée d'un accomplissement à la fin d'un cycle. Plénitude cyclique qu'indique par ailleurs le nombre sept, qui est précisément celui de la Balance.

 

Tresses d'Ariane http://racines.traditions.free.fr/lienoeud/index.htm

Dans l’Arbre de Mai : « Le symbolisme des rubans est la matérialisation des chemins invisibles, des fils qui unissent le ciel, le soleil, les planètes et les étoiles, à la terre et aux hommes. Avec une circulation à double sens : vers le haut elle permet de recréer (manifester) et se réapproprier l’Univers ; vers le bas, d’intégrer la Terre au cosmique (…) Tresser ces liens est un gage actif, participatif, plus solide encore pour re-lier les mondes célestes et chthoniens, et s’attacher “le ciel”, son ordre et ses puissances, pour qu’il féconde la nature et l’homme en un nouveau cycle.

kate.lelfe@caramail.com (artisan céramiques trad.).

 

http://racines.traditions.free.fr/these/index.htm

d’une couronne de feuillage spiralée de lierre, fleurie et enrubannée de 24 rubans arc en ciel qui, d’une part la retiennent depuis la Croix du Nord Z.gif et, d’autre part, pendent jusqu’au sol où 24 danseurs pourront les tresser lors de la spectaculaire et rituelle Danse des Rubans… (tresse autour du tronc)

        Ces rubans fleurs symbolisent les 12 constellations zodiacales qui se lèvent chaque mois dans la zone des levers héliaques (écliptique) et figurent donc le zodiaque méditerranéen– mais aussi les 12 constellations polaires que seuls les septentrionaux voient en permanence : ces 24 constellations-rubans rayonnent donc sur le “Cercle de l’Année” des Nordiques, leur Grosongrmuhle ou "Moulin de la Grande Chanson" qui n'est autre que notre médiéval Ouroboros.

 

        Ce sont ces 24 constellations qui, représentées par des graphismes “filaires”, furent nommés des “astérismes”, ceux-là même que le “divin” Odhin/ Wotan* trouva au pied de l’Irminsul*/ Yggdrasil lors des 9 “nuits” (mois) où, (sus) pendu à ses branches il observait, tel Kronos, le ciel étoilé se reflétant dans un petit lac tranquille, astérismes qu’il appela des Runes* c’est à dire “des secrets, des murmures” d’initié* (Mimir) :

la Danse des Rubans –ou Danse des Cordeliers en Provence (cf. Fiche technique de l’association Racines…)– aie pour objet de célébrer le tissage du Destin* cosmique de notre Terre, quels que soient les aléas qu’elle pourrait rencontrer tels que catastrophe, cataclysme, séisme ; ou la répétition de ce final raz de marée qui mit fin à l’Âge d’Or de cette civilisation nordique du Maglemose que nous supposerons ici – pour débuter – avoir été l’Atlantide* boréenne : une des Moires (Parques, Nornes) ne s’appelle-t-elle pas d’ailleurs Klothé, “la Tisserande” ?

La Danses des rubans c’est à dire le tissage du destin cosmique

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26 septembre 2014

Marelle/Moulin

MARELLE, Moulin

http://lespierresdusonge.over-blog.com/pages/LA_TRIPLE_ENCEINTE_COMME_SYMBOLE_ARCHITECTURAL_1-2309530.html

 l'origine et les raisons de l'emploi du terme "moulin" pour désigner les figures de marelle à main, point essentiel qui nous intéresse ici. Or dans le français médiéval, le terme mole signifie précisément "modèle". Mole, ou modle, qui donnera aussi "moule" vient du latin modulus, "mesure", et plus particulièrement mesure pour régler les proportions d'un bâtiment (71). Le mot désigna plus particulièrement, dans le vocabulaire médiéval de la construction, un patron pour la taille de la pierre, dont la géométrie était définie par l'appareilleur ou "parlier", sous les ordres directs de l'architecte (72). Y aurait-il là plus qu'une simple coïncidence? Le terme "moule" dans le sens de "mesure" a d'ailleurs appartenu longtemps au vocabulaire professionnel des métiers du bois: "mouler était synonyme de "mesurer dans le cas du "mouleur de bois" ou "compteur de bois", qui désigna dès le Moyen-Age et jusqu'au XIXe siècle celui qui mesurait au moyen d'un anneau de fer appelé "moule" les lots de bûches destinées à la vente (73). Enfin le "moulet" était un calibre de bois utilisé en menuiserie (74).

La racine même du mot mérel (méreau), d'où est issu "marelle" nous ramène encore à l'art de mesurer, et plus précisément à l'une de ses visées principales, telle au moins que la définissaient les constructeurs gothiques comme nous le verrons plus loin. Le terme merel vient du grec meros, partie, division, portion (75), ou de l'indicatif meiro, je partage. Il désignait ordinairement un jeton, une pièce de monnaie de convention servant de marque, de signe, d'indice pour la réalisation de toutes sortes de comptes, de dénombrements ou de partages. Mais au milieu du XXe siècle dans le langage solognot, on nommait encore "marelles" les assemblages en colombages et en torchis des maisons à pans de bois, et plus exactement les intervalles entre ces colombages, c'est-à-dire les partitions de la structure (76). La notion de "partage" attachée au  mot "marelle"a donc été précisément utilisée dans un sens purement architectural, c'est-à-dire géométrique. On peut alors supposer que le terme "marelle" a pu  désigner originellement toute forme de construction géométrique partageant (c'est-à-dire mesurant) la surface d'un plan (77) avant d'évoquer le dessin d'une charpente à colombages, puis simplement celui d'un tableau de jeu. Et ce premier sens est de toute évidence technique et professionnel. Il paraît peu probable que les seuls charpentiers de Sologne aient inventé cet usage. Mais on ne sait rien hélas de l'époque à laquelle il remonte.

Quoiqu'il en soit, la racine grecque du mot "marelle" propose un sens qui recoupe la définition même que les constructeurs gothiques donnaient de la géométrie: c'est "à cause du départage des terres" que pour le Cooke, Euclide inventa le nom de géométrie; "(...) Par géométrie / il mesura le pays et le départagea / en divers lots, / et invita chacun à clôturer son / propre lot avec des / fossés (...) (78)." Et avant lui "Jobelle (fils de Lameth) fut le premier homme / à inventer la géométrie (qui ne portait pas encore ce nom) et / la maçonnerie. Il fit des maisons (...) / Le maître des histoires / dit avec Bède, le De Imagine / mundi, le Polychronicon et / beaucoup d'autres, qu'il fut le premier à départager / le pays, afin que tout homme puisse / savoir quel est son propre lot, / et travailler à cet endroit pour / lui-même. En sus il / départagea les troupeaux de moutons afin / que tout homme puisse savoir / quel était son propre bétail. / A cela nous pouvons / voir qu'il fut le premier / inventeur de cet art (...) (79)". On voit dans ce texte que le comptage, en ce qu'il divise en part ou portion, pouvait être appelé géométrie. Ou bien est-ce parce qu'en Occident, les comptes s'effèctuèrent longtemps "à get" c'est-à-dire sur l'abaque, avec son tablier fait de divisions géométriques en lignes et en colonnes? Ce mode de calcul hérité de la civilisation gréco-romaine restait au XVe siècle encore, malgré l'introduction des méthodes que nous connaissons aujourd'hui (les chiffres arabes), très répandu (l'usage de l'abaque se poursuivra dans les administrations européennes jusqu'aux XVIIe et XVIIIe siècles) (80). Les marguilliers de Sologne, c'est-à-dire ceux qui avaient soin des affaires temporelles d'une église, apuraient les comptes de la fabrique sur un tablier géométrique en un lieu de l'église appelé "banc de marelle". L'ethnologue Bernard Edeine signale que le dessin de ce tablier était justement celui d'une "marelle simple" (81).

(75) "Méreau", du grec méris ou méros, part, portion dans la distribution d'une chose. marque qu'on distribue à des gens pour servir à être admis en quelque lieu, ou pour témoigner qu'ils y ont été, et avoir part à une distribution. Se disait surtout des marques de ce genre données aux chanoines pour leur assistance aux offices (Napoléon Landais, op. cit. p. 408). Le Nouveau dictionnaire de la langue francaise de M. Noël et Chapsal, à Paris, 1833, donne la même étymologie. le Dictionnaire étymologique de la langue françoise,

t. 1er, par B. de Roquefort, Paris, 1829, ajoute à cette racine grecque une source latine: de merenda (en grec, méris, méros), part, portion que l'on donne dans la distribution d'une chose; fait du latin méréo; en grec méirô, je partage, je distribue, je divise. Le mot grec pour "se partager" signifie aussi "obtenir en partage par le sort" (Dictionnaire grec-francais, A. Bailly, Paris). On comprend pourquoi en ancien francais, "mérelle" put désigner le sort, bon ou mauvais: un trait de merele, un coup de la fortune; avoir cette merele, avoir telle chance, éprouver tel sort; laisser quelqu'un dans la merele: dans l'embarras, etc... On appelait aussi merel tout ou partie d'une écluse (sans doute en ce qu'elle partage les eaux) et certains fossés (fossé méreau, peut-être à propos d'une sorte de fossé appelé mere, servant à collecter les eaux d'un champs venant de divers petits fossés) (Frédéric Godefroy, op. cit.). Cette étymologie grecque s'accorde parfaitement au sens des termes "méreau" et son féminin "mérelle" dans les diverses acceptions qu'on leur donnait au Moyen Age. Elle a été pourtant inexplicablement abandonnée dans le cour du XIXe siècle pour d'autres plus incertaines: d'un type matrellus, matrella, d'où mairelles, marellus, qui serait un dérivé du latin matara, mataris, materis, sorte de javeline (sic?), mot d'origine gauloise d'après Strabon, etc...

(P. Larousse, Grand dictionnaire du XIXe siècle, Nïmes, 1991 pour la réédition. Ménage et Furetière faisaient déjà, au XVIIe siècle, dériver le terme d'un hypothétique ancien gaulois ou celtique madrella, madrellum). D'autres sont très obscures: peut-être d'un radical pré-roman marr, signifiant pierre, étymologie qu'on trouve aujourd'hui dans les dictionnaires, et qui n'est justifiée par le fait qu'on usait parfois de petits cailloux dans le jeu de marelle.

(81) Marguillirer, de "mârelle", fabrique d'une église: "Nous ont remonstré la pouvreté de ladicte marrelle et la charge d'icelle" (1472). Banc des marguilliers: il a été s'asseoir à la mârelle, au banc de mârelle. "Que son corps soit inhumé en l'église de Villebarou pres le pilier ou on met la chandelle de la marelle" (8 déc. 1605, arch. mun. de Villebarou) (Adrien Thibault, Glossaire du pays Blaisois, Blois-Orléans, p. 215-216). Pour mémoire, N. Landais (op. cit.) fait dériver "marguillier" du latin matricularius, de matricula, matricule, rôle. Le matricule était un registre public où l'on inscrivait les pauvres qui demandaient l'aumône à l'église. les marguilliers ont d'abord été gradiens de ces registres et distributeurs de ces aumônes. On a ensuite donné ce nom à ceux qui avaient soin du revenu des églises (marguilliers comptables), puis au bedeau et au sacristain. les marguilliers étaient encore appelé "marelliers" ou "marregliers" (Frédéric Godefroy, op. cit.).

 

Le jeu de la Marelle

L'exemple du jeu de la marelle est remarquable à ce effet. Il sera développé ici l'aspect de la Marelle "à cloche-pied" (plus tard cette étude sera étendue à la Marelle "assise"). L'enfant doit partir de la Terre et atteindre le Ciel en passant suivant les cas par sept cases chiffrées à cloche-pied, au moyen d'un caillou qu'il doit lancer dans chaque case. Il existe aussi un cas plus élaboré avec neuf cases dont huit chiffrées (la neuvième, l'enfer, étant à éviter). L'enfant doit monter jusqu'au Ciel, en évitant l'Enfer, puis récupérer la pierre au retour, à chaque étape.

Sachant que la mérelle est le nom donné à la coquille du pélerin de Compostelle, dont le pélerinage est initiatique (mérelle serait composé des mots grecs mhthr et elh, mère de la lumière) on peut alors retrouver, grâce au rapprochement avec le nom Marelle, les symboles qui ont déjà été interprétés dans les autres études de ce site:

 

 

  • Le claudiquant, le boiteux est le symbole de l'initiable, du Profane en marche vers l'Initiation. En effet l'initiation a alors pour but de le faire "marcher droit" (de le foudroyer = fout droit). C'est le Mat du jeu de tarot, similaire à Saint-Roch et sa plaie découverte à la cuisse. Le fait d'être à cloche-pied permet d'ailleurs de montrer son genou, autre signe initiatique. Il sera expliqué un peu plus loin pourquoi.
  • Le caillou qui permet de progresser dans l'itinéraire initiatique. Nous le rapprocherons de la pierre philosophale des alchimistes, dont le rôle est le même: un support à la transmutation.
  • Le dessin du chemin de la marelle lui-même, qui ressemble au plan d'une église, signe d'un itinéraire spirituel.

 

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  • les sept étapes dans la première marelle sont, sans surprise, celles du chiffre divin (7 est le symbole traditionnel de Dieu).
  • Dans un même ordre d'idée, les neufs étapes de la seconde marelle mènent au Ciel (la neuvième étant l'Enfer à éviter, étonnamment placé juste avant le Ciel), le Ciel étant la dixième étape, ou le retour à une nouvelle unité (10=1+0=1) qui est l'atteinte du Centre du Monde. Remarquer que dans les deux cas la forme du Ciel n'est plus rectangulaire (le rectangle est le symbole du monde matériel) mais en arc de cercle, symbole de la perfection. Dans l'intérêt de la suite de cette étude, il faut faire remarquer que le nom grec de la Marelle est Koutso .

Le boiteux

L'Oye est parfois un jeu de mot pour signifier l'ouïe, le fait d'écouter. On l'utilise ainsi pour nommer le langage des oiseaux. D'ailleurs le jargon, qui est le cri du jars (mâle de l'oie, arsenikh chna en grec, remarquer la présence du premier mot arsenic...), est un autre synonyme d'argotique (art gothique). C'est le langage des initiés par excellence. En grec, jaser, caqueter, cancaner, et autres langages des oiseaux se disent Koutsompoeuw.

Remarque: jaser s'appuie donc sur la racine Koutso qui signifie Marelle en grec (ou inversement)!

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Le nom commun du pas de l'Oie est la claudication. Or la claudication est aussi, pour l'être humain, le boitement, marque en iconographie de l'initié. En grec l'homme qui boite se dit Koutsoz.

Remarque: Il s'agit encore du même mot que celui signifiant Marelle en grec et qui sert de racine au mot grec signifiant le langage des oiseaux...

 

On retrouve donc un boiteux sur un parcours labyrinthique, comme pour le jeu de la marelle, comme aussi pour le jeu de tarot avec le mat, fol pélerin blessé à la cuisse qui démarre son parcours parmi les arcanes majeures.

 

Par le biais du grec, on comprend maintenant pourquoi le boiteux est le symbole de l'initié: c'est en effet aussi un jeu de mot pour exprimer le fait qu'il parle le langage des oiseaux, qu'il parle un langage secret!

 

Le centre

Enfin, et c'est capital, le parcours du jeu de l'oie est en spirale, parsemé d'embuches, et le but du jeu est d'en atteindre le centre (le Ciel pour la marelle). La spirale est aussi la forme de la coquille de l'escargot, nous demandons au lecteur de garder ce détail à l'esprit en préparation à la lecture de l'interprétations de la comptine de la Souris Verte.En conclusion, Marelle (Koutso) ÛMérelle de Compostelle Û Pélerin boiteux (Koutsoz) Û Mat du tarot Û Claudication Û jeu de l'oie Û langue des oiseaux (Koutsompolhz) Û parcours initiatique. Tout se tient dans l'unité des jeux qui ont été abordés, le lien se faisant aussi bien par le symbolisme que par le grec ancien.

 Une souris verte - l'élue Le vert est couleur d'eau, et correspond en astrologie à Vénus, la déesse de l'Amour. C'est aussi la couleur associée en hermétisme au cuivre. En effet, ce métal aux reflets roux, se recouvre de vert-de-gris sous l'effet de l'oxidation. Cette couleur et ce métal ont déjà été rencontrés dans l'étude sur la gueule du dragon.

  • On retrouve cette ambivalence vert/rouge dans le terme sinople, qui représente la couleur verte en langage du blason. Ainsi sinople vient du bas-latin sinopis qui désigne d'abord la terre rouge de Sinope, avant de prendre au XIVème siècle le sens de vert pour des raisons inexpliquées et qui signifiait à la fois rouge et vert. La couleur rouge (Roux ou Rouel à l'époque) devint alors gueule et il a été montré alors l'analogie avec le symbole du dragon (vert) avec sa gueule (rouge) transpercée d'une lance. Voilà qui justifie d'ailleurs l'emploi des termes langue verte pour la langue des oiseaux et le langage à double sens.
  • D'un point de vue alchimique, la souris est aussi la matière première de l'oeuvre, dont l'ambivalence vert/rouge est aussi une de ses propriétes (soufre/mercure).

L'hypothèse de départ donc est que la couleur verte de la souris signifie sa qualité d'élue dans le sens où, étant verte, elle contient déjà le rouge, qui est la couleur du feu sacré (le feu de roux - voir la gueule du Dragon). Comme on le verra par la suite, cette idée se trouvera confirmée de multiples fois dans la comptine.

Qui courait dans l'herbe- sur terreL'herbe est verte aussi et peut symboliser la Nature, ou la surface de la terre. Cela suggère l'aspect purement matérialiste de cette souris qui, à quatre pattes, erre dans un monde horizontal. La souris erre sans but.

Je l'attrape par la queue- retournementCet aspect horizontal, on le retrouve avec cette queue de souris, image même du reptile. C'est par la queue, reliée au derrière, donc à la lune en argot, que la souris est attrapée par une intervention supérieure (verticale car il s'agit apparemment d'un humain). Nous retrouverons la lune dans une autre comptine célèbre.

Remarque: Pour justifier cette qualification de lune pour les fesses, il est aisé de faire le raisonnement suivant, en langue des oiseaux:
Le Soleil est opposé à la Lune.
Le Soleil est source de Lumière. En latin c'est la LUX.
Or l'opposé littéral de LUX est XUL.
Le X (Khi grec) se prononce K en langue verte (tiens donc... verte) ou langue des oiseaux.
Le Soleil/LUX est donc opposé à la Lune/CUL...

D'autre part, cette manipulation par la queue fait que la souris est maintenant tête en bas: elle a été retournée. Pour elle, "ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et vice versa". Cette qualité d'élection par la Grâce a déjà été rencontrée dans l'étude sur le N inversé. Il semble que l'on puisse en déduire là encore que la souris est une élue, une initiable.

ESCARGOT

Ça fera un escargot tout chaud. - le colimaçonCet être de grâce est l'escargot. Et il ne faut pas se tromper: il s'agit d'un véritable baptème dans le Saint-Esprit qui est aussi le baptème du feu, principe intérieur de perfectionnement spirituel. Alors notre escargot est tout neuf mais c'est aussi un escargot tout chaud à cause de cela. Nous voici revenu au symbole mystérieux de l'escargot, que nous avons rencontré lors de l'analyse du jeu de l'Oie, en forme de spirale. Il va falloir devoir nous y arrêter un instant. La spirale est fréquente dans le règne végétal (vigne, volubilis) et animal (escargot, coquillages, etc...). On la retrouve depuis l'origine des temps gravée par les Celtes sur les dolmens ou monuments mégalithiques. Symboliquement elle représente une involution, ou une évolution, vers un centre. C'est le même symbole que le labyrinthe: car rien n'est plus facile lorsqu'on part de l'entrée du labyrinthe que d'en atteindre le centre (ce qui n'est pas le cas du dédale) L'aspect évolutif de la spirale est le rôle dynamique de moteur que représente son centre, identique au moteur d'une roue: le centre reste immobile, bien que moteur, et la spirale évolue, la roue tourne. Si vous relisez notre étude sur le Centre du Monde, vous retrouverez cette propriété dans le symbole de la Rose qui se développe au centre de la croix. C'est le symbole de Dieu se manifestant sur terre. L'escargot est aussi appelé en argot un limaçon, et à cause de sa coquille en forme de spirale, un colimaçon. Sachant que l'on retrouve ce gastéropode sur de nombreux portails d'églises et de cathédrales, nous pensons que l'escargot représente en fait le maçon, le compagnon qui au Moyen-Age construisit les cathédrales et pour qui le travail atteignait une dimension spirituelle primordiale. La confrérie des compagnons maçons étant plus tard devenue Franc-Maçonnerie, il semble que l'escargot reste un des symboles des franc-maçons, comme une dernière preuve le montrera à la fin de l'étude sur cette comptine. Gravure de l'homme à l'escargot.

  • Un autre point important est que l'escargot est un symbole universel lunaire. L'escargot montre et cache ses cornes comme la lune apparait et disparait. Ce symbolisme de la CoRNe d'ailleurs (notez la sonorité en KRN, expliquée sur le forum La gueule du Dragon) que l'on rapprochera de la CouRoNne de l'élu.
  • Enfin, et ce n'est pas négligeable, l'escargot est un animal hermaphrodite. Or le symbole de l'androgynat est primordial en hermétisme car il exprime la réunion des contraire, la disparition des dualités, le retour à une unité similaire à celle qu'exprime l'involution de la spirale. C'est l'Adam initial, celui formé de terre rouge (voir plus haut les réflexions sur le Sinople). La couleur symbolique de l'escargot pourrait donc être le rouge. La souris verte ainsi révèle sa véritable forme en un escargot rouge, ce qui parfait encore l'unité du symbolisme de cette comptine.

Tiroir en langue verte peut se dire Terroir, en rapport avec la Terre. On peut alors  lire: Je la mets dans mon TERROIR, Elle me dit : il fait trop noir. Je la mets dans mon CHAPEAU, Elle me dit : il fait trop chaud. Nous avons alors la Terre (le terroir), le Ciel (le chapeau), dont les attributs extrêmes ne conviennent pas à l'escargot, et enfin, le CUL (la culotte), dans la phrase finale, qui correspond au milieu du corps et où s'arrête l'escargot: c'est-à-dire entre le Ciel et la Terre, qui comme nous allons le confirmer ensuite, rappelle le concept purement maçonnique de médiateur.

Je la mets dans ma culotte, Elle me fait trois petit crottes. - l'initié.L'escargot dans la culotte, est mis en rapport avec le CUL, ou la lune, emblème du gastéropode à cause de ses cornes. Quant aux trois crottes, elles font immédiatement penser aux trois points maçonniques, à cause bien entendu de notre analyse précédente. Pure imagination? Ce n'est pas si sûr lorsque l'on constate que crotte en grec se dit Koutsoulia, mot dans lequel on retrouve la racine Koutso qui est celle du boiteux, de l'argoteur, de la marelle... c'est-à-dire celle de l'initié.Alors on peut désormais poser la question qui est en elle-même une comptine: "Escargot Margot?" (Est-ce qu'argote m'argote?)

Gravure d'un franc-Maçon : l'h aux escargots. Mais ce qui frappe le plus, après analyse, c'est la forme des bras de l'homme aux escargots: observez le bras du haut en forme d'équerre vers le ciel et le bras gauche dont la main prend la forme d'un compas, dirigée vers la terre.
L'homme-colimaçon est placé entre l'équerre et le compas, médiateur entre le Ciel et la Terre, attributs mêmes du franc-maçon. Ceci pour montrer qu'en langue des oiseaux, depuis les temps les plus reculés, Arlequin signifie le boiteux et Pierrot l'accompagne toujours."C'est en effet le représentant du serpent qui séduisit Ève et dont il a conservé les vêtements bigarrés et les formes onduleuses. Depuis le commencement des siècles, il est décapité et Pierrot pendu." Maintenant considèrons l'information suivante, toujours donnée par Grasset d'Orcet, en page 23

"[...] le "sans bras" ou le "manchot" est le nom scandinave du reptile "gorm", qu'il soit "ver, limace, chenille" ou "serpent". Mais en Auvergne, le héros de cette singulière épopée, l'ennemi du feuillage, représentant de l'aristocratie et de la fainéantise, c'est le "perceval" ou "escargot"."

Ce qui peut se résumer par: le boiteux (Harlequin), père du chevalier Perceval en langue des oiseaux (synonyme phonétique de Bliaucadras), est donc aussi le père de l'escargotqui est sans bras, donc un manchot.

LE DRAGON

Ainsi observons que lorsqu'il est terrassé, le dragon est représenté avec une lance qui lui transperce la gueule.La lance est un symbole de l'Axe du Monde.

Or l'Axe du Monde symbolique passe, sur Terre, par un Centre du Monde, appelé ou représenté aussi parfois comme le moteur d'une roue: on le nomme alors le feu de roue.

La couleur rouge est donc la couleur symbolique que nous donnerons désormais à notre Centre du Monde, ou Feu de Roux.A noter, toujours en rapport avec l'unité du symbolisme du Centre du Monde, que le Christ, dont nous avons montré qu'il était l'archétype même du Centre du Monde (en tant que manifestation de Dieu se déployant dans les quatre directions de la croix), est souvent figuré en ésotérisme comme ayant les cheveux... roux.Or, pour revenir à notre sujet, en langage des blasons, qui est un jargon du Moyen-Age similaire au langage des oiseaux, le mot Gueule est utilisé pour désigner la couleur Rouge...

Reprécisons notre idée: un dragon, dont une lance passe par sa gueule pour le terrasser, gueule d'où les légendes font sortir du feu...

Il est aisé de faire l'analogie avec l'Axe du Monde qui passe, sur Terre, par un Centre du Monde, appelé aussi Feu de Roux.

Ainsi, derrière le monstre répugnant qu'est le dragon se cache ce secret tant convoité: ce que certains nomment le Graal, d'autres le feu de roux. D'ailleurs, il est intéressant de noter le fait que le sang, de couleur rouge (comme la rose à l'intersection de la croix), est le contenu du Graal...

Ce n'est pas pour rien, aussi, que l'on dit des dragons (comme des gnomes) qu'ils sont gardiens de trésors!!! Et l'on comprend alors que pour le domestiquer (comprendre: pour le terrasser), il faille lui transpercer la gueule d'une lance.

Sauf que l'agent terrasseur n'est pas de cette terre (l'Archange est de nature divine) ou s'il l'est (Saint-Georges est de nature humaine) il lui faut une monture, pour ne pas se mouiller... Il lui faut une cabale?

FULCANELLI ET LE DRAGON :

le dragon est choisi comme représentant le hiéroglyphe de la matière minérale brute avec laquelle on doit commencer l'Œuvre. Dracon a pour racine dercomai,regarder voir, et, par extension, vivre, mot voisin lui-même de derceunhz,qui dort les yeux ouverts. La langue primitive nous révèle, à travers l'enveloppe du symbole, l'idée d'une activité intense, d'une vitalité perpétuelle et latente enclose dans le corps minéral.

" Les mythologues nomment notre dragon Ladon, vocable dont l'assonance se rapproche de Laton et que l'on peut assimiler au grec Lhqw,être caché, inconnu, ignoré, comme la matière des philosophes.

" L'aspect général, la laideur reconnue du dragon, sa férocité et son singulier pouvoir vital correspondent exactement avec les particularités externes, les propriétés et les facultés du sujet. La cristallisation spéciale de celui-ci se trouve clairement indiquée par l'épiderme écailleux de celui-là.

" Semblables sont les couleurs, car la matière est noire, ponctuée de rouge ou de jaune, comme le dragon qui en est l'image. Quant à la qualité volatile de notre minéral, nous la voyons traduite par les ailes membraneuses dont le monstre est pourvu. Et parce qu'il vomit, dit-on, quand on l'attaque du feu et de la fumée, et que son corps finit en queue de serpent, les poètes, pour ces raisons, l'ont fait naître de Typhaon et d'Echidna. Le grec Tujawn, terme poétique de Tujwn ou Tujwz, - le Typhon égyptien,- signifie remplir de fumée, allumer, embraser." 'Ecidna n'est autre que la vipère (Python?). D'où nous pouvons conclure que le dragon tient de Typhaon sa nature chaude, ardente, sulfureuse, tandis qu'il doit à sa mère sa complexion froide et humide, avec la forme caractéristique des ophidiens. "

/www.regnabit.com/artgauth/

26 septembre 2014

Vie et action, citation: Gandhi, Hadith

VIE ET ACTION Citation

Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours. Gandhi

              le Hadith : "Vit pour ce monde comme si tu devais y vivre éternellement et pour l’au-delà comme si tu devais mourir demain".

26 septembre 2014

Château de Monségur

Montségur et les trésors des Cathares

 

Vidéo

 

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=10039645

 

Le nom "cathares" (du grec, katharos, "pur") fut adopté par de nombreuses sectes chrétiennes du Moyen Âge. Les cathares se signalaient par leur ascétisme rigoureux et une théologie dualiste fondée sur le manichéisme: la croyance en l'affrontement du Bien et du Mal, reflet d'un univers composé d'un monde spirituel créé par Dieu opposé au monde matériel créé par Satan.

 

Au début du XIIIe siècle l'Église catholique organisa, en accord avec le roi de France, une "croisade des Albigeois" (1209-1218) sous la direction de Simon de Montfort. Cette expédition aboutit à une sauvage répression des cathares, puis à l'annexion des territoires occitans au royaume de France.

Cependant le catharisme perdura, et l'Église catholique n'en vint à bout qu'à la fin du XIVe siècle en s'appuyant d'une part sur l'Inquisition, d'autre part sur le développement des ordres mendiants et notamment les dominicains.

En France, le mouvement cathare s'implanta surtout dans le Sud du pays et les cathares prirent le nom d'Albigeois, d'après la ville d'Albi. Il fut soutenu par la noblesse et quelques grands féodaux, dont le comte de Toulouse.

 

Les lieux cathares : la forteresse de Quéribus, la citadelle de Peyrepertuse, les châteaux de Lastours (Cabaret, Tour Régine, Quertinheux, Surdespine), le pog de Montségur, Péreille, Arques, Lordat, Puivert, Fanjeaux, Carcassonne, Laurac, Montaillou, Blanchefort, Roquefort, Laroque-de-Fa, Tarascon-sur-Ariège ...

 

MONTSEGUR

 

Situé dans l'Ariège, Montségur est connu pour son château qui symbolise depuis des siècles le bastion de la résistance cathare. Édifiée à 1200 m d'altitude au sommet d'un éperon rocheux nommé le "pog", émergeant des premiers contreforts des Pyrénées, cette forteresse sanctuaire donna lieu à de nombreuses légendes, devenues mythes à travers la littérature.

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Légende et mystère

Montségur a longtemps été considéré comme étant le château du Graal où certaines clefs de la connaissance graalique étaient, dit-on, conservées par les cathares. Refuge de la hiérarchie cathare et des chevaliers languedociens mis en fuite par la Croisade et le pouvoir royal en 1243, ce château aurait abrité le fabuleux trésor des cathares dont on raconte qu'il aurait disparu la veille de la reddition afin de ne pas tomber dans les mains ennemies. Ce mythe a perduré très longtemps puisqu'en 1933, sur l'ordre de Himmler, bras droit d'Hitler et chef des SS, des scientifiques établirent un camp de recherche du Graal près de Montségur sans aucun succès.

Un chantier de fouilles a permis depuis 1968 aux archéologues d'exhumer patiemment les vestiges de la vie quotidienne de ses derniers occupants et de reconstituer progressivement le déroulé des derniers mois du siège de 1244. En tout cas concernant le Graal, rien n'a été découvert et le mystère subsiste toujours.

 

MONTSEGUR et le solstice d'été

Montségur baigne aussi dans la légende du culte solaire. L'architecture du château présente un aspect intéressant et pour le moins étrange. Ainsi, lors du solstice d'été, le château est traversé de part en part par les rayons du soleil sans compter que le donjon au nord ouest voit ses quatre archères alignées parfaitement avec le soleil. Un tel phénomène a donc laissé penser à l'existence d'un culte solaire à Montségur, conforté par le fait que le catharisme fut considéré par certains comme une religion solaire.

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Le plan du château de Montségur est calqué sur la constellation du Bouvier (lat. Bootes). Le donjon occupe l'emplacement de l'étoile Arcturus.

Le château de Montségur

Dominant le village et la vallée du même nom, son histoire suit de près celle du catharisme, religion des hérétiques dualistes qui se manifestèrent en Occident dans la seconde moitié du XIIème siècle.

L'histoire du château

C'est en 1204 que Raymond de Pareille sur la demande de deux parfaits reconstruisit ce refuge de l'Eglise cathare à l'emplacement d'une forteresse dont on ignore l'époque d'édification. Le château de Montségur abritait en 1230 une centaine d'hommes sous le commandement de Pierre Roger de Mirepoix, et, hors de ses murs, une communauté de réfugiés cathares avec son évêque, ses diacres, ses parfaits et ses parfaites. Le prestige du lieu, les pélerinages qu'il attire portent ombrage à l'Église et à la Royauté. Lorsque, en 1242, Blanche de Castille et le clergé apprennent le massacre des membres du tribunal de l'inquisition, à Avignonet, par une troupe descendue de Montségur, ils débutent un siège en juillet 1243. Après de longs mois, la forteresse rend les armes et le 16 mars 1244, sur 500 personnes, 220 cathares refusent de renoncer à leur croyance et préfèrent se jeter d'eux-mêmes dans le bûcher. Après la chute de Montségur, le roi de France attribue le château à l'un de ses lieutenants, Guy de Lévis. Remaniée dans son architecture, la forteresse sera encore occupée par une garnison royale jusqu'au traité des Pyrénées au XVIIème siècle. Le château est classé monument historique depuis 1875, de même que le pog sur lequel il est perché, qui fut classé en 1883. Il subsiste aujourd'hui des ruines que l'on peut visiter.

Les trésors des Cathares

Le premier trésor déménagé le 24 décembre 1243

C'est à Noël 1243 que Matheus et Pierre Bonnet arriveront à fuir de Montségur, à la barbe des assaillants, en prenant tous les chevaux valides et déménageront le formidable trésor des cathares composé de pièces d'or et d'argent. Ce trésor doit être conduit en Italie, à cheval d'abord jusqu'à Port-la-Nouvelle, puis par bateau qui les attend pour les conduire à Gènes. Matheus et Pierre Bonnet suivront ce qui est actuellement le sentier cathare entre Montségur et Port-la-Nouvelle. En cette fin d'année 1243, tout le monde prépare Noël ou le jour de l'an et se soucie peu de ces quatre cavaliers. Le trésor est acheminé en une semaine de Montségur à Port-la-Nouvelle. Le 1er janvier 1244, un bateau chargé d'or et d'argent du trésor des cathares file à toutes voiles vers l'Italie, La traversée durera 8 jours.

Le départ du trésor, de Montségur à Quillan, de Quillan à Padern, de Padern à Port-la-Nouvelle, de Port la nouvelle à Menton, de Menton à Crémone, Crémone, Sirmione, Brescia, Vicence, Vérone,

Le 1er trésor des Cathares

Le second trésor déménagé le 15 mars 1244

Il sont quatre bonshommes cette fois, Amiel Aicart, Hugo, Poitevin, Sabatier à quitter Montségur et à accompagner le second trésor, les derniers documents de l'église cathare et plusieurs pièces d'or et d'argent. Mais cette fois c'est à pied qu'ils doivent emporter les documents car il n'y a plus de chevaux. On décide qu'il faudra s'en procurer en chemin.

 

Départ de Montségur, Montségur-Quillan, Le château de Coustaussa, Rennes-le-Château, Salza

26 septembre 2014

Astrologie et alphabet, document Pdf / Astro antique et classique

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Document établi par Racines et Traditions

 

ASTROLOGIE, Notes

Avec illustrations: 

Liens sur étoiles ou tradition +/- spiritualité

SUR http://www.alexandrea.fr/index.php/post/2007/10/24/2012-et-lalignement-astronomique-prevu

Les liens suivants :

Logiciel totalement gratuit pour préparer vos observations astronomiques ou tout simplement découvrir le ciel :

http://www.stellarium.org/fr/

Meridian simule la position des planètes dans le ciel en fournissant de l'information telles que:

http://www.merid.cam.org/meridian/m...

ma revelation www.ledoigtdedieu.com

je vous conseille un site instructif sur une certaine vision de l'évolution de l'humain selon les mayas  http://www.lalyreduquebec.com

il y a beaucoup de choses dont on a parlé jusqu'à maintenant et cependant la vision évolutive de l'humain expliqué dans la partie 3 me semble nouvelle.

la fin est beaucoup trop spirituelle pour moi.

scientifiques et astronomes n'ont été que bien récemment capables de calculer la durée précise de ce cycle, il semble que les mayas en avaient une connaissance bien affutée... Comment ? Un site passionnant sur ce sujet : http://tortuga.usebynet.com

 (fourmille de notions intéressantes.)

La "théorie du dédoublement", de Jean Pierre Garnier Mallet, permet également le calcul précis de la durée de ce cycle ainsi que d'autres constantes universelles comme la vitesse de la lumière, etc... ( http://www.garnier-malet.com/

 

Œil de Dieu : constellation de l’autel (astro chaldéenne),

Cf http://www.incapabledesetaire.com/edito3/annuelle.htm

Alors que le point le plus important de l’univers était la position de Dieu, l’Alpha et l’Oméga, le zéro, l’Autel,un point précis* du ciel situé entre le scorpion et le sagittaire, cet endroit si important est devenu RA 18h, 15m dans la nouvelle astronomie.

* (perso) correspond à l’Apex ?

Ainsi, chaque longitude enferme un groupe de terres et d’individus qui tous posséderont des caractéristiques propres et appareillées au signe du zodiaque lui faisant face. Les planètes circulant autour faisant office de lentille, cette représentation sera inversée faisant apparaître sur l’hémisphère nord tout ce qui est en bas de l’horizon galactique et vice et versa.

 Astro Les Chaldéens

Ils délimitèrent ainsi 7 tracés *, similaires à nos latitudes appelées climats et qui s’échelonnent du pôle Nord jusqu’à l’équateur, dont chacune possédait un indice décroissant des caractéristiques recherchées, au fur et à mesure qu’on s’éloignait du pôle. Sur chacune des bandes séparant ces tracés, seraient inscrits 10 nouveaux tracés sur lesquels serait attribué un nouvel indice à la qualité décroissante, au fur et à mesure que l’on s’éloignait des tracés d’origine et ainsi de suite, jusqu’à ce que l’hémisphère nord, seul jugé digne de posséder les qualités essentielles, en soit couvert.

* Certaines cultures démontrent l’utilisation de 8 tracés à une même époque.

Fruit d’une science très ancienne transmise par l’intermédiaire des Chaldéens, les villes pourraient être établies aux endroits les plus propices aux développements de la vie et l’homme posséderait toujours un refuge en dépit des changements parfois violents de la planète. Bien que dépendante d’une autre coordonnée similaire à la longitude cette fois, toutes les villes des générations ayant existé depuis le début des temps jusqu’à -5000, le furent en fonction de ces marques, qui furent appelées marques de Dieu.

 

Oeil-de-Dieu

Comme chaque constellation contient en son sein une ou des étoiles d’importance offrant une luminosité nettement plus puissante et aussi plus caractérisée que les autres, la quasi-totalité des grandes villes qui existaient avant l’époque moderne, furent crées précisément sur ces marques.

Marqués par la position du centre Galactique, la constellation de l’Autel ou l’oeil de Dieu furent identifiés sur ces marques à de nombreuses reprises au cours de l’histoire.

C’est le 27 novembre 2008 qu’un alignement Soleil-Mercure-Mars, quasi parfait sur la nébuleuse M80 de la constellation du Scorpion

Au même moment, l’alignement Vénus-Jupiter se complétera à l’extrémité de la constellation du Sagittaire.

Les deux formations seront séparées par un angle d’une vingtaine de degrés de chaque côté du Centre Galactique ou la constellation de l’Autel, aussi appelé l’Oeil de Dieu. Elles seront traversées par la pleine lune entre le 27 novembre et le premier décembre, moment optimal.

C’est entre ce moment et la fin décembre que la Lune ouvrira cet « oeil » qui balaiera la planète et qui frappera directement le coeur du Québec.

Suivant le mythe d’Hécate la triple déesse, c’est à partir de ce moment que la Lune devrait démontrer à quelques reprises une apparence inusitée, une illusion d’optique occasionnée par la torsion du rayonnement lumineux réfléchie jusqu’à nous, l’oeil de Dieu.

C’est en 1564 que s’est produite la dernière croix céleste de moyenne importance. La dernière apparition partielle d’Hécate quant à elle, s’est produite en décembre 1608 toujours au Québec

C’est entre ce moment et la fin décembre que prendra place la colonne de lumière, celle ayant donné lieu au mythe de la Colombe ou encore la venue de la « Grâce de Dieu », devenu par la suite « la venue du Christ », le christos céleste.

 

Constellation de l’Autel

http://fr.wikipedia.org/wiki/Autel_(constellation)

Ce groupe d'Ètoiles peu lumineuses faisait partie des constellations du Centaure et du Loup avant d'en Ítre sÈparÈ par la crÈation de la RËgle.

L'Autel est identifiÈ comme l'autel du centaure Chiron (ou, moins souvent, comme celui de NoÈ, de MoÔse, de Salomon ou de Dionysos).

Localisation de la constellation

L'autel fait partie du groupe d'Ètoile ‡ l'est de l'alignement formÈ par alpha et bÍta du centaure (les deux pieds du Centaure). Il est situÈ au sud de la queue du Scorpion, dans l'alignement assez net que forment les ´ yeux du chat ª (lambda et v Sco) et théta Sco.

 

http://www.astrosurf.com/astro_virtu/constell/f_co_ara.htm

C'est une constellation située près de la queue du Scorpion. La forme de cette constellation, petite mais bien repérable et déjà connue des anciens grecs et romains, rappelle un fauteuil vu de profil. Dans la mythologie, c'était l'Autel du Centaure Cheiron, considéré comme l'être le plus sage sur Terre. Mais, la constellation a aussi été décrite comme l'Autel érigé par Noé après le déluge, l'Autel de Moïse, celui du temple de Salomon, etc. La disposition des étoiles évoque l'image d'un objet carré, comme peut l'être justement un antique Autel de sacrifices. Dans quelques autres étoiles, on peut voir le feu qui brûle sur l'Autel. Les étoiles a et b sont de troisième magnitude. Différents amas globulaires se trouvent dans cette constellation. S'il vous est possible de voir au moins jusqu'au 65e parallèle de déclinaison Sud depuis votre lieu d'observation, vous trouverez facilement, au Sud du Scorpion (Sco), cette constellation dans la Voie Lactée.

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dauphin_(constellation)

La constellation du dauphin

Cette constellation fut également connue sous le nom du Chameau chez les astronomes arabes et de la Baleine de Jonas chez les Hébreux.

Le Dauphin est une constellation faible, mais sa forme est très caractéristique et se dégage facilement quand la visibilité est suffisamment bonne (Mag 4). Il se situe immédiatement au Sud-Est du triangle d'été, directement à l'Est de l'œil d'aigle de Altaïr, et au Sud du Cygne

 

http://etudiant-scientific.forumactif.com/histoire-archeologie-mythologie-f19/mythologie-constellations-le-dauphin-t395.htm

Le Dauphin était l'une des 48 constellations répertoriées par Ptolémée . L'origine de son nom, en revanche, n'est pas explicite et deux légendes s'y rattachent

La première concerne la néréide Amphitrite. Poséidon la vit danser sur l’île de Naxos et bien sur il tomba amoureux d’elle, mais se n’était pas réciproque et la belle s’enfui se cacher dans l’atlas

Le dieu n’acceptant pas sa défaite envoya des messagers parmi lesquels Delphinos qui sut si bien plaider la cause de Poséidon qu'elle céda et devint sa femme, la déesse de la mer.

Pour le récompenser l'image de Delphinos fut placé au milieu des étoiles pour devenir la constellation du dauphin. Elle lui donna trois enfants: Triton, Rhodè et Benthésicymé.

La deuxième concerne d’Arion le meilleur chanteur et joueur de cithare de son temps. Revenant de Sicile où il avait gagné, grace a son art, de grandes richesses, il s’embarqua à Tarente à bord d’un navire qui devait le conduire à Corinthe. Mais l’équipage décida, une fois en mer, d’assassiner le musicien pour s’emparer de sa fortune. Arion obtint cependant la faveur de chanter une dernière fois avant d’être jeté dans les flots, ce qui fut fait. Mais un dauphin, qui avait été attiré et charmé par les accents mélodieux du chanteur, le recueillit et le porta sain et sauf jusque chez lui.

Dans les deux légendes il s’agit du même dauphin, Delphinus. En récompense a ces bonnes actions, les dieux le placèrent dans les étoiles ...

La constellation est aussi parfois appellée Cercueil de Job, a cause de la formation de 4 étoiles qui composent la tête du dauphin

Elle fut également connue sous le nom du Chameau chez les astronomes arabes ou sous celui de la baleine de Jonas chez les hébreux

L'axe de ce cercueil est situé sur la médiatrice des étoiles gamma (Reda) et béta (Alshaïn) de l'Aigle, issue d'Altaïr. Cette constellation est facilement reconnaissable

 

Galaxie du grand Chien cannibale

http://latribunelibre.blogspot.com/search/label/Astronomie

Les théories actuelles de formation des grandes galaxies comme la nôtre considèrent qu'elle croît en cannibalisant ses voisines plus petites. La découverte de cette nouvelle galaxie du Grand Chien renforce cette idée et confirme que la Voie Lactée a même construit une partie de son disque en absorbant des galaxies satellites proches.

Perso : les anciens disaient que le soleil et son cortège d’étoile semblait venir du Gd Chien (Sirius)

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10.02.09, Le Monde           

Satellites Herschel et Planck

Deux satellites scientifiques destinés à percer les secrets de l'univers, Herschel et Planck, vont bientôt être acheminés sur la base de Kourou (Guyane française), pour y être lancés par une fusée Ariane le 16 avril, a annoncé l'Agence spatiale européenne (ESA).

Le téléscope spatial Herschel doit être transporté mercredi par avion en Guyane depuis le centre technique de l'ESA à Noordwijk, aux Pays-Bas, où il a été testé.

Il étudiera la formation des étoiles et des galaxies, en utilisant le rayonnement infrarouge pour recueillir des informations sur les objets les plus froids et les plus distants jamais observés dans l'univers.

D'une masse de 3,3 tonnes au lancement, Herschel sera doté d'un miroir de 4,5 mètres de diamètre, le plus grand jamais déployé dans l'espace.

De 1,7 tonne au lancement, l'observatoire Planck est destiné, quant à lui, à analyser le rayonnement "fossile" émis par le Big Bang il y a 13,7 milliards d'années, en mesurant les différences de température de ce rayonnement dans différentes parties de l'univers.

Son objectif est notamment de déterminer si l'expansion actuelle de l'univers se poursuivra indéfiniment ou finira par se rétracter sur lui-même jusqu'à un "Big Crunch".

L'observatoire Planck doit être acheminé à Kourou le 18 février depuis le Centre spatial de Liège, en Belgique, a précisé l'ESA dans un communiqué.

Les deux satellites scientifiques ont été fabriqués par la société franco-italienne Alcatel Alenia Space.

Leur lancement, prévu en 2008, aura finalement lieu pendant l'Année mondiale de l'astronomie, qui célèbre en 2009 le 400ème anniversaire de la première utilisation d'une lunette téléscopique par Galilée.

 

PLEÏADES

http://www.mediterranee-antique.info/Grece/Jurien_Graviere/Asie_S_Maitre/ASM_00.htm

Droysen remarque que les Pléiades se couchent le matin en novembre, le soir au commencement d’avril, qu’elles se lèvent le matin en mai, le soir en septembre. — Le seul moment, dit-il, qui pourrait convenir à l’expédition mentionnée par Quinte-Curce serait le coucher du soir en avril ; mais alors l’année serait, ce semble, trop avancée, car on serait au commencement du printemps. M. Baills pense que la position des Pléiades, à laquelle fait allusion le texte de Quinte-Curce, établit plus rigoureusement qu’on ne serait au premier abord tenté de le croire la date du départ d’Alexandre pour l’intérieur de la Perside. Je reproduis ici son raisonnement, qui me semble très plausible et qui a de plus le grand avantage d’éclaircir cette expression si souvent employée par les historiens grecs et latins : Lever ou coucher des Pléiades.

 

En l’année 330 avant notre ère, m’écrit M. Baills, le lever et le coucher apparents des Pléiades avaient lieu, pour la latitude de 29° nord, qui est à peu près la latitude de Persépolis, vers le 1er mai et le 1er novembre. Ces dates ne diffèrent pas sensiblement de celles qui se rapportent à la Grèce.

 

Pour les habitants de Persépolis au temps d’Alexandre, le 1er mai, quelques instants avant le lever du soleil, les Pléiades se montrent à l’horizon du côté de l’orient, et disparaissent aussitôt dans les feux du soleil levant. C’est le lever des Pléiades. Elles précèdent le soleil et se couchent un peu avant lui : on ne peut donc les voir qu’à l’aube.

 

Pendant les mois de mai, juin, juillet, la constellation gagne de plus en plus sur le soleil, à raison d’une heure d’avance par quinze jours. Quand le soleil se lève, on a déjà assisté, depuis une ou plusieurs heures, au lever et à la montée des Pléiades.

 

Le 1er août, l’avance a atteint six heures : la constellation se lève à onze heures et demie du soir, et on peut la suivre dans le ciel jusqu’à cinq heures et demie du matin. Elle est alors droit au méridien. A ce moment, le soleil paraît. La deuxième moitié de la course des Pléiades au-dessus de l’horizon n’est pas visible.

 

Pendant les mois de septembre et d’octobre, l’avance continue toujours ; l’étoile se montre avant minuit et ne s’éteint au jour que déjà parvenue à la moitié de sa course descendante.

 

Le 1er novembre, l’avance est de douze heures : les Pléiades se lèvent quand le soleil se couche. Elles restent toute la nuit au ciel et ont le temps d’achever leur course totale avant l’apparition du soleil, apparition qui coïncide avec le coucher des Pléiades.

 

Pendant cette première période, — du 1er mai au 1er novembre, — nous avons assisté chaque nuit (à des heures variables) au lever de la constellation, jamais à son coucher. C’est pour cela que cette période s’appelle le lever des Pléiades.

 

Le contraire va maintenant se passer :

 

Pendant les mois de novembre, de décembre et une partie de janvier, l’avance continuant toujours, l’étoile se lève de plus en plus tôt dans l’après-midi : on ne peut donc la voir. Mais, après le coucher du soleil, les Pléiades, qui ne sont levées que depuis trois ou quatre heures, apparaissent au ciel du côté de l’orient, à une certaine hauteur. Puis, tandis que la nuit se  fait, elles achèvent leur trajet, et on les voit se coucher bien avant que le soleil se lève.

 

Le 15 janvier, l’avance est de dix-huit heures : la constellation se lève vers midi, et, pendant que le soleil descend du méridien vers l’horizon d’occident, les Pléiades montent, invisibles, de l’horizon d’orient au méridien. De sorte que, sitôt le soleil coaché, elles se montrent brusquement au point le plus haut de leur course.

 

Un soir, les soldats d’Alexandre, en regardant le ciel, selon leur habitude, pour y suivre leurs points de repère, aperçoivent, juste à la tombée de la nuit, leur constellation favorite an point le plus haut de sa course, presque droit au-dessus de leurs tètes. Lorsqu’ils voudront tirer parti de cette circonstance exceptionnelle en vue de la supputation du temps, ils n’auront qu’à dire, — comme ils l’ont fait : Nous étions sous les Pléiades, — sub ipsum vergiliarum sidus. — Cette position des astres répondait au 15 janvier. Ce soir-là et quelques jours avant et après, les Pléiades se trouvaient, au crépuscule, droit dans le méridien et très haut dans le ciel, puisqu’elles passaient à quatorze degrés seulement du zénith.

 

J’attribue, en faveur de cette interprétation, une importance particulière au mot ipsum. Ce mot est employé dans le même sens, en français, pour affirmer d’une façon plus énergique l’impression de verticalité : Sous les Pléiades mêmes. Les Grecs n’avaient pas vu, dans leur patrie, cette constellation s’élever à une telle hauteur.

 

Pendant les mois de février, mars, avril, l’étoile, gagnant toujours, se lève de plus en plus tôt avant midi. Quand le soleil se couche, elle a, par conséquent, déjà franchi le méridien depuis une ou plusieurs heures : sa position n’a, dès lors, plus rien de remarquable, et on ne cesse pas de la voir jusqu’à son coucher.

 

Vers le 15 avril, la constellation a presque rattrapé le soleil ; elle se couche à peu près en même temps que lui : on ne la voit plus ni se lever ni se coucher. Cette disparition complète ne dure qu’une quinzaine de jours ; ce qui nous ramène au 1er mai. Alors les Pléiades, ayant de nouveau dépassé le soleil, recommencent à se lever un peu avant lui et, par suite, à être visibles le matin à l’aube, pendant quelques instants. Nous voici revenus à notre point de départ.

 

Pendant la deuxième période, — de novembre à mai, — on a pu voir toutes les nuits, à des heures différentes, le coucher des Pléiades et jamais le lever. C’est pour cette raison que la deuxième période prend le nom de coucher des Pléiades. Celte appellation, comme la précédente, peut viser, suivant le cas, soit le jour initial, soit la durée entière de la période.

 

Vous remarquerez que la situation au 1er août est analogue à celle du 15 janvier. Rien de particulier ne marque le lever de la constellation : on la voit monter dans le ciel et disparaître dans la lumière du jour, au point le plus haut de sa course. Le 15 janvier, c’est le contraire qui arrive : on n’a pas vu la constellation se lever, mais, dès la tombée de la nuit, on l’aperçoit subitement à ce même point culminant. Le texte latin pourrait donc, à la rigueur, s’appliquer indifféremment à l’une ou à l’autre de ces positions. La deuxième, — celle du 15 janvier, — parait toutefois de nature à provoquer une impression plus vive, car, à ce moment, tout le monde cherche les Pléiades qu’on ne voit pas encore, tandis que dans l’autre cas, — celui du 1er août, — on les a déjà reconnues depuis leur lever. D’ailleurs, entre ces deux dates, qui pourraient seules donner lieu à quelque ambiguïté, les renseignements climatériques permettront sans doute aux historiens d’opter sans hésitation, puisque la première tombe en plein été et la deuxième au cœur de l’hiver.

 

http://books.google.fr/books?id=MKwaAAAAYAAJ&pg=RA1-PA33&lpg=RA1-PA33&dq=Date+de+lever+et+coucher+des+pl%C3%A9%C3%AFades&source=bl&ots=NSpq9g-i1n&sig=LZDUddr9bUN76ut_dxTOr4sz7rY&hl=fr&ei=qcjgSaOFGuSZjAeGn7jUDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=5#PRA1-PA36,M1

 

Histoire de l’astronomie moderne par M Delambre, 1821

Extrait du calendrier grec de Sosigène :

Levers, couchers des constellations : tradition gr

 

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http://racines.traditions.free.fr/astroria/index.htm

Image du Zodiaque "égyptien"

 

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Ière Domus : le signe Anubis nous montre le dieu à tête de chien39 (l’embaumeur qui permet la re-naissance) portant enseigne40 et tenant enchaîné le "bélier de mer" Capricornus, mi-chèvre/ mi-dauphin (cf. art. Narval*)…

 

IIème Domus : Le signe Canopus est Artémis/ Diane d'Éphèse, déesse nourricière Abondance* ou Aquarius pour les Romains et Sucellus/ le Verse-eau de nos Gaulois…

 

IIIème Domus : Le signe des Poissons représente ici une “Seraine” (cf. notre art. Sirènes*) et c'est la Grande Grenouille Higit, la servante de Khoumoun “Destin”*, façonnant le Ier homme sur son tour de potier et tenant dans son autre main le Gamma ou “équerre bâtisseuse” des quatre coins de l'Univers (cf. art. Svastika* sacré)…

 

IVe Domus : Amun/ Amon enfant (Horus la nouvelle fécondité) porte la traditionnelle coiffe à corne de Bélier, les baguettes et le tambour (cf. Schembartlauf). Il s'incarnera dans le vieux roi pour féconder la reine et deviendra alors Ammon-Ré.

 

Vème Domus : le Taureau Blanc41 Apis indique le mois de la sortie des troupeaux, après la mise bas, avec les grandes fêtes et la procession du "bœuf gras" (cela existe toujours dans quelques unes de nos propres campagnes). C'est ce même taureau blanc qui était sacrifié sur l'Irminsul* des Atlantes boréens et, plus tardivement et fort fidèlement, dans le culte de Mithra…

 

VIème Domus : on y voit les Gémeaux Hercule et Apollon, ou les Alçvins Castor et Pollux, avec leur demi coquille d'Œufs Cosmique sur la tête ou les Elmer nordiques…

 

 

VIIème Domus : Hermenubis ou Kronos la corneille, trône sur son "haut siège" (cf. Hlidskjalf/ observatoire) ; il possède deux attributs : l'écrevisse du Nord et le 69 traditionnel du crabe cancer…

 

VIIIème Domus : Le Lion Momphta indique le mois des grandes chaleurs pendant lequel il vaut mieux vivre enfermé (c'est toujours ce que nous faisons dans le midi) : c’est le mois où le roi des animaux règne sur la nature. Les deux signes sont intéressants, l'un a la forme du Z éclair/ foudre (cf. art. Symboles*) pour Zeus*, et l'autre est un bonnet à queue z ou “coiffe placentaire” (cf. aussi Cécrops, le fondateur de Cécropia, l’archaïque Athènes avant que l’Assina des Doriens ne le détrône)…

 

IXe Domus : Isis la Vierge (Osiris étant mort déchiqueté, cela se comprend) tient deux plumes de grue/ ibis dans les mains. Le signe M nous rappelle qu'elle est Maat42 ou Maît la justicière* ou “déesse de l’équilibre” (M prétendu être ultérieurement celui de Marie), mais c’est surtout le signe “deux montagnes”, celui des visée solsticiales ! Le second attribut pourrait être les trois épis de la Déesse de la juste répartition (cf. art. Justice* et culte de Dé-Méter), mais c’est aussi la forme des peupliers pleureurs (trembles) des Hespérides…

 

Xe Domus : Omphta, ou Libra en latin, qui porte la Balance de la Justice en main droite et aussi, outre la traditionnelle coiffe appelée Mortier en forme de nid de grue (kalatha), une mesure graduée, l'aune43 sacrée*, la symbolique "juste mesure".

 

XIe Domus : Typhon tient le rôle du scorpion "tueur" pour les latins et, ce qui est très révélateur de sa nature séismique, il tient les foudres volcaniques en main et sa double queue montre son côté chthonien et aquatique de destructeur par tremblement de terre et par raz de marée tel un Dragon* (cf. art. Déluges*). Sur son épaule figure un objet mal identifié, en forme de massue herculéenne (c’est donc un Titan, un Daimon)…

 

XIIème Domus : Nephte. Dans la mythologie égyptienne, Nephtys et Isis (9) conduisent les déesses qui président à la naissance de l'Enfant-Roi, le Mose Ammon-Ré. Tout autour, les esprits des 4 vents, Septentrion, Orient, Midi et Occident leur présentent l'Ankh, symbole de la vie44 renaissante. Ce Sagittaire/ Orion est évidemment le Phœbus-enfant ou “Dieu-Fils” qui va apparaître (isser) pour l’épiphania Nouvelle Clarté qu’annonce le solstice d’hiver : Neu Helle.

 

         Donc, comme nous pouvons le voir, ce que les Grecs appelèrent – tardivement – Zodiakos ce qui signifie littéralement “Roue de la Vie” puisque, contrairement aux apparences il ne comporte pas la racine zoo, mais zodion-zodiou qui signifie “figure, personnages de la roue de l’écliptique”, ne comportait en fait que deux animaux, le Taureau45 (figurant d’ailleurs le roi Alcinoos gréco-nordique dont il est question dans notre article romancé Ulysse* et Nausicaa) fougueux, débordant d’énergie et de vie printanière, ce fécondateur qui est le Dieu-Fils récurrent dans sa force d’adolescent – discipliné – figurant le Nouveau Soleil qui combat encore l'hiver et ses Noirauds pour installer : il ne sera autre que le Prince de Mai de nos Fêtes* populaires, souvent représenté en son règne estival par le Roi Lion des récoltes, repu et jouissant de sa victoire en son domaine pacifié.

 

          Remarquons bien que ces deux signes/ animaux sont symétriques par rapport au solstice d'été, comme l'indique le même menhir/ gnomon/ obélisque, ou le même pic sur l'horizon qu’on voit d'un Ballon ou Németon. Ils sont ici séparés par deux signes hautement solaires : le premier, celui des Gémeaux, Hercule et Apollo, indique les "travaux" agricoles de plein soleil et le second celui d'Hermenubis pendant « les jours torrides et desséchés où le Soleil vagabonde dans le Cancer » (A. Audin), indique un mois dangereux pour la nature et pour les voyageurs qui doivent rester enfermés à l'ombre46, tout comme l’Écrevisse qui est son nom nordique, elle qui “marche à l’envers et à l’ombre comme le soleil en sa pèriode de décroîssance”.

 

Nos “actuels” noms des signes du zodiaque leur furent donné par Ptolémée au deuxième siècle de notre Ère, dans un cadre politiquement égyptien mais qui était culturellement celui d’un Hellénisme finissant. Ces “lieux du ciel” ne seront donc plus nommés à partir de la vieille science des Druides ou des Ases du Septentrion, avec des noms celtiques ou germaniques parents mais, selon le « fatras culturel qui traînait au Moyen Orient » (Euphronis Delphiné) .

39 Chien : symbole de connaissance chez les Égyptiens (on pensera aux (Hommes à Tête de Chien) !

 

40 Enseigne : parenté avec l’enseigne hittite en fer forgé portant 13 Ì entrelacées (Hag-all, cf. Runes*). C'est aussi le "fanal de guerre" (Labaron) ou "feu maîtrisé" (la tradition antique était de porter le “feu* sacré*” dans tout les déplacements et ce depuis l’action du mythique Prométhée/ Pramantha. On pensera ici à La Guerre du Feu de Rosny Ainé et au film …

 

41 Taureau : « Du fait de la précession des équinoxe (cf. Astro III, Astronomie*), au Néolithique et à l’Âge du Bronze le soleil se trouvait dans la constellation zodiacale du taureau lors de l’équinoxe de printemps ». Flammarion.

 

42 Maat : veut dire « ce qui est droit, vrai, réel, la loi tant physique que morale, la vérité*, la réalité. » Sir Wallis Budge (in revue Solaria n°9 : c/o J.C. Mathelin, 7 rue Christian Dewet, 72012 Paris.).

 

43 L’Aune sacrée est égale à deux coudées sacrées.

 

44 Ankh : dieu vivant, ânkh. Stylisation de l'Homme, et sigle bien proche de la Rune* de Vie. L’ankh était nommé “nœud* d’Isis” et pourrait aussi paraître une Rune* Odal à trois racines…

Màj 3 juil. 05 : « À l'origine un symbole femelle dérivé des images néolithiques antiques de déesse, l'Ankh a été également considéré comme miroir de main de la déesse égyptienne Hathor et miroir de Vénus. Comme symbole combinant le langage figuré vulvique et phallique, l'Ankh est devenu notoire en Egypte comme signe d'union sexuelle et d'immortalité, accordé par le sang divin de la déesse. L'Ankh est un symbole du cadeau de la vie éternelle. » auteur X, reçu par @ sans référence.

 

45 Le Taureau : par l'effet de l'attribution symétrique des astres, vu plus haut dans la citation d'Amable Audin (les Fêtes Solaires, PUF), le Taureau est un des domaines de Vénus.

 

46 Cancer vient du grec carcinos “écrevisse” (!) et a donné notre mot "incarcérer", emprisonner, enfermer, en un mot : “mettre à l’ombre” !Notes vertes

 

Rque perso : labarum de Constantin (grille), grill ou grille de …Vénus, Anubis…

40 Enseigne : parenté avec l’enseigne hittite en fer forgé portant 13 Ì entrelacées (Hag-all, cf. Runes*). C'est aussi le "fanal de guerre" (Labaron) ou "feu maîtrisé" (la tradition antique était de porter le “feu* sacré*” dans tout les déplacements et ce depuis l’action du mythique Prométhée/ Pramantha.

 

Lever des Pléïades Mi-mai, id Hyades; coucher mi-décembre  http://cura.free.fr/quinq/04bezza.html

 

11 novembre (15 Athyr) : début de l'hiver pour les Égyptiens et pour Hipparque (l'étoile brillante des Hyades se couche le matin).

Malgré un léger décalage - 11 novembre (longitude du Soleil 18° Scorpion) et 10 mai (longitude du Soleil 19° Taureau) d'un côté, 13 novembre (longitude du Soleil 20° Scorpion) et 12 mai (longitude du Soleil 21° Taureau) de l'autre - ces dates partagent l'année en deux parties sensiblement égales et s'accordent bien au lever et au coucher matinaux des Pléiades.

Pour noter la position d'étoiles ou d'astérismes difficilement visibles, comme les Chevreaux ou le Dauphin, qui étaient jadis observés par les Anciens, il recommande de se référer aux étoiles brillantes qui se trouvent dans leur voisinage : al-dabarân (fulgens Hyadum) pour les Pléiades, a Aurigae pour les Chevreaux, al-nasr al-tâ 'ir, (splendida Aquilae) pour le Dauphin.[41]  De ce qui précède, on peut conclure que les Phases de Ptolémée est un texte technique dont le caractère est tout autant astronomique qu'astrologique.

entre la fin du Vé siècle et le début du IVè siècle B.C., à la création d'un calendrier "technique", qui devra servir de base à la prédiction météorologique comme au diagnostic et au traitement des maladies.[44]  Ce calendrier est clairement énoncé par Théophraste, qui dénomme le lever et le coucher matinaux des Pléiades dicotomiai, bipartitions de l'année :

 

     "La première chose qu'il faut poser est que les périodes (wrai) doivent être divisées par deux : sur la base de cette division il faut considérer non seulement l'année, mais aussi le mois et le jour. A leur lever et à leur coucher les Pléiades partagent l'année en deux, et de leur coucher à leur lever il y a réellement une moitié d'année. Le même partage concerne les équinoxes et les solstices. Il en découle que, quelle que soit la situation atmosphérique enregistrée au moment où les Pléiades se couchent, elle demeurera le plus souvent jusqu'aux solstices et, si elle change, elle changera après les solstices ; mais si elle ne change pas, elle se maintient jusqu'aux équinoxes ; des équinoxes, ensuite, jusqu'au lever des Pléiades, et de là jusqu'au solstice d'été ; et par la suite jusqu'à l'équinoxe et de là jusqu'au coucher des Pléiades

 

emploi d'un double référentiel : d'un côté l'observation d'un cycle stellaire relevant du calendrier naturel archaïque, de l'autre la prise en compte des équinoxes et des solstices, expression du développement mathématique de l'astronomie, qui ne repose désormais plus sur la seule observation. La coexistence de ces différents repères est typique dans la littérature des parapegmatas à partir du Vé siècle B.C. Elle est aussi attestée dans le Corpus hippocratique, lequel présente une division de l'année en huit parties, où l'ancien calendrier, qui repose sur les apparitions de quelques étoiles remarquables (Pléiades, Sirius, Arcturus), garde son caractère propre. Quelques écrits hippocratiques, en particulier le De victu (III, 68) [46] , offrent la succession temporelle de ces repères [47]  :

repère                                                   saison                  date                        durée

coucher matinal des Pléiades              début de l'hiver             11-XI             41 jours

solstice d'hiver             deuxième partie de l'hiver             22-XII             65 jours

lever vespéral d'Arcturus             troisième partie de l'hiver             25-II             24 jours

équinoxe de printemps             début du printemps             21-III             50 jours

lever matinal des Pléiades             début de l'été             10-V             46 jours

solstice d'été             deuxième partie de l'été             21-VI             22 jours

lever matinal de Sirius             troisième partie de l'été             17-VII             66 jours

équinoxe d'automne             début de l'automne             21-IX             51 jours

 

Constellations des anciens Leuques (Lorraine)

http://zodiaque-nancy.blogspot.com/search/label/Constellations

 

Lune et triangle de parcours

http://zodiaque-nancy.blogspot.com/search/label/Fibule%20de%20Baslieux

Triangle de la lune et du soleil = hexagone

le parcours de la lune sur un territoire tout au long d'une année, forme un triangle.

Forme de la Loriquette, gâteau lorrain traditionnel

 

http://zodiaque-nancy.blogspot.com/2007/04/anubis-le-chien-de-culann.html

Articles Anubis/St Christophe, Isis, Nephtys ++

Isis et Nephtys et astronomie

Quand Osiris est le Soleil, Isis et Nephthys représentent, selon Le Page Renouf, le point du jour ou l’aurore, et le crépuscule.

 

Lune et Saturne

Début du temps pour les druides : le 6° jour, (mois, année) comme hindous

Un siècle = 30 ans,  401 mois lunaires (400 chev du graal + le Roi)

Lune et Saturne : en un an, S parcourt la même écliptique que la lune en Un jour. Un jour lunaire est un an de S. Grâce à Plutarque, Le siècle des druides commence quand S (Nyctouros) entre ds le Taureau, = qd ts les 30 ans S et la Lune entrent en conjonction avec les Pléïades ds la constell du Taureau le 6° j du cycle lunaire, nuit de Samain.

Cf doc druidisme 5 ou http://membres.lycos.fr/ayla01/druidisme5.html

 

Pleïades, Hyades 

Lever des Pléädes Mi-mai, id Hyades; coucher mi-décembre  http://cura.free.fr/quinq/04bezza.html

11 novembre (15 Athyr) : début de l'hiver pour les Égyptiens et pour Hipparque (l'étoile brillante des Hyades se couche le matin).

Malgré un léger décalage - 11 novembre (longitude du Soleil 18° Scorpion) et 10 mai (longitude du Soleil 19° Taureau) d'un côté, 13 novembre (longitude du Soleil 20° Scorpion) et 12 mai (longitude du Soleil 21° Taureau) de l'autre - ces dates partagent l'année en deux parties sensiblement égales et s'accordent bien au lever et au coucher matinaux des Pléiades.

Pour noter la position d'étoiles ou d'astérismes difficilement visibles, comme les Chevreaux ou le Dauphin, qui étaient jadis observés par les Anciens, il recommande de se référer aux étoiles brillantes qui se trouvent dans leur voisinage : al-dabarân (fulgens Hyadum) pour les Pléiades, a Aurigae pour les Chevreaux, al-nasr al-tâ 'ir, (splendida Aquilae) pour le Dauphin.[41]  De ce qui précède, on peut conclure que les Phases de Ptolémée est un texte technique dont le caractère est tout autant astronomique qu'astrologique.

entre la fin du Vé siècle et le début du IVè siècle B.C., à la création d'un calendrier "technique", qui devra servir de base à la prédiction météorologique comme au diagnostic et au traitement des maladies.[44]  Ce calendrier est clairement énoncé par Théophraste, qui dénomme le lever et le coucher matinaux des Pléiades dicotomiai, bipartitions de l'année :

 

     "La première chose qu'il faut poser est que les périodes (wrai) doivent être divisées par deux : sur la base de cette division il faut considérer non seulement l'année, mais aussi le mois et le jour. A leur lever et à leur coucher les Pléiades partagent l'année en deux, et de leur coucher à leur lever il y a réellement une moitié d'année. Le même partage concerne les équinoxes et les solstices. Il en découle que, quelle que soit la situation atmosphérique enregistrée au moment où les Pléiades se couchent, elle demeurera le plus souvent jusqu'aux solstices et, si elle change, elle changera après les solstices ; mais si elle ne change pas, elle se maintient jusqu'aux équinoxes ; des équinoxes, ensuite, jusqu'au lever des Pléiades, et de là jusqu'au solstice d'été ; et par la suite jusqu'à l'équinoxe et de là jusqu'au coucher des Pléiades

 

emploi d'un double référentiel : d'un côté l'observation d'un cycle stellaire relevant du calendrier naturel archaïque, de l'autre la prise en compte des équinoxes et des solstices, expression du développement mathématique de l'astronomie, qui ne repose désormais plus sur la seule observation. La coexistence de ces différents repères est typique dans la littérature des parapegmatas à partir du Vé siècle B.C. Elle est aussi attestée dans le Corpus hippocratique, lequel présente une division de l'année en huit parties, où l'ancien calendrier, qui repose sur les apparitions de quelques étoiles remarquables (Pléiades, Sirius, Arcturus), garde son caractère propre. Quelques écrits hippocratiques, en particulier le De victu (III, 68) [46] , offrent la succession temporelle de ces repères [47]  :

repère                                                   saison                  date                        durée

coucher matinal des Pléiades              début de l'hiver             11-XI             41 jours

solstice d'hiver             deuxième partie de l'hiver             22-XII             65 jours

lever vespéral d'Arcturus             troisième partie de l'hiver             25-II             24 jours

équinoxe de printemps             début du printemps             21-III             50 jours

lever matinal des Pléiades             début de l'été             10-V             46 jours

solstice d'été             deuxième partie de l'été             21-VI             22 jours

lever matinal de Sirius             troisième partie de l'été             17-VII             66 jours

équinoxe d'automne             début de l'automne             21-IX             51 jours

 

Sirius

http://www.egypteeternelle.net/papyrus/v01n02/article2.htm

Calendrier égyptien basé sur Sirius,

Hathor, château d’Horus ; dans calendrier copte

Hathor, la déesse, littéralement château d'Horus

Sirius était connue depuis la période prédynastique comme l'Etoile du Chien, ou l'Aboyeur parce qu'elle semblait avertir les laboureurs de l'imminence de l'inondation. Elle était alors représentée sous la forme d'une petite chienne, Canicula en latin. Sa réapparition coïncidant avec la période la plus chaude de l'année, nous comprenons aisément pourquoi les grandes chaleurs sont encore désignées de nos jours sous le nom de canicule. Actuellement Sirius ne joue plus son rôle de chien de garde, car, en raison de la précession des équinoxes, son lever héliaque a lieu un peu plus tard dans l'année.

 

26 septembre 2014

Nombres d'Isis, 8, 5...

LUNE + SOLEIL : les lunistices et les solstices inscrits dans un plan forment un OCTOGONE (8)

Rapport entre l’octogone et l’étoile pentagonale : 8/5 = 1,6

Un.six… I six. ISIS dont le rôle est d’être MEDIATEUR entre Terre et Ciel.

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