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22 octobre 2013

Mémoire sur les basaltes de la Saxe Par Jean-François d' Aubuisson De Voisins

http://books.google.fr/books?id=NU0UAAAAQAAJ&pg=PA84&lpg=PA84&dq=basalte+ou+roche+de+fer&source=bl&ots=PDl7iLXhQ2&sig=sScR4WRbNQcQztTGhFLh38sQgX4&hl=fr&sa=X&ei=dihmUvK7BuXL0AXQhIDYBA&ved=0CFEQ6AEwBTgU#v=onepage&q=basalte%20ou%20roche%20de%20fer&f=false

Basaltes-Saxe1

Basalte et fer 

Basaltes-Saxe2

Basaltes-Saxe3

Basalte transformé par les feux souterrains en verre, fer...

Basaltes-Saxe4

Chaînes de monts basaltiques en Allemagne

P40-Mont-Heulenberg-près-Bavière-Basaltes-Saxe5

Aspect du basalte

P43-Mont-Stolpen-Basaltes-Saxe6

Château de Stolpen

Basaltes-Saxe7

Basaltes-Saxe8

Près-Annaberg-Basaltes-Saxe9

Wacke

Basaltes-Saxe10

Glatz et vitrification

Grünstein-pierre-verte-Basaltes-Saxe11

Basaltes-Saxe12

Basaltes-Saxe13

Basaltes-Saxe14

Répartition des basaltes

Basaltes-Saxe15

Feux de houille et baslate

Basaltes-Saxe16

Basalte et terre verte

Basaltes-Saxe17

Basaltes-Saxe18

Basaltes-Saxe19

Wacke et grunstein (pierre verte)

Basaltes-Saxe20

Formes géométriques du basalte

Basaltes-Saxe21

Cas de combustion de basalte

Mont-Meisner-près Cassel-Hesse-Basaltes-Saxe22

Bitume et basalte

Meisner-pot-au-lait-Basaltes-Saxe23

Pot au lait et basalte

 

 

 

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20 septembre 2013

Cintimani, joyau-qui-exauce-les-souhaits

Bannière du Cintimani

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/befeo_0336-1519_1920_num_20_1_5559

p33 34

Cintimani1

Cintimani2

Cintimani3

31 mars 2013

Padma, légende avec cintimani en étendard, bouddhisme

befeo_0336-1519_1920_num_20_1_T4_0028_0000

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5befeo_0336-1519_1920_num_20_1_T4_0047_0000

6befeo_0336-1519_1920_num_20_1_T4_0050_0000

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20 mars 2013

Code atbash, Baphomet

Code atbash

http://fr.wikipedia.org/wiki/Atbash

Baphomet

http://www.lezardes-et-murmures.com/article-29803892.html

Le frère occitan Gaucerand de Montpezat du Quercy, ancêtre de l'actuel prince consort du Danemark, fut le seul au cours de son procès à avouer avoir adoré  une "image bafométique". En langue d'Oc Bafomet est une déformation de Mahomet tel qu'il apparait dans un poème de 1265 : Ira et Dolor, E Bafomet obra de son goder"Et Mahomet fait briller sa puissance".
    Le témoignage du frère Gaucerand  fut ainsi à l'origine d'un malentendu qui permit à ses accusateurs d'y voir une "preuve", de l'adoption par le Temple de rites musulmans. Hugh Schonfield quant à lui pensait que Baphomet était un mot codé qui une fois décrypté à l'aide du code Atbash (système de cryptage très ancien) se lisait «sophia», qui signifie sagesse en grec. Selon M. Schonfield, en vénérant Baphomet, les Templiers auraient voué en vérité un culte au principe de sagesse voire à la gnose.

Baphomet et code atbash

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.templarhistory.com/atbash.html&ei=1pCSS8rRNMfKjAexw8iBCw&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=1&ved=0CAgQ7gEwAA&prev=/search%3Fq%3Dbaphomet%2Bet%2Bcode%2Batbash%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26hs%3DLNy%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official

  Si l'on écrit le Baphomet mot en hébreu et souvenez-vous des lettres hébraïques se lisent de droite à gauche, le résultat est comme indiqué ci-dessous:

Appliquant le chiffre Atbash, Schonfield révélé ce qui suit:

Bien que rédigé en hébreu se lit comme le mot grec Sophia qui se traduit par «sagesse» en anglais. Cependant, il ya une autre connotation du terme, pour Sophia était la déesse et est considéré comme l'épouse de Dieu.

Il a été jugé par beaucoup que les Templiers étaient des disciples de la déesse ou à tout le moins dans le rétablissement de l'aspect féminin de la divinité qui avait été excisé par l'église. Il ne faut pas oublier que leur patron, saint Bernard de Clairvaux avait une obsession absolue avec Marie et était responsable de son être nommé à la reine du ciel et de la Mère de Dieu.

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.templarhistory.com/atbash.html&ei=1pCSS8rRNMfKjAexw8iBCw&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=1&ved=0CAgQ7gEwAA&prev=/search%3Fq%3Dbaphomet%2Bet%2Bcode%2Batbash%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26hs%3DLNy%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official

«Baphomet» est dérivé d'un mot arabe _abufihamet_, qui signifie «Père de la compréhension», plutôt que d'un vieux nom français pour le fondateur de l'islam. Since that book, although a "good read", is not one scholars take seriously due to its highly speculative theses, I decided to check their source for this, Idries Shah's _The Sufis_, which contains additional relevant information discussed below. Depuis ce livre, même si une lecture «bonne», n'est pas l'un des chercheurs prennent au sérieux en raison de ses thèses hautement spéculative, j'ai décidé de vérifier leur source pour cela, Idries Shah _Le Sufis_, qui contient des informations pertinentes supplémentaires examinées ci-dessous.

20 mars 2013

Baphomet et connaissance, Ouroboros, serpent de connaissance.

http://www.blogg.org/blog-33461-billet-origine_des_symboles_religieux-463250.html

Lien non fonctionnel à ce jour

Sigil De Baphomet

Les cinq symboles (un à chaque pointe du Baphomet) sont cinq lettres HÈbraÏques : Lamed (L), Vau (V), YOD (Y), Tau (Th) et Nun (N). Ces lettres Èpelle le mot HÈbreu LÈviathan (LVYThN).

   1. Le LÈviathan est associÈ avec le Ouroboros, ou Serpent mangeant sa propre queue. Cet ÈlÈment du Baphomet est dÈrivÈ des Ophites qui utilisaient le Serpent comme un symbole de Sagesse. Le Serpent reprÈsente le big-bang du Cosmos (la crÈation/destruction simultanÈes). Il dÈvore sa queue en mÍme temps que son corps prend de l'expansion. 

   2. L'Etoile en elle-mÍme vient de l'Ècole de MathÈmatique PythagorÈenne. Plusieurs on manquÈ l'association du nom Pythagoras avec Python (une autre forme de Serpent LÈviathan). En effet, l'un des dÈrivÈ les plus …sotÈrique du Baphomet est "Baphe-Metis", c'est-‡-dire, Initiation dans la Sagesse-MesurÈment.

   3. La ChËvre c'est Pan, le symbol de la nature elle-mÍme. 

Ces trois ÈlÈments reprÈsentent la TrinitÈ, les trois clans ou Ècoles de pensÈe unies sous un mÍme symbole. Les trois clans sont :

   1. Pan/Arcadia ñ la chËvre.

   2. Ophite Jews ñ les lettre HÈbraÔques pour LVYthN.

   3. Pythagorean ñ le pentacle, ou pent-alpha, plus communÈment nommÈ le pentagramme.

Le Baphomet est aussi un symbole de la Voie Gauche ou des instincts charnels, mais cela ne le dÈcrit pas entiËrement. Le mot qui est parfaitement convenable est " Ítre" ! Ensemble avec un symbole de l'esprit, la force du changement ou la Voie Droite (le mot ici qui est parfaitement convenable est "devenir") nous avons " Ítre" et "devenir", qui sont les deux essentiels ‡ la vie car l'un ne peut exister sans l'autre. 

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20 mars 2013

Mundus, rites de fondations, grille et feux de Beltaine, grille-graal, filet du ciel

Cairn.info - Le mundus et le Comitium : représentations ...

de M Humm - Autres articles

Par ailleurs, le mundus, reproduction miniature du Cosmos, pouvait servir de modèle à l'organisation de la Cité, qui devait elle aussi se trouver conforme à ...

www.cairn.info › Discipline › Revue › Sommaire

http://revues.mshparisnord.org/appareil/index.php?id=704

La ville qui vient (L'Herne) de Marcel Hénaff

Ed. L’Herne, Coll. Carnets, mars 2008,

la ville-monument ? Comme miroir du ciel :

    « l'archéologie révèle cette constante : que non seulement la ville appartient au symbolisme religieux, mais que ce symbolisme est spécifiquement lié aux divinités célestes et ceci en opposition à un monde d'en bas qui est présenté comme vaincu. » (M.H. La ville qui vient, p.33)

10Dans cette perspective la ville peut être interprétée comme « l'expression des forces qui refont le monde » au sein du monde. Afin de prendre la mesure de cette caractéristique céleste du rite d'institution de la ville romaine : depuis un trou creusé le mundus [« ici émerge le monde d'en bas où sont refoulées les forces mauvaises (littéralement im-mondes, jetées dans le mundus) »] servant de foyer pour l'identification d'« une ligne idéale autour de laquelle pivote la voûte céleste » s'organise la ville.

    « A partir de ce découpage seront inscrites géométriquement sur le sol les limites des différentes parties de la ville : l'enceinte, les rues, les places. » (M.H. ibid, p.37) « La conquête romaine fut de répéter en chaque province nouvelle, en chaque pays soumis à sa puissance et à son autorité, le modèle d'une inscription de la cité de Rome sur le sol du nouveau site : son espace sacré, ses dieux, ses monuments, sa division selon les axes, sa grille de rues et places. » (M.H. Ibid, p.40)

 http://www.arkho.com/grac1f.htm

Fondation d’une ville, templum, dessin-diagramme, Mundus…

toute fondation est avant tout une fécondation de la terre vierge par l'esprit divin, et toute fécondation est une union de contraires dans l'unité. Fonder une ville signifie recréer le Cosmos, répéter la cosmogonie, et cette recréation revêt un caractère hiérogamique : un couple sacré entre la terre à occuper et la Terre prototype, céleste et idéale ; celle d'en bas est structurée à l'image et en ressemblance de celle d'en haut, et ce morceau de terre sacralisée finit par devenir le Centre du Monde, temple à ciel ouvert, habitacle de la Shekhinah, la " présence réelle de la Divinité "

7. Dans le cas de Rome, le nom secret était Amour, le nom sacerdotal Fleur et le nom public Rome.

 

Grille du Mundus

Réticule de l’omphalos

http://racines.traditions.free.fr/lienoeud/index.htm

Thrumgjöll est le nom de la grille du Hel 20 qui ferme la fosse rituelle ou Mundus. Elle a été considérée au Moyen Âge superstitieux comme un “nœud magique”

Gjöll : rivière c le Styx du royaume de Hel, elle encercle le Hel (monde « inférieur » des morts assimilé aux enfers) http://fr.wikipedia.org/wiki/Helheim

http://racines.traditions.free.fr/lienoeud/index.htm

24 Grille de Beltaine : un carré de trois fois trois

Voir aussi :

http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:Udl0BEn3sTEJ:racines.traditions.free.fr/fet2prin/fet2prin.pdf+grille+Hag-hall+et+le+Hel+dans+la+mythologie&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESj9lnVdEokDetEEfAIX1GcuDEe58rDsZDV0jBBAS9WXTlsOsbHi8EwcJiW2jXalbXgR-SoJiNcpZVIngRTqu7XCS2oSHGP_KIiZnKKNwod0Cs_914dXx6z2Or0yr2v0VNUhTbHi&sig=AHIEtbS0g19D2DGdTJyK3tTKX9bwE-xXrQ

La veille de Mai, on observe encore une tradition qui consiste à manger un gâteau d’avoine, le gâteau de Mai, portant neuf nœuds sur le modèle de la grille de Beltaine Nigel Pennick

La seconde Grille de Beltaine, sacrée* par son chiffre “neuf”, celui d’une naissance venue “à terme”, sous-tend de plus le “Symbole Cosmique” ou du “Centre Polaire” habituellement nommé Svastika*… sacré* ! (Sur la grille, accentuation de traits selon la forme du svastika)

 

Grille du feu de Beltaine

http://lataverned-eburos.over-blog.com/categorie-10197598.html

Le feu de beltaine est généralement composé de neufs bois sacrés (bouleau, if, sorbier, noisetier, pin, frêne,aubépine, surreau, chène) allumé sur une grille de neuf cases préalablement tracé au sol. L'ancienne manière de faire du feu était de tourner un fuseau de chène dans une buche de chène. on y mangais aussi un gateau d'avoine avec neuf noeud symbolisant les neuf grilles du feu.

Cf http://lechaudron9.ifrance.com/beltane.htm (cérémonie du feu, lever des 3 soleils)

 

http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:mAq3SlGPBjwJ:racines.traditions.free.fr/feuvesta/feuvesta.pdf+Grille+du+feu+de+walpurgis+ou+Beltaine&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESivIUSM-WD11qrI4nCd8f73ovGNYvE1hJM8aA_jFzKSdP4ptCksZXP6e33og32D7sPNcRoh3Uez38JuohOhgs56vv7bSvfSbnZzDart5v0WJW2IN_PDmV32WZXjEo8i8uncYFGg&sig=AHIEtbTTJn3mSrBxSeRW3QeWT6RuLYPkNw

En Grande Bretagne : « Le “feu de nécessité” est allumé au dessus du carré central

(d’un tertre carré de 9 carreaux)n en tournant un fuseau de chêne dans le trou d’une

bûche en chêne : c’était l’ancienne manière de faire du feu. Jadis, tous les feux d’une

localité étaient éteints la veille de Mai puis rallumés à partir du Feu de Beltaine du vil-

lage qui, brûlant au centre de la grille des neuf carrés, formait le foyer de la commu-

nauté*. » Nigel Pennick, Magie du Nord, Pardès 1996.

 

Nuit de Walpurgis précède la fête solaire de Beltaine

nous reparlons de cet “ilho” de bronze dans notre article Rite* où figure un bouton

d’appel “piacenza.pdf” pour consulter un supplément qui conforte définitivement notre intuition !!! :

http://racines.traditions.free.fr/riteromu/index.htm

doc pdf : le foie de Plaisance

La cosmologie Étrusque a suivi l'Egyptian Pharaonic Hermetica, selon laquelle les maisons célestes ont été "reconstruites" sur la terre (cf. Mauro Cristofani et Mario Carrieri, Etruschi - Cultura e Societa). 

Les Étrusques ont fondé Rome. Selon Hérodote, ils étaient des Lydiens qui aurait pu apporter la connaissance des Pharaons au Continent européen, y compris l'écriture*, comme estimé dans la légende de Cadmus. Le Foie Étrusque de Bronze de Piacenza est un antique "haruspex Romain" reconnu pour se rapporter à l'astronomie et la prédiction mais il est resté non déchiffré jusqu'ici. 

          Comme nous venons de la dire, le Foie Étrusque de Bronze de Plaisance était un planisphère du ciel, antique “starfinder” et calendrier, employant pratiquement le même système d'orientation aux étoiles et des constellations trouvé aussi dans le Dôme de Ciel Gilbertese en Micronésie, et employé par les insulaires pour la navigation océanique 

 

http://mythologica.fr/nordique/objets.htm

HELGRIND Une des grilles du domaine de Hel.

 

http://lunamoon.forumactif.com/mythologies-et-legendes-f1/quel-est-votre-personnage-mythologique-prefere-t37-30.htm

Issue de la mythologie scandinave, il s'agit de Hel, celle qui règne sur le Enfers ...

Hel (celle qui est cachée) est la fille de Loki et de la géante Angerboda et la soeur de Fenrir et de Jormungand (le serpent du Midgard).

Quand les dieux apprirent la terrible prophétie qui touchait les enfants de Loki, ils envoyèrent Hel le plus loin possible des territoires divins et c'est pour cela qu'elle devint la déesse du monde inférieur et du royaume des morts. Elle règne sur les neuf mondes, d'où arrivent tous ceux qui ne sont pas morts au combat. Hel est moitié bleue (ou noirâtre selon les traductions) et moitié couleur chair ce qui lui donne une apparence des plus sinistres.

 

Elle vit dans son manoir qui s’appelle Eliudnir et qui est situé dans son royaume qui se nomme Niflheim, (le monde du brouillard). L'accès au palais est protégé par un seuil magique Fallanda foradb (pierre d'épreuves et de danger)

Il se trouve au nord du monde souterrain,où règnent l’obscurité et un terrible froid. Modgud est la jeune fille qui surveille le pont Gjallarbruen qui traverse la rivière Gjoll.

C’est la rivière à moitié souterraine qui sépare le monde des vivants de celui des morts.

Pour arriver dans le monde de Hel, il faut traverser la caverne dont l’entrée est surveillée par le terrible loup Garm à la gueule ensanglantée.

Il n'est pas possible de sortir de Niflheim entouré de hautes clôtures munies de grilles (Helgrind, Nagrind, Valgrind) qui ne peuvent pas s’ouvrir de l’intérieur.

Hel est secondé dans sa tâche par deux serviteurs Ganglati et Ganglot (traînard et traînarde) et possède toute une collection d'objets au nom sinistre et inquiétant comme l'assiette Hung (la faim), le couteau slut (famine) le lit Kor (grabat) entouré de tentures Blikianda bol (malheur éclatant)

Pourtant elle sait faire preuve de compassion puisqu'elle accède à la demande d'Hermod venu chercher Balder qui est d'ailleurs installé sur le siège d'honneur.

Hermod chevaucha Sleipnir neuf nuits durant à travers des vallées profondes et ténébreuses avant d'arriver à Giallarbru, le pont étincelant d'or, qui enjambait le fleuve Gioll. Modgud, la jeune fille qui gardait le pont fut étonnée des couleurs d'Hermod et des vibrations qu'il avait produites en traversant le pont.

Elle lui indiqua que Balder était déjà dans le royaume des morts et lui montra le chemin pour le rejoindre.

Grâce au fantastique Sleipnir qui franchi d'un bond les énormes grilles du domaine de Hel, Hermod pu rencontrer la maîtresse des lieux.

Hermod raconta à Hel pourquoi il était venu.

Elle lui répondit que si Balder était ainsi pleuré par tous sans exception dans les Neuf Mondes, elle le laisserait retourner à Asgard.

 

http://www.theatrum-belli.com/album/les_divinites_guerrieres/valhalla.html

L’entrée principale, ou « Valgrind » (Grille-des-occis, qui pourrait renvoyer à la barrière que doivent franchir les trépassés pour pénétrer dans l’Autre Monde) est surmontée d’un loup au-dessus duquel plane un aigle.

 

Le couvercle du Mundus, la “Grille des enfers” (càd des dieux inférieurs) le 9 est le numéro de la Rune Hag-all dont le nom signifie “Tertre Suprême” ou “Tous les Tertres Sacrés » c’est à dire le Cosmos (ciel et Terre)

ce système, qui n’était qu’une mnémotechnique et une pédagogie à l’origine, induisit l’idée “superstitieuse” (connaissance dégradée18 ) d’une possible utilisation totalisante, donc d’une numérologie absolue, “magique”

racines.traditions.free.fr/alchimi/index.htm

 

Hag-hall et le Hel dans la mythologie

http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:ckHhYoG0JlgJ:racines.traditions.free.fr/omphalos/omphalos.pdf+r%C3%A9ticule+de+l%27omhalos&hl=fr&gl=fr&sig=AHIEtbRWfvQPwD33THHkuDgr2i_FJlsn8w

Lien Omphalos : autel de cendres : braise qui en refroidissant fait c une sorte de filet/grille, c runes… Correspondance avec le « filet du ciel 

Lien avec grille de Hel, dalle d’argile sur le Mundus servant de foyer

Lien avec grille de Hag-all : runes

Chez les Germano-Scandinaves : Odhin/ Wotan* le Grand Ase*, qu’eux, allait déduire de ce “filet du ciel” une cartographie céleste semée de mailles, d’astérismes à partir desquels il inventerait les Runes* astrologiques* et serait appelé pour cela le “Vieux Sage”, l’Alt Ase qui deviendrait Atlas chez ses petits enfants Doriens.

 

Dieu réticulé, SYMBOLES Prof. P. G. Sansonnetti. : filet du ciel à l’article Symboles de Racines et Tradition

Réticule : En termes d'Astronomie, il désigne un Système de fils derrière lesquels on observe le passage d'une étoile.

 

Ennéade égyptienne et filet du cosmos

http://mathematiques.energie-manifestee.net/wakka.php?wiki=LaMiseEnForme

La fabrication des filets est apparentée au tressage et au tissage. Dans l'Egypte ancienne, le langage, ou sa structure, est représenté par un filet et la trame des mots sert à formuler les idées qu'elle capte pour rendre compte des choses. Les hommes de tous les temps ont utilisé des filets pour la pêche et, dans l'Evangile, Jésus compare le Royaume de Dieu à un filet 

 Thot maître du filet

http://www.toutankharton.com/Application?var_recherche=thot%20ma%C3%AEtre%20du%20filet

Thot , le Maître des Nombres et des Mesures, organisateur du cycle du temps, Maître des coudées de mesures, patron des scribes et de tous ceux qui écrivent, donne par sa hauteur la mesure fondamentale : la brasse. Par ses proportions, il révèle les nombres essentiels de l’hexagone et avec la division du cycle en six.

C’est le pouvoir du symbole, et de l’image qui résume et synthétise toute la pensée. De nos jours, il nous faudrait différentes disciplines et de très longs écrits (mathématiques, géométrie, philosophie, symbolique, philologie, astronomie etc) pour tenter d’arriver au même résultat.

Ce que j’ai essayé de montrer c’est une pensée différente, synthétique, non cartésienne, qui explique mais de facon cachée (ésotérique), alors que notre science actuelle décrit et explique (exotérique). On retrouve un procédé similaire d’expression, avec de fortes nuances, mais avec le même esprit synthétique en Asie avec le Bouddhisme (scènes, proportions, orientation des temples, etc...).

 Ce que je voulais aussi essayer de faire comprendre, c’est que le temple est un centre «scientifique » aux messages cachés. Ne nous méprenons pas : les neter, pour la grande masse du peuple égyptien sont des dieux, craints et vénérés. Pour les initiés, ils sont une expression de principes fonctionnels expliquant le fonctionnement de la nature, du monde créé et expliquant le jeu des forces cachées (nous dirions aujourd’hui les forces physiques, les vecteurs) qui y interagissent...

 

http://racines.traditions.free.fr/riteromu/index.htm

33 “Mundus patet” : à la lecture de certains auteurs on pourrait croire que la dalle de terre cuite qui ferme le mundus s’appelle le mundus patet, il n’en est rien : c’est une expression rituelle qui signifie “le mundus est ouvert” car, selon Varron, elle était "la Porte des dieux d'en-bas", inferii !

Cette dalle ou ce rocher se nomme gjöll (goule) chez les nordiques : c’est celui auquel est attaché Fenrir et que les dieux ont enfoncé dans la terre avec la pierre Thviti, “celle de la tribu” (Thuata).

Rite de fondation de ville, d'origine “étrusque”, était consigné dans les libri rituales. Cette more etrusca, ou "manière étrusque", fut appliquée par les Romains à la fondation de toute nouvelle cité de la péninsule ou des provinces étrangères (ex. Condate). Mais, il  était aussi d'origine commune aux peuples italiques, comme de tous les “Indo-Européens” (ou Aryens) d’ailleurs, en tant qu’installation d’un Temple Solaire sur chaque nouveau locus ou topos

 

Géométrie rituelle égypt

http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:FaCyw18UCBMJ:www.reunion.iufm.fr/Recherche/IREM/IMG/pdf/Keller_pensee_mythique.pdf+rites+de+fondation+construction+antiques+en+Egypte&hl=fr&gl=fr&sig=AHIEtbRRsdqihfHqrUYjGqkgNESAfTBWWA

Il s'agit manifestement de faire un carré orienté,qui est également la première action proposée dans les Sulbasutras. Rf sur trad indienne expliquée avant.

- En Egypte antique, les allusions sont d'autant plus claires que l'on remonte dans le temps, et

les analogies avec les Sulbasutras sont frappantes.

Le plus ancien texte égyptien, la pierre de Palerme des débuts du 3°millénaire, est fait

d'annales où chaque année est référencée au moyen d'une cérémonie ; quatre années sont

remarquées comme années "de la tension de la corde". Par exemple, "année de la tension de la

corde à la grande porte du château 'siège des dieux' par le prêtre de Sehat" (Clagett, Tome 1).

Le rituel "géométrique" de fondation des temples est donc une tradition très ancienne et

tenace ; elle semble être restée intacte depuis l'époque archaïque des débuts du 3°millénaire,

jusqu'aux époques ptolémaïque et romaine. 

Citation : ainsi furent établis les quatre angles aussi solidement que les quatre piliers du

ciel."

 

Rituel de fondation détaillé égypte archaïque :

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/crai_0065-0536_1960_num_104_1_11165

Isis associée à Sothis, Sirius ; Horus associé à Orion (perso??)

Mundus = image du ciel renversé, dans le fond pierre encastrée = lapis manalis (de mânes, lat manus = bons, désigne l’âme des ancêtres) figurant la Porte des Enfers (infer= inférieur), elle était écartée rituellement xfois ds l’année pour les laisser passer. Wikipédia Mânes

 

Lien avec Cérès ? en fait c’était Vesta la déesse archaïque remplacée par Cérès (signifiant croissance)

http://books.google.fr/books?id=W7IFAAAAQAAJ&pg=PA23&lpg=PA23&dq=lapis+manalis+romain+antique&source=bl&ots=hazqtFyrp5&sig=LAztllyOvo79o8Cvjyqgi_qs9_o&hl=fr&ei=u26PS8-rKsqg4QbBjaCfDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=5&ved=0CBUQ6AEwBA#v=onepage&q=lapis%20manalis%20romain%20antique&f=false

Rites de fondation Rome ++

Repère notes 35 / 36

http://racines.traditions.free.fr/riteromu/index.htm

« Selon les hommes versés dans la discipline étrusque, il n’y avait pas, pour les fondateurs de villes étrusques, de citée fondée justement, selon les rites, qui ne comporte pas trois portes, religieusement dédiées, autant de rues, autant de Temples* dédiés à Jupiter, Junon et Minerve. »

          « On peut expliquer l’anomalie présentée par l’indication de trois rues et de trois portes, étrange dans un plan de ville orthogonal qui devrait normalement, semble-t-il, en comporter quatre. C’est sans doute la présence du sanctuaire de la triade majeure, sur l’acropole située normalement au nord de la ville, qui explique cette anomalie. Acropole et Temple* dominent la cité et la ferment du côté du Septentrion. Depuis leur siège, dans leurs cellae, a deorum sede, les trois membres de la triade (capitoline) “jettent leur regard protecteur” vers le Sud et barrent toute issue vers le Nord » R. Bloch, La Religion Romaine, in Le Monde indo-européen, Brepols, B.

          Bien entendu ce site ne fut pas choisi par hasard : puisque une partie de ces peuples étaient des transfuges du cataclysme nordique, ils avaient donc dû tourner le dos au septentrion (sous le septième arc) et leurs Dieux*, les Divins ancêtres devenus les Mânes (les Bons) “jetaient sur eux –  de ce lieu surélevé – leur regard protecteur” alors même qu’aucune porte ne pouvait mener vers cet “au-delà” où l’on ne saurait voir le Soleil…

5 - Après avoir ainsi tracé les limites de "l'enclos sacré", on creusa le Mundus33 en son centre, une fosse34 ronde où chacun des citoyens de la cité nouvelle vint jeter une motte de terre venant du foyer clanique de son ancienne patrie, puis :

          « Sur ce mundus on érigea un autel* où brilla le foyer de Rome. Fustel de Coulanges nous enseigne que le rite avait pour objet de transporter à ce foyer les ancêtres ensevelis dans le sol de l'ancienne patrie des fondateurs, ancêtres que la religion interdisait d'abandonner en laissant privés de culte leurs esprits fixés à leurs tombeaux. Le mundus devenait, par la vertu de ce geste, le nouvel habitat de ces ancêtres et, précisément, le terme de mundus désignait, dans l'ancienne langue religieuse des Romains, la résidence posthume35 des esprits des morts, quelque chose d'identique au penus hanté par les pénates. » Amable Audin, Les fêtes solaires, P.U.F, 1945.

6 - Lieu : « Au Capitole aurait été enfouie la tête du roi Olus, caput Oli, (Tagès pour les Étrusques, et Mimir “Mémoire” pour les Nordiques)n. Ce mundus était fermé par le lapis manalis, porte de l'Orcus et seuil du monde infernal (celui de dieux inférieurs). Identique au mundus, l'eschara grec était élevé devant la porte du mégaron. » Amable Audin.

Ce rite de fondation, d'origine “étrusque”, était consigné dans les libri rituales. Cette more etrusca, ou "manière étrusque", fut appliquée par les Romains à la fondation de toute nouvelle cité de la péninsule ou des provinces étrangères (ex. Condate). Mais, il  était aussi d'origine commune aux peuples italiques, comme de tous les “Indo-Européens” (ou Aryens) d’ailleurs, en tant qu’installation d’un Temple Solaire sur chaque nouveau locus ou topos

 

http://remacle.org/bloodwolf/erudits/Festus/m.htm

MANALIS LAPIS. On pensait que c'était la porte de l'Orcus, par où les âmes des enfers s'écoulaient vers les lieux d'en haut, qui sont appelés manes. On appelait aussi manalis lapis une, certaine pierre qui se trouvait hors de la porte Capène, près du temple de Mars; lorsque, dans les temps d'excessive sécheresse, on traînait cette pierre dans la ville, la pluie s'ensuivait aussitôt, et, on l'appela manalis lapis, parce que l'eau coulait.

 

19 mars 2013

Ennéade, Bastet, 9 vies du chat

http://www.nonagones.info/correlation-geometrique-geographique.php?sous_chapitre=Tour+d%27horizon&ph1=F1040001.jpg&depl1=Partie+IV+-+Techniques+et+sciences&depl2=Introduction&ph=F1010001.jpg&destination=transf/1010001.htm

En Egypte la grande ennéade est la réunion des neuf premières entités issues de l’océan cosmique Nun. Atum est la première, émergeant de l’océan, et crachant les jumeaux Shu et Tefnut. Ceux-ci donnent naissance à Nut et Geb dont l’union engendre Ausar (Osiris), Auset (Isis), Set (Seth) et Nebt-Het (Nephtys). Le texte deLa Litanie de Ra décrit les neuf royaumes de l’univers se manifestant à travers le chat. Ra est l’unité du chat ou le grand chat. Le chat et la grande ennéade (unité des neuf temps) ont le même nom : B.st (Bastet). Ceci peut être à l’origine de la légende des neuf vies du chat.

BASTET-SEKHMET

http://www.guidegypte.com/dieux/bastet.php

Elle forme avec le dieu Basty un couple divin, par analogie avec le couple divin Chou et Tefnout

 

Bubastis temple de Bastet (Le nom que lui donnaient les Égyptiens était vraisemblablement Bast.)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tell_Basta et http://fr.wikipedia.org/wiki/Bastet

La ville possédait d'ailleurs un temple d'Atoum, dont on a retrouvé les vestiges au sud du kom actuel, et formait ainsi avec ceux de Bastet et de Mahès le siège d'une triade divine particulièrement honorée tout au long de l'histoire égyptienne.

elle aurait aussi enfanté et allaité Pharaon dont elle serait la déesse protectrice.

Divinité de -2300 env VI° dynastie

détient le pouvoir magique qui stimule l’amour et l’« énergie charnelle ». Un atout qui lui valait un culte tout particulier de la part des Égyptiens.

Astarté? Bastet déesse de l'amour, ...

http://www.planeteplus.com/Liste-des-dossiers/Egypte

Anat

Tout comme Sekhmet ou Anat, autre divinité étrangère, il s'agit d'une déesse belliqueuse et guérisseuse, protectrice du roi au combat. Elle symbolise également la fécondité et l'amour, ce qui l'associe étroitement à  Hathor et à  Isis.
Parfois qualifiée de fille de Rê ou de Ptah

Nous disposons d'un texte fragmentaire, probablement écrit sous le règne d'Horemheb (papyrus de la collection Pierpont Morgan, New York), attestant l'origine étrangère de la déesse et expliquant comment elle prit place dans le panthéon égyptien : une divinité, Yam, dieu de la mer selon Gustave Lefèvre, veut imposer sa loi aux autres dieux. Pour l'apaiser, ceux-ci font appel à  Astarté, "la fille de Ptah, déesse irascible et violente". Un messager se présente à  elle, "les scandales trouées et les vêtements déchirés", aspect qui donne à  penser que le voyage fut long et difficile et que la déesse vivait dans des contrées lointaines. Astarté parvient à  séduire le dieu, provoquant les acclamations de l'Ennéade qui lui offre une place parmi eux.
Copyright © Corinne Smeesters, bubastis.be

Bastet et Tefnout+++++

http://antikforever.com/Egypte/Dieux/divinites5.htm

Sekhmet

Elle fut l’épouse de Ptah

Selon le mythe, elle pouvait projeter les rayons de chaleur mortels du soleil, ce qui incarnait son pouvoir destructeur, mais aussi l'air chaud du désert où les vents étaient son souffle ardent et avec lesquels les ennemis qui s'étaient rebellés seraient punis par la volonté divine. Elle fut également représentée comme l'instrument de la vengeance Rê contre l'insurrection des hommes contre l'ordre du monde. La légende raconte que Sekhmet incarnait le flamboyant Œil de Rê, et dans ce cas elle prenait l'apparence de Tefnout. Rê, en colère contre les hommes qui avaient conspiré contre lui, envoya la Déesse les tuer, mais il revint sur sa décision et voulu arrêter Sekhmet afin d'éviter qu'elle ne tue tous les humains. Pour se faire faire Rê prépara un breuvage spécial de bière coloré de rouge pour apaiser la soif de sang de la Déesse sanguinaire dans l'ivresse. Après avoir bu la bière, elle s'endormit et au réveil elle prit la forme de Bastet qui représentait seulement les qualités bénéfiques du soleil. Cette histoire était répétée dans l'ancienne Égypte lors d'une fête célébrée dans la saison Akhet, où les Égyptiens dansaient, jouaient de la musique et où la bière était consommée de façon délibérément excessive.

Shou (ou Chou ou Shu ou Schu, En Grec : Sos ou Sosis)

6 mars 2013

Merlin, St Blaise, Esplumoir de Merlin, Excalibur

Merlin et maître Blaise: Blaise est un double de Merlin, voir même un jumeau dans ce texte:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Merlin_%28magicien%29

http://books.google.fr/books?id=n36g6eU7KpEC&pg=PA25&lpg=PA25&dq=Merlin+et+ma%C3%AEtre+Blaise&source=bl&ots=IJ84xUpMzF&sig=Xjh7l9l7oj74UT_BKPo90Bb7GvY&hl=fr&sa=X&ei=2ax6UM7uAeTK0QXy3YDwCw&ved=0CFAQ6AEwCDgK#v=onepage&q=Merlin%20et%20ma%C3%AEtre%20Blaise&f=false

 

St Blaise http://www.bldt.net/Om/spip.php?rubrique11

Id, ours, lumière http://carmina-carmina.com/carmina/Mytholosaints/blaise.htm

Loup, Lug, Lumière http://encyclopedie.arbre-celtique.com/viewtopic.php?p=27986&sid=498f1f577c1adb25ab2cfd5d13db9e7d

 

http://levy.veyrier.daniele.free.fr/spip.php?article49

Rabelais pour son Gargantua se serait inspiré d’un personnage populaire très ancien, descendant du dieu Celte Belenos qui signifie "brillant" (appelé aussi Bel, Belenos, Belinus ou Belin) et qui était un dieu guérisseur, dieu des sources , des eaux vives bouillonnantes et sanctuaires prophétiques.

La racine "Gargan" viendrait de gar (avaler, dévorer) et se retrouve dans garganta (gorge en espagnol), dans gargouille, gorgone...Gar renverrait également à l’idée de pierre. On trouve également un personnage légendaire appelé Bel-Gargan (Belenos et Gargantua) Rabelais fait naître Gargantua le 3 février.

Saint-Blaise Est la christianisation de ce Dieu Celte Belenos. Il est le patron des bâtisseurs et des tailleurs de pierre et des maux de gorge. On le fête de 3 février, jour où il fut décapité. Donc Gargantua/ Belenos nous mène à St Blaise/Belenos, St-Blaise à Blez/Loup, aux Tailleurs de pierre.

Lug tricéphale, (ou a jumeau), surnom Longue main, ou "au bras long"

http://www.lodace.net/ddd/c/llug.htm

Tricéphale http://compilhistoire.pagesperso-orange.fr/celtestheonymes.html#l

+++http://www.arbre-celtique.com/encyclopedie/dieux-et-divinites-456.htm

 

Main de Lug (ou bras)

http://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00609745/en/

 

http://www.bldt.net/Om/spip.php?article281

Ainsi, ils sont trois, veillant comme le "triban" des Druides : Merlin qui va dans le monde et participe à l’action, Blaise l’ermite, le scribe, celui qui préserve et Taliesin, le barde, celui qui chante l’essence de la Vie 

 

http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/

Merlin des Bois …

Le cycle des saisons

Les principaux épisodes de « la Vie de Merlin » suivent d’assez près le cycle des saisons:

1) le texte débute par l’évocation d’une bataille estivale qui voit la défaite de l’armée de Merlin

2) la défaite militaire est pour lui le début d’une période de folie qui dure jusqu’à l’hiver

3) capturé et ramené de force à la Cour, Merlin se livre à une première prédiction à l’époque où les feuilles tombent des arbres, puis après une incontrôlable crise d’hilarité, il prédit trois morts apparemment différentes pour un seul et même personnage

4) plusieurs années passent. Il retourne dans la forêt et aperçoit un jour dans les astres le remariage de sa femme. Monté sur un cerf il encorne son rival avant d’être capturé une seconde fois

5) il profère deux nouvelles prédictions qui se vérifient, aussitôt avant de rejoindre dans sa forêt une demeure spéciale, véritable observatoire astronomique, qui lui permet de mieux connaître les secrets du temps et de la destinée

6) au printemps, l’apparition « miraculeuse » d’une source va permettre à Merlin de guérir de sa folie. Une longue discussion avec Taliesin traite des questions de cosmologie. L’apparition d’un troisième personnage (Maeldin, guéri lui aussi de sa folie) constitue à la fin de « la Vie de Merlin », une
triade de devins. Le texte se conclut sur les prophéties de Ganieda, sœur de Merlin, qui décide à son tour de vivre dans la forêt en compagnie des trois devins.

La Guerre perdue.

La folie de Merlin est présentée comme la conséquence directe d’un désastre militaire. Incarnant primitivement la souveraineté sous son double aspect (guerrier et magique), Merlin se trouve dépossédé par sa défaite de la souveraineté guerrière et doit désormais se contenter de la seule souveraineté magique.

Tout concourt à faire de la mélancolie furieuse de Merlin une maladie saisonnière, liée au cycle des saisons et plus particulièrement au 1er mai.

Merlin, homme sauvage.

Dans l’univers celtique, la forêt est un sanctuaire, un lieu de résidence des divinités. Par sa folie, par son séjour sylvestre, Merlin se rapproche de la divinité. Il devient l’authentique divinité des bois. De plus il lui arrive d’utiliser des cerfs comme monture , et durant l’hiver, il vit en compagnie d’un loup gris, ce qui le rattache au chamanisme. Le loup est maître Blaise, scribe de Merlin, en fait son double, comme le loup est le compagnon de l’Homme Sauvage. Et puis Merlin, à sa naissance, est velu comme un ours.

Les analogies Taliesin-Merlin sont très nombreuses, à un point tel qu’il est sans doute possible de les considérer comme deux aspects d’un seul et même être mythique.

Merlin n’appartient pas seulement à la forêt, il est lui même le Forêt. Il est la Nature à lui seul parce qu’il en incarne les mouvements secrets et l’énergie première. Il porte en lui le rythme des saisons et le principe même du temps (et l’homme sauvage est lié à une symbolique de la royauté alternative).

La première prédiction.

Capturé et ramené de force à la Cour, Merlin se met à prophétiser (il dit l’avenir) avec un rire étrange. Certains y voient un lien avec saint Hilaire (le « gai », le « rieur ») lui même lié à saint Martin dont le nom serait phonétiquement rapprochable de Merlin (tant il est bien montré que les chrétiens ont tout fait pour s’accaparer les vieilles divinités païennes, les fêtes, les mythes et les légendes qui sont pourtant totalement étrangers à leur univers)

Suite

http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/tag/blaise/

Les 3 bardes, Merlin, Taliésin…

Merlin cocu.

Ce cocuage prend certainement place à une date rituelle de l’année et le fait qu’il sorte de sa forêt monté sur un cerf, et en jette les cornes sur son rival, accentue cette probabilité… calendes d’hiver ? (des déguisements païens en cerf au 1er janvier sont attestés). Et symbolisme très riche de l’animal, étroitement relié au cycle du temps.

La guérison de Merlin.

En goûtant l’eau d’une source nouvelle qui vient de jaillir, Merlin retrouve alors son ancien ami Maeldin, devenu fou, empoisonné par un fruit. Il le guérit aussi avec l’eau. Merlin, Taliesin, Maeldin décident alors de vivre ensemble dans la forêt avec la sœur de Merlin, Ganieda qui, désormais, prophétise à leur place (avatar de la Grande Déesse honorée à Imbolc ? : lustration, etc…?) 

Le récit d’une « chute » ? Les « Trois fautes du Druide »: défaite militaire de Merlin (incapacité guerrière qui renvoie à la 2ème fonction), défaite sexuelle (Merlin cocu, disqualifié pour la 3ème fonction qui induit fécondité), défaite sacerdotale (Ganieda le dépossède de son pouvoir prophétique: disqualifié sur le plan de la 1ère fonction).

 

 

Triade celte des devins, sens / Ganiéda, réf aux Divins personnages

http://books.google.fr/books?id=n36g6eU7KpEC&pg=PA42&lpg=PA42&dq=Merlin+blaise+et+Tali%C3%A9sin&source=bl&ots=IJ84xWjLzM&sig=JjQ6DBEqO3UASTjGrK78ngCrVZo&hl=fr&sa=X&ei=K-N6UPjuMsTS0QXV24CgCA&ved=0CEMQ6AEwBQ#v=onepage&q=Merlin%20blaise%20et%20Tali%C3%A9sin&f=false     = Le devin maudit: Merlin, Lailoken, Suibhne. Textes et étudepublié par Philippe Walter

Merlin, l'enchanteur romantique Par Julie Bouchard

http://books.google.fr/books?id=hL91DXXXrfkC&pg=PA12&lpg=PA12&dq=Merlin+instigateur+de+la+qu%C3%AAte+du+Graal&source=bl&ots=RHgcs-rNaC&sig=XaSyq-bSLPtnlbJW9dd3U2Ut0xw&hl=fr&sa=X&ei=3-l6UPPXKOWM0AX4rYGQCQ&ved=0CE4Q6AEwBw#v=onepage&q=Merlin%20instigateur%20de%20la%20qu%C3%AAte%20du%20Graal&f=false

 

Blaise et loup http://konrad.over-blog.net/pages/Le_Graal-2213158.html

les Templiers vouaient un culte particulier à saint Blaise et que le loup en alchimie figure le Saturne des philosophes, c'est-à-dire le père des dieux, Chronos, principe de la tradition primordiale. Blaise, Blasios signifie en grec avoir "les pieds en dehors" rappelle Hephaïstos, le Dieu du feu et de la forge, et des cabires alchimistes.

Aventures du Graal : bon résumé

 

Esplumoir de Merlin : lieu de retraite où le Prophète s'était retiré du monde. Il y restait à la disposition de ceux qui avaient besoin, en particulier les chevaliers en quête du Graal.

Merlin promet de continuer à transmettre sa prophétie après avoir disparu de ce monde.

La tombe de Merlin plus tard sera imaginée comme le siège de son oracle perpétué. 

http://books.google.fr/books?id=JNDOggHR23cC&pg=PA259&lpg=PA259&dq=Tombeau+de+Merlin,+enserrement+de+Merlin&source=bl&ots=gLdU9WtEdK&sig=JmgEh0nDRLXoxdzhabn52gQ2jx4&hl=fr&sa=X&ei=sp6FUPyMI6We0QXEr4HgBA&ved=0CDoQ6AEwBA#v=onepage&q=Tombeau%20de%20Merlin%2C%20enserrement%20de%20Merlin&f=false

 

Résumé complet et excellent / Merlin et Graal

http://www.lemondedesreligions.fr/archives/2006/05/01/la-quete-du-graal,8173203.php

Bon début / histoire de Merlin, à suivre

http://raconte.forumactif.com/t213-merlin-et-la-quete-du-graal

 

http://terremysterieuse.doomby.com/pages/archeologie-mysterieuse/excalibur-le-graal-et-merlin.html

Excalibur 

Thomas Mallory dit que cette dernière a été forgée par Merlin, et qu'après la mort d'Arthur c'est lui qui l'ait emmené à Avalon. Pour l'auteur anonyme de La Mort d'Arthur, elle aurait au contraire été jetée par Perceval dans le lac et restituée ainsi à la Dame du Lac.

Dans sa version la plus juste (la celtique) c'était symboliquement l'équivalent de la lance. Comme nous avons vu pour les Celtes, en effet, la lance était la lance di Dieu Lugh, qu'il avait donné aux hommes. Cette identification toutefois subit une nouvelle transformation quand - sous l'influence de la mythologie germanique - elle finira par se confondre avec la lance de Odhinn, sur laquelle sont gravées les runes du destin. Pour entrer en sa possession Odhinn resta empaler pendant sept jours et septs nuit avec pour conséquence la perte d'un oeil.

Des traditions ésotériques plus tardives veulent qu'Excalibur ait été protégée par une secte ésotérique dite des "Frères Initiés" (Peut-être les Rosecroix). La secte aurait laissé trois indices en forme de croix à Glastonbury, dans le dôme de Modène et dans celui de Otrante ; sur toutes les croix apparaît l'inscription "Hic iAcet Arturius rex in insulA Avalonia" ; la combinaison des ces croix donnerait lieu à un acrostiche dans lequel le A semble indiquer le cercle de mégalithe de Stonehenge.

Il est un fait que la tradition de l'"épée dans la roche" appartient aux coutumes des chevaliers huns et sarmates ; les Huns et les Sarmates avaient eu des contacts avec le monde occidentale en fournissant des troupes auxiliaire aux romains. la légende était ainsi passée en occident et, peut-être, directement en Bretagne.

Tous les peuples avaient pour habitude d'enfoncer l'épée dans la terre pour la mettre en communication directe avec les courants de force de la Grande Mère.

L'épée se chargeait de magie, modifait, pour ainsi dire, sa propre structure, devenait "magique" et rendait invincile celui qui l'empoignait et c'était, pour un guerrier le signe du commandement.

En effet la caractéristique d'Excalibur était d'être "l'épée des Rois", qui rendait invincible mais pas invulnérable (c'était sa gaine qui protégeait le roi de la perte de sang par ses blessures)…

Le signe de l'avènement de la rédemption sera la disparition du Graal et de l'épée qui retourne à Avalon (la Terre des Tuathas, des dieux) ou à la Dame du Lac (le ventre de la terre ou à l'eau primordiale pour se purifier).

Ce n'est que de cette manière que l'iscription "hic iacet Arcturus rex quondam in insua Avalonia" assumera la signification d'une promesse de renaissance.

Voir suite+

 

http://www.esplumoir.fr/

L'épée Excalibur vient du soleil et son fourreau guérit toutes les blessures qui ne sont pas d'amour

29 juillet 2012

Lettre B

Lettre B

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